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La candidature de Mohamed MOUSSEHOUL (Yasmina Khadra) à la Présidence de la République Algérienne

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  • La candidature de Mohamed MOUSSEHOUL (Yasmina Khadra) à la Présidence de la République Algérienne

    Si l'on en discutait ?
    Dernière modification par Sioux foughali, 23 novembre 2013, 01h24.

  • #2
    Je ne suis pas sur qu'il soit très qualifié pour le poste mais de toutes façons, il ne peut faire pire que ceux qui soient passés avant lui.

    Il est peut être le moins pire du lot. J'entends par là qu'il est le plus indépendant du pouvoir actuel.

    De toutes façons, l'avenir de l'Algérie passe par la dissolution du FLN et le remplacement des cadres de l'armée par des gens nés au moins dans les années 60.

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    • #3
      le monde de la politique exige beaucoup d'énergie et de temps et un appareil partisan aguerri, une théorie révolutionnaire qui a donné ses preuves sur le terrain, un parti de type léniniste si l'expression m'est permise. Un écrivain isolé sans cadre partisan, sans idéologie solide et aguerrie. Les moyens d'infos pour faire connaitre son programme, quelques séances à la télé nationale ne pourront être suffisants... sa candidature est un simple caprice? Car il sait d'avance qu'il n'a aucune chance...

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      • #4
        Pourquoi pas Said Bouteflika tant qu'on y est aussi? Le type n'a aucune expérience dans la gestion des affaires de l'état. C'est un excellent écrivain, mais il ne fera surement pas un bon président.

        ∑ (1/i²) = π²/6
        i=1

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        • #5
          Toutes les candidatures sont les biens venues, après tout c'est pas un crime de vouloir diriger sa patrie, mais on voit bien que cette candidature ne donnera rien aux algériens en ce sens que ce que ce monsieur a dit pour le moment ne tient même pas d'un programme politique mais juste de phrases romanesques...

          Ce qu'un peuple cherche c'est qu'un candidat lui dise par exemple, tiens je vais résoudre notre problème avec le royaume marocain et voici comment je vais procéder ! Il faut rappeler aux électeurs (et plus encore aux candidats) que ce problème avec le Maroc prend de plus en plus d'importance et risque de déstabiliser les deux pays dans les mois ou années à venir...

          Donc que compte faire monsieur Yasmina Khadra en cette matière et quel sera sa politique diplomatique ?

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          • #6
            Avant d'aller régler le problème avec le Maroc, et sachant que le Maroc ne bougera pas tant que l'arsenal militaire est conséquent il vaut mieux commencer à :
            -Régler les problemes internes, donner aux Algériens une liberté d'entreprendre et créer les condtions pour. CAD stop à la bureaucratie la maarifa et le benaamis.
            -Eliminer ce ministère des anciens moujahids à 221Milliads de dinars!!, et se débarasser des suceurs de sang convertis moujahids le 19Mars 1962
            -Se débarasser de cette notion de fils de chahids ou de fils de moudjahids qui veulent des droits hréditaires
            -Se débarasser d'une bonne partie des 2 Millions de fonctionnaires trabendistes et en en particulier d'une bonne partie des 200.000 policiers affairistes.
            Au niveau économique la liste est tellement longue je ne citerai que la peste à defaut du choléra
            -Régler la gangraine du dinar non convertible

            Donc qu'il aille se rhabiller cet écrivain chercheur d'or qui ferait mieux de s'occuper de ses livres.
            Dernière modification par ali_baba, 23 novembre 2013, 10h42.

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            • #7
              C'est claire que c'est les dossiers internes qui sont le plus à travailler, mais il ne faut négliger la diplomatie car si guerre il y a (ce que je ne souhaite pas), tout le reste n'aura plus la même importance, les peuples s'affrontant, les économies se détruisant, les armées se mutilants, le dinar et le dirham s'effondrant, on sera tous dans de beaux draps ! Donc la diplomatie est primordiale, il faut qu'ils communiquent sur ce domaine, c'est l'un des plus gros poste d'un état moderne !

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              • #8
                FAUX .. si il y a une guerre c'est le maroc qui sera écrasé à tout point de vue. Et c'est pour cela que le ROI se limite aux gesticulations, ou menaces par procuration sans se mouiller. Il sait qu'il perdra gros.
                Tant que l'arsenal militaire est conséquent le Maroc ne bougera pas.
                Budget 2013
                Défense nationale-----: 825.860.800.000
                Moudjahidine----------: 221.050.281.000
                Agriculture et dev/rural: 215.686.294.000
                Le ridicule en Algerie ne tue pas.
                Dernière modification par ali_baba, 23 novembre 2013, 10h21.

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                • #9
                  Non ça ne fonctionne pas comme ça dans le domaine militaire
                  Tu peux avoir une plus petite armée que ton voisin, moins équipée, mais beaucoup plus puissante
                  C'est pas la quantité qui compte vraiment, c'est autre chose...
                  Le roi gagnera en cohérence s'il entre en conflit armé contre son mortel voisin, il soudera le peuple autour de son trône...
                  Donc c'est un dossier plus compliqué...

                  Pour en revenir au sujet de monsieur le candidat :

                  Sur quoi s’articule votre programme ?

