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Le Président Bouteflika reçoit le général de corps d’armée Gaid Salah

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  • Le Président Bouteflika reçoit le général de corps d’armée Gaid Salah

    ALGER- Le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, a reçu samedi le général de corps d’armée, Ahmed Gaid Salah, vice-ministre de la Défense nationale, chef de l’Etat major de l’Armée nationale populaire (ANP).
    Lors de cette audience, le général de corps d’armée, Ahmed Gaïd Salah, a présenté au Président de la République un exposé sur ses activités à la tête d’une délégation militaire aux Emirats arabes unis et au Qatar où il a eu une série de rencontres dans le cadre de la coopération militaire. Le général de corps d’armée Ahmed Gaïd Salah a assisté à la 13e édition de la foire internationale de l’aviation tenue du 17 au 21 novembre dernier à Dubaï.
    Il a présenté d’autre part, un exposé au Chef de l’Etat sur les activités des forces armées et la situation sécuritaire globale du pays et sur les frontières.
    Dernière modification par nacer-eddine06, 23 novembre 2013, 21h55.
    The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

  • #2
    il est toujours en vie?
    wada mou tella tayri g tassa, ar yalla !!

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    • #3
      lui je ne saispas

      par contre les institutions sont toujours alertes
      The truth is incontrovertible, malice may attack it, ignorance may deride it, but in the end; there it is.” Winston Churchill

      Commentaire


      • #4
        Le Président Bouteflika reçoit le général de corps d’armée Gaid Salah
        Laurel & Hardy algériens !

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        • #5
          Bouteflika a surement dit à gaid salah : alors pourquoi Toufik est toujours à son poste t'as pas réussi à encerclé son QG de benhaknoun!

          Gaid répond à bouteflika : mais c'est risqué Mr le président il a plus de 100.000 hommes sous ses ordres sans compter les islamiste qu'il manipule vous voulez une guerre?ou bien qu'il saute tous les sites pétroliers avec son amis belmokthar? et après tout vous avez qu'à signez un décret de mise en retraite c'est facile Mr le président!

          Bouteflika répond à gaid : Mais signé quoi à quoi bon de signer un décret s'il ne bouge pas de son poste j'ai déja essayé en 2001! fais le partir de son poste et là je pourrais ensuite signer le décret!






          Nota :je rappelle que cette conversation relève de l'imaginaire lol
          Dernière modification par SamyBey, 25 novembre 2013, 00h31.

          Commentaire


          • #6
            @Pioto
            au moins en Algerie sont issus du peuple ..

            Laurel & Hardy algériens !
            .

            trois ""stranges "" qui commandent et commandent rien

            1/MIMI 6 soit disant de la ligné du Prophète
            2/3ab pour le suivisme , Abdellah , demi-frere ( mère saoudienne )
            3/Un bébé trimballé pour les inaugurations-bidon
            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

            Commentaire


            • #7
              tu peux pas parler des problèmes de ton pays entre vous, au lieu de faire des comparaisons stupide et sauter vers mimi momo..
              La haine aveugle

              Commentaire


              • #8
                20/11/2013 à 17:44 Par Cherif Ouazani


                Pourquoi le président de la République a-t-il décidé de réorganiser en profondeur l'armée dans la foulée du remaniement gouvernemental ? Éléments de réponse.

                Convalescent et mal remis de son accident vasculaire cérébral du 27 avril et à quelques mois de la fin de son troisième mandat, censé être le dernier, du moins si l'on se fie à ses déclarations à propos de la fin de mission de sa génération, le président Abdelaziz Bouteflika ne donne pas l'impression d'être un homme malade qui aurait perdu de son influence et qui se contenterait d'expédier les affaires courantes. Il a beau être invisible, si l'on excepte quelques rares apparitions télévisuelles qui confirment son mauvais état de santé, le "patient algérien" a toujours la main, comme en témoigne sa décision de procéder à un profond remaniement de l'institution militaire : réorganisation du Département du renseignement et de la sécurité (DRS) et, surtout, consolidation du général de corps d'armée Ahmed Gaïd Salah au poste de chef d'état-major.

                Friand de symboles, Bouteflika a choisi la date du 11 septembre pour annoncer le remaniement du gouvernement d'Abdelmalek Sellal. Au nombre des changements phares, le limogeage du général-major Abdelmalek Guenaïzia, ministre délégué à la Défense (Bouteflika étant le titulaire du portefeuille), remplacé par Ahmed Gaïd Salah, qui cumule ses nouvelles fonctions avec celles de chef d'état-major. Dans la foulée, le président a décidé de soustraire au DRS trois importantes structures désormais rattachées à l'état-major : la Direction centrale de la sécurité de l'armée (DCSA), la Direction centrale de la police judiciaire (DCPJ) et le Centre de communication et de documentation (CCD). Cette redistribution des cartes s'est accompagnée de la mise à la retraite de dix-sept généraux, parmi lesquels le général-major Rachid Laalali, patron de la Direction de la documentation et de la sécurité extérieure (DDSE), et le général-major Othmane Tartag, chef de la Direction de la sécurité intérieure (DSI). Ils sont respectivement remplacés par des officiers plus jeunes, les généraux Ali Bendaoud, ex-attaché militaire à l'ambassade d'Algérie à Paris, et Mohamed Bouzid, qui a fait toute sa carrière dans le contre-espionnage aux côtés de feu le général Smaïn Lamari.

