L’incident du drapeau algérien, arraché le 1er novembre dernier au consulat d’Algérie à Casablanca, continue à affecter les relations entre Alger et Rabat.
Invités à une conférence internationale sur le thème « 50 ans d’action parlementaire au Maroc, développement de l’exercice parlementaire dans le monde », qui aura lieu ce lundi à Rabat, les deux présidents des deux chambres parlementaires ont délégué deux membres représentant ces deux institutions. « La participation du Parlement algérien, représenté par Adem Kobbi, membre du Conseil de la Nation et Brahmia Mohamed Cherif, membre de l'Assemblée populaire nationale (APN), intervient à l'invitation adressée aux présidents des deux chambres du Parlement algérien par leurs homologues marocains », indique ce dimanche un communiqué du Conseil de la Nation.
Selon le texte, les participants examineront, à cette occasion, plusieurs questions ayant trait notamment aux conditions de développement de l'action parlementaire, à la lumière des expériences en la matière, en se référant aux études élaborées par les différentes organisations parlementaires. C’est la seconde fois, en quelques jours, que l’Algérie réduit sa présence au strict minimum diplomatique dans une activité internationale à laquelle est invitée et organisée par le Maroc.
Le 14 novembre dernier, le ministre des AE, Ramtane Lamamra, n’avait pas assisté à la conférence sur la sécurité des frontières, organisée par Rabat et qui avait vu la présence du ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius. Depuis que le président Bouteflika a appelé, dans un discours lu à Abuja fin octobre, l’ONU à instituer un mécanisme de surveillance des droits de l’Homme au Sahara occidental, les relations entre les deux voisins sont tendues. Une tension qui s’est accentuée après l’intrusion, le 1er novembre, d’un jeune marocain dans l’enceinte du consulat d’Algérie à Casablanca et arraché le drapeau algérien. L’Algérie réclame depuis d’être associée à l’enquête sur cet acte présenté par Rabat comme « isolé ».
TSA
Invités à une conférence internationale sur le thème « 50 ans d’action parlementaire au Maroc, développement de l’exercice parlementaire dans le monde », qui aura lieu ce lundi à Rabat, les deux présidents des deux chambres parlementaires ont délégué deux membres représentant ces deux institutions. « La participation du Parlement algérien, représenté par Adem Kobbi, membre du Conseil de la Nation et Brahmia Mohamed Cherif, membre de l'Assemblée populaire nationale (APN), intervient à l'invitation adressée aux présidents des deux chambres du Parlement algérien par leurs homologues marocains », indique ce dimanche un communiqué du Conseil de la Nation.
Selon le texte, les participants examineront, à cette occasion, plusieurs questions ayant trait notamment aux conditions de développement de l'action parlementaire, à la lumière des expériences en la matière, en se référant aux études élaborées par les différentes organisations parlementaires. C’est la seconde fois, en quelques jours, que l’Algérie réduit sa présence au strict minimum diplomatique dans une activité internationale à laquelle est invitée et organisée par le Maroc.
Le 14 novembre dernier, le ministre des AE, Ramtane Lamamra, n’avait pas assisté à la conférence sur la sécurité des frontières, organisée par Rabat et qui avait vu la présence du ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius. Depuis que le président Bouteflika a appelé, dans un discours lu à Abuja fin octobre, l’ONU à instituer un mécanisme de surveillance des droits de l’Homme au Sahara occidental, les relations entre les deux voisins sont tendues. Une tension qui s’est accentuée après l’intrusion, le 1er novembre, d’un jeune marocain dans l’enceinte du consulat d’Algérie à Casablanca et arraché le drapeau algérien. L’Algérie réclame depuis d’être associée à l’enquête sur cet acte présenté par Rabat comme « isolé ».
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