                  Autour de la transparence. L’Algérien doit avoir droit de regard sur tout ce qui se fait en son nom, le droit d’exiger des comptes de ses décideurs, le droit d’être l’acteur de son devenir.
                  Un programme est lettre morte s’il n’est pas confié à la compétence agissante et créative. La compétence algérienne existe, encore faut-il l’impliquer dans la dynamique censée nous galvaniser. Parce qu’il dérangeait et agaçait les rentiers, le génie algérien a été marginalisé, muselé, par endroits forcé à l’auto-exclusion et à l’exil. Partout où je me suis rendu, en Asie comme en Europe ou ailleurs, j’ai rencontré d’authentiques prodiges qui ne demandent qu’à aider notre pays à aller de l’avant. Tous m’ont avoué ignorer comment et à qui s’adresser.
                  Je serais là pour eux. Nous avons un arsenal juridique, des institutions, des ressources considérables, tout pour prétendre à une place honorable dans le concert des nations. Malheureusement, la théorie n’arrive pas à passer à la pratique escomptée. La bureaucratie décourage les initiatives, l’opacité qui pollue nos projets profite à une minorité et à la médiocrité ambiante, les bonnes volontés s’émiettent contre la prévarication et la corruption a atteint des proportions d’une extrême dangerosité.
                  Il faut d’abord assainir les mentalités, permettre à l’Algérien d’évoluer dans l’hygiène morale et la quiétude. Le rapport au centre des décisions doit être serein, confiant et concret. Un gouffre abyssal isole le peuple des sphères gouvernantes. Il va falloir rebouter cette fracture. Mon programme pourrait alors reposer sur une base solide. Je ferais en sorte que la justice soit totalement indépendante et au service de la vérité et de l’égalité, que l’école soit attractive et enthousiasmante à même de fournir à l’université de quoi former les cadres de demain, que la santé réponde aux besoin de la population éprouvée par les angoisses et les colères, que l’économie du pays soit compétitive et conquérante, que l’agriculture, la pêche, l’industrie se découvrent de l’ambition sans laquelle le pouvoir d’achat ne suivrait pas et la dépendance alimentaire ferait de nous les otages des convoitises des puissances étrangères, que la culture investisse toutes les franges de la société, que notre jeunesse accède au savoir, au travail, à la formation professionnelle, qu’elle apprenne à compter sur elle et à réaliser ses rêves au lieu d’être livrée aux incertitudes et au désespoir, que la femme contribue effectivement à l’essor de la nation, que l’assistanat libère les énergies et la compétition utile à tous… Il s’agit d’un vaste programme que je suis en train d’élaborer avec des experts algériens qui partagent mon amour pour l’Algérie et qui connaissent concrètement les points forts et les points faibles de notre pays.
                  A part de très gros flous, on a encore de l'espoir, sa candidature vaut bien celle des autres...

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                  • #10
                    La notion de rapport de force ne doit pas etre tres familiere chez toi.
                    Nous parlons de guerre entre 2 armees. Et le ROI ne déclarera jamais la guerre à beaucoup plus fort que soi, CQFD guerre de 1963.
                    Personne ne part en guerre sans avoir la conviction de la gagner, et la guerre moderne repose sur la puissance de feu et non le nombre de légions, CQFD Israel.
                    Dernière modification par ali_baba, 23 novembre 2013, 10h37.

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                    • #11
                      Ce qu'un peuple cherche c'est qu'un candidat lui dise par exemple, tiens je vais résoudre notre problème avec le royaume marocain et voici comment je vais procéder !
                      Et il signera son échec avant même les élections
                      Le maroc est le dernier des soucis des Algériens

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                      • #12
                        M. Moussehoul a le droit de se présenter comme tout algérien qui se sent apte et courageux.
                        Il faut préciser qu’en Algérie aucun président ne peut prétendre gérer le pays à sa guise. Même Boumédienne a laissé des plumes (et pourtant) !
                        Je rêve d’un président, et quel que soit le pays, qu’il soit philosophe et politique : ce qui est rare. Sans philosophie nul ne peut gérer une société humaine. Donc il faut un "philosophe" et un gestionnaire des affaires. Depuis un certain temps on délaisse les lettres au profit des affaires, du gain facile, de la ripaille et oublier la vie, la vraie vie, simple et sereine au sein de sa famille, de ses amis et de ses proches.
                        Il y a très longtemps un roi s’armait continuellement et entretenait de bons rapports avec ses voisins. Les années passent et…, un de ses ministres lui fait remarquer que le royaume a dépensé tant d’argent pour rien. Le roi lui répond : Pour rien ! Nous avons gagné la paix pour nous et nos enfants ; ceci n’a pas de prix.
                        En ce qui concerne (Yasmina Khadra), il a des idées saines et réalisables mais pour gérer un pays ce n’est pas suffisant ! Bien sur qu’un président est entouré d’un éventail de conseillers mais il lui faut une base idéologique du cru, une organisation de soutien à tous les niveaux. Chaque pays a ses propres codes suivant son histoire et ses composantes ; surtout les algériens ; indociles et la révolte dans les gènes !!

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                        • #13
                          qu'il continu à écrire des roman à l'eau de rose et à caresser la france dans le sens du poil, il est très doué pour ca.
                          La Réalité est la Perception, la Perception est Subjective

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                          • #14
                            S'il est "élu" président, on l’appellera Mohamed ou Yasmina? probablement les deux et ça fait un peu travesti

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                            • #15
                              Un capitaine de l'armée connaît les affaires administratives étatiques ou est largement en mesure de les maîtriser

                              Le procès en méconnaissance est largement grotesque


                              ET dans cette question de candidature, il faut l'appeler Mohamed MOUSSEHOUL



                              Sinon autres arguments ?

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