                >> Lire aussi : armée algérienne, à quoi va servir la hausse du budget de la défense ?

                L'attaque de Tiguentourine a mis à nu les défaillances du dispositif sécuritaire

                Pour les observateurs et les chancelleries, ces changements sont le résultat d'une guerre de tranchées entre la présidence de la République et le DRS du général de corps d'armée Mohamed Médiène, alias Toufik. "C'est une lecture totalement erronée, assure un général à la retraite, ce n'est pas un problème de personne. Si tel avait été le cas, un simple décret présidentiel aurait mis fin à ce supposé bras de fer entre Bouteflika et Toufik. Les changements intervenus tant au niveau de l'organisation que des nominations sont plus profonds." En fait, tout a commencé le 16 janvier avec l'attaque du site gazier de Tiguentourine par un groupe jihadiste. Vécue comme un 11-Septembre algérien, l'opération a mis à nu des défaillances dans le dispositif sécuritaire. Au lendemain de cette tragique prise d'otages - la plus grande de l'histoire du pays (près d'un millier de personnes retenues par le commando de Mokhtar Belmokhtar) -, Bouteflika avait exigé un rapport circonstancié. Celui-ci a révélé des dysfonctionnements majeurs, notamment l'anachronique dispositif dans la lutte antiterroriste fondé sur une artificielle séparation entre analyse du renseignement et traitement militaire de la menace. "L'armée dispose de matériel de collecte de l'information, poursuit notre général, entre avions de reconnaissance, avec ou sans pilote, matériel d'écoute électronique, etc. Ce matériel relevait du commandement de l'armée, mais son produit était traité par une structure qui ne lui était pas rattachée directement."

                La séparation entre l'institution militaire et les services de renseignement est le fruit de la guerre de libération. Héritière de l'Armée de libération nationale (ANP), la première n'a jamais eu de prise directe sur le DRS (ou sur les structures l'ayant précédé sous d'autres noms), qui est le descendant du ministère de l'Armement et des Liaisons générales (Malg). Malgré un lien organique incarné par le président de la République, ces deux rouages ont toujours été indépendants l'un de l'autre. En attendant la réforme en profondeur de l'État - et donc de l'institution militaire -, le président a procédé par petites touches sur la base des graves défaillances relevées par l'enquête interne post-Tiguentourine. "Le rattachement de la DCSA à l'état-major, explique le général Abdelaziz Medjahed, ancien directeur de l'Académie militaire interarmes de Cherchell (Amia, le Saint-Cyr algérien), est un retour aux sources, puisque cette structure avait été rattachée au DRS au début des années 1990. Toute armée digne de ce nom devrait être dotée d'une direction du renseignement militaire."

                >> À lire : Voyage au coeur de l'armée algérienne

                Les autres changements concernant la police judiciaire et la communication sont moins importants que ne le prétendent médias et chancellerie. La DCPJ avait été rattachée au DRS sur décision de Bouteflika en 2009. Quatre ans plus tard, le président a changé d'avis. Quant au rattachement du CCD à l'état-major, il relève plus du réaménagement technique que d'un bouleversement de l'organigramme du DRS. Il s'agit surtout de renforcer les moyens de la Direction de la communication, de l'information et de l'orientation (DCIO), une structure du ministère de la Défense nationale placée sous le commandement du général Boualem Madi. Il n'empêche, l'affaiblissement - ou plutôt la désacralisation du DRS, héritier de la redoutable Sécurité militaire (SM) des années Boumédiène - est bien réel.

                Un État moderne suppose une tutelle civile

                Dans les moeurs politiques de l'Algérie pluraliste, seuls deux partis, le Front des forces socialistes (FFS) et le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), utilisaient régulièrement l'expression "police politique" pour évoquer les services secrets. Les décisions de Bouteflika concernant l'armée ont banalisé l'expression. Désormais, c'est Amar Saïdani, premier responsable du Front de libération nationale (FLN), ex-parti unique et première force politique du pays, qui l'évoque à longueur d'interviews, déplorant la place considérable du DRS dans la vie politique, économique et sociale, et dénonçant des attributions qui devraient relever de la justice, notamment les enquêtes d'habilitation précédant toute nomination dans la haute fonction publique. Bref, le patron du FLN, considéré encore comme un parti-État, rouage essentiel dans le système, tient un langage qui jusque-là était l'apanage de l'opposition.

                La saillie d'Amar Saïdani remet au goût du jour un débat que l'on croyait clos avec la brutale éviction de Yazid Zerhouni. L'ancien ministre de l'Intérieur, ex-patron des services à la fin des années 1990, était le promoteur de la "civilisation" des services de renseignements. Selon lui, un État moderne suppose une tutelle civile, voire parlementaire, des services secrets. Un DRS rattaché au ministère de l'Intérieur, rendant compte aux députés et sénateurs ? Il y a loin de la coupe aux lèvres. Plus d'un demi-siècle après son indépendance, l'Algérie est encore trop fragile pour tenter une telle réforme. Qui serait une révolution

                Lire l'article sur Jeuneafrique.com : Armée algérienne | Algérie : Bouteflika et ses généraux

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                • #9
                  plusieurs inexactitude de cette article:

                  premièrement l'alibi de Tiguentourine pour justifier les changements au niveau du DRS n'est pas recevable. Si CT le cas aussi bien le chef de la 4° RM PC à Oueregla et le chef de la gendarmerie auraient été concerné par ces changements, ce qui n'est pas le cas, tous deux Abderezak Cherif et Boustila proches de Gaid Salah ont été maintenue à leur fonction. La raison du limogeage de Tartag et Attafi est en lien avec les enquêtes de corruption et le 4° mandat rien d'autre.
                  Deuxièmement la lecture historique des changements est biaisé avec la référence au Malg. Ce qu'oublie le journaliste, est le changement survenue en 1960, avec la nomination de Boumedienne comme chef de l'EMG, et qui réussit à s'allier les éléments du MALG au détriment de Boussouf, et depuis cette date et la nomination de Boumedienne comme ministre de la défense en 62, l'amalgame est totale entre les services et l'ANP, qui en devient une structure essentielle du mdn. Pour preuve le directeur de la SM, Kasdi Merbah, devient SG du mdn en 79, avec l'arrivé de Chadli. De plus ce lien entre services et ANP est encore affermi avec la nomination d'officiers classiques à la tête des services comme Lakhal Ayat et Betchine pendant les années 80s. Enfin aussi bien des officiers de la marine, des forces aériennes ou de l'armée de terre travaillent au DRS, c'est le cas du general Bendaoud issu des forces aériennes. Donc la vision d'un découplage du DRS (lui même un département de l'état major) comme le son les autres départements que sont le DEP (département emploi préparation), et le DOL (département organisation et logistique). La thèse d'une autonomie du DRS par rapport à l'ANP, n'est qu'un fantasme.
                  Enfin essayer de vendre la fable que le couple Bouteflika et Zerhouni (il a été chef des services non pas à la fin des années 90s, mais de 79 à 82) sont de grands démocrates contre le méchant DRS est une grande supercherie, et que ce plan ne s'inscrit uniquement dans une vulgaire guerre de clan et non dans un plan soit disant libéral ou démocrate. Donner des prérogatives plus large à une justice aux ordres et à une chambre d'enregistrement ce n'est pas celà la démocratie.

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                  • #10
                    C'est amusant que celui qui défendait son département de toute intervention politique finit par nous affirmer que le départ de Attafi et de Tertag, proches parmi les proches de Toufik, est lié au 4ième mandat et aux enquêtes de corruption, rien que ca.

                    La perle, et c'est une vrai perle, est de déclarer sans sourciller, qu'un service de renseignement qui se déroge le droit de se substituer à la justice, et de lui ordonner certaines actions est fait au nom de la démocratie. Et qu'une justice, faite de magistrats de carrière, dont la réforme Issaad a été bloquée par le même agent du DRS, le soldat de l'Algérie, Ouyahia, ministre de la justice... cette justice n'est pas la démocratie!!!

                    On nous prend vraiment pour des gogols...
                    Othmane BENZAGHOU

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                    • #11
                      c'est plutot Gaid salah qui rend visite de courtoisie au légume boutesri9a
                      SAHARA OCCIDENTAL LIBRE & INDÉPENDANT

                      VIVA POLISARIO

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                      • #12
                        mister-T : la grande bataille c'est le changement de la constitution pour réer un vice président en cas de disparition de bouteflika son clan serait rassuré par l'éventuel vice qui prendrait la présidence pour l'immunité de clan


                        pas de révision de la constitution = pas de 4ème mandat trop risqué car en cas de décés du président une élections dans les 2 mois qui pourrait voir l'arrivée de benflis !! ou un autre!

                        De plus bouteflika ne peut pas marcher et parler comment ferait-il une campagne tout seul faut bien un vice président genre USA!

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                        • #13
                          Le sujet de vice président date de l'époque Boumedienne. Chacun voit midi à sa porte...
                          Othmane BENZAGHOU

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                          • #14
                            ott: on le sait mais c'était pas la même constitution du temps de boumédiene c'était la vraie dictature et y'avait qu'un seul parti le FLN!

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                            • #15
                              Le sujet de la vice présidance a toujours constitué la vision de l'actuel locataire d'El Mouradia, depuis Boumedienne, puis en 2006 et actuellement. Personnellement, je pense que c'est son baroud d'honneur!!! Il s'en va, en légant cette nouvelle constitution!!! L'actuel locataire a toujours affectionné de prendre tout son monde au dépourvu, et par surprise...

                              Je peux me tromper, mais j'espère que c'est la stratégie sous jacente...
                              Dernière modification par ott, 26 novembre 2013, 14h33.
                              Othmane BENZAGHOU

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