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L’Algérie du Verbe, du Diable et de la haine

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  • L’Algérie du Verbe, du Diable et de la haine

    TSA - mardi, 26 novembre 2013 10:00
    Bloc-notes
    L’Algérie du Verbe, du Diable et de la haine
    Ghani Gedoui

    Le verbe de Sellal. J’ai lu, quelque part, que Sellal a été recadré par la présidence. En un mot, on lui aurait dit de préparer ses discours et de ne plus céder au doux pêché de l’improvisation.
    J’adore ce genre d’infos, venues de nulle part, qui ne cite pas la source tout en donnant l’impression au tout venant, d’être dans le secret des Dieux alors qu’il a peut-être inventé de toutes pièces ce qu’il nous vend pour de l’or.
    Et si nous prétendons le contraire, nous croira-t-on ? Alors nous disons que, selon certaines sources, proches de la présidence, cela va de soi, Sellal a été félicité pour l’accessibilité de son message dont l’humour, employé à bon escient, en est le support pédagogique. On lui a dit textuellement : " Merci pour ta fidélité au message présidentiel qui te permet (tu ou vous, de ça je n’en suis pas sûr) de toucher le plus grand nombre". Faux ce que je dis ? Aussi vrai que toutes les sources qui nous informent en incognito sur tout et son contraire.

    Tous ceux qui ont approché Sellal savent que l’homme a beaucoup d’esprit et qu’il est très gai, de cette gaieté dont les moralistes disent qu’elle est la politesse de l’esprit. Il se trouve qu’il détonne dans un milieu où les politiques sont ennuyeux, chagrins et pleurnicheurs. Vous n’avez qu’à voir leurs têtes. Soit ils ressemblent à des croque-morts, soit à des fous furieux. Vous voulez des noms ? Prenez-les tous y compris ceux du FLN qui nous font rire d’un humour spécial : jaune. « Couleur cocue », aurait dit Belayat qui pense qu’on lui a fait un enfant dans le dos. Il compte rebondir. Peut-être après la présidentielle quand la messe sera dite, jamais avant. Mais revenons à l’humour de Sellal. Premier ministre, on aurait aimé sans doute qu’il ait une tête de mort sous le poids des responsabilités. Qu’il hurle de rage devant les projets qui avancent cahin-caha, qu’il pleure de désespoir devant les fausses promesses des uns et les mensonges des autres. Peut-être aurait-on aimé ça, non ? Alors vous n’aurez pas pour votre comptant. Dans les traditions algériennes, la cuisine on ne la montre pas. En bon politique, il applique à la lettre dans l’action, comme Bouteflika d’ailleurs, l’axiome de Gramsci : « L’optimisme de la volonté et le pessimisme de l’intelligence. »

    Il s’en va, semant les projets, faisant bouger les choses, parlant le langage du peuple et non d’une certaine clique orientalisée. Sellal bouge. Et dans un pays que certains veulent immobile, cela dérange. Qu’il continue à bouger, les autres finiront bien par danser !
    Mokri et le diable
    A la veille des élections, Mokri, le patron du Hamas, en principe bon musulman, ne sait plus à quel saint se vouer. Doit-il aller à la présidentielle seul ? Sinon avec qui ? Sinon s’effacer au profit de qui ? Il est dans la perspective du TSB (Tout Sauf Bouteflika) Si le Diable se présentera demain, il lui donnera la main. Ce qui intéresse Mokri, au nom roumain et au prénom bien de chez nous : Abderrazak, c’est moins une alliance autour des idées que battre l’actuel président par tous les moyens. La question qui vaille, la seule de mon point de vue, est la suivante : pourquoi le Hamas de Mokri se pose-t-il dans cette perspective extrême alors qu’il n’y a pas si longtemps, ce même parti était dans l’alliance présidentielle. Je sais que certains d’entre vous vont convoquer les grandes et belles théories, les beaux principes. Eh bien, non. C’est juste une affaire de « Koursi ». Mokri fait monter la mayonnaise en cherchant l’alliance en position de force. Je me goure ? On verra. En attendant un conseil. Si Mokri veut être lisible, qu’il arrête de parler roumain. On me dit qu’il ne parle pas cette langue ? Diable, quelle langue parle-t-il ? L’arabe classique ? Pour moi, et pour au moins la moitié de la population, c’est du roumain.

    Les haineux aux petits pieds
    Sur ma page Facebook, certains lecteurs me demandent, sans rire, combien je suis payé par Bouteflika ou son frère pour dire autant de bien d’eux. Un seul a pensé que j’étais sincère. Un seul m’a cru de bonne foi. Un seul ne m’a pas dénigré, fustigé ou insulté. C’est symptomatique de la haine et du négativisme dans lesquels se trouvent certains Algériens, je ne dirais pas instruits, je ne dirais pas intellectuels, mais seulement lecteurs d’une certaine presse, formés par cette presse. Croyant qu’en insultant Bouteflika, on fait preuve de liberté de jugement, d’esprit critique et patati et patata.
    Ces lecteurs intolérants et haineux ne conçoivent d’autres positions autre que la leur. Ils reprochent à Bouteflika de ne pas être démocrate, ils font pire, sans avoir le pouvoir. Ils l’auraient, j’aurais été assassiné. Ils critiquent la pensée unique, et ils sont en plein. Pourquoi ne conçoivent-ils pas qu’il y ait des gens qui ne leur ressemblent pas, qu’il y ait des personnes, des Algériens veux-je dire, qui aiment Bouteflika et qui croient en lui. Au nom de quoi pensent-ils, eux qui versent dans l’insulte, qu’ils sont dépositaires de la vérité. Pourquoi ne pensent-ils pas qu’il y a mille vérités et que toutes doivent se confronter pour extraire le jus de ce que sera la Vérité. Pourquoi ? Qu’ils me le disent. Ou qu’ils me l’écrivent. Mais qu’ils arrêtent de m’insulter et d’insulter ceux qui sont différents d’eux. Arrêtez de grâce cette culture de la haine et de l’intolérance ! Allez, je vous le dis, rien que pour vous entendre, je répète : j’aime Bouteflika et je suis heureux de voter pour lui une nouvelle fois. Vous aimez Benflis ? Vous aimez Benbitour, Mokri ou Djaballah ? Je ne dirais pas que vous êtes des nuls. Je dirais : que le meilleur gagne !
    Et le meilleur, je ne vous apprendrai rien, le meilleur c’est l’Algérie !
    Othmane BENZAGHOU

  • #2
    Le verbe de Sellal. J’ai lu, quelque part, que Sellal a été recadré par la présidence
    il l'a lu où exactement ?
    " Celui qui passe devant une glace sans se reconnaitre, est capable de se calomnier sans s'en apercevoir "

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    • #3
      Le journal des fils Nezzar et Mediene, Algérie Patriotique...
      Othmane BENZAGHOU

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      • #4
        Tranquillisez-vous ....

        Soyez tranquille, mon frère, vous n’êtes pas le seul en Algérie à avoir beaucoup d'estime et de respect pour le président Bouteflika.
        Depuis qu'il est au pouvoir beaucoup de bonnes choses ont été réalisées pour le peuple algérien.
        Mon travail m'oblige à me déplacer énormément à travers le territoire national, à l'Est, à l'Ouest, au Sud et au Nord et à côtoyer les algériens lambda.
        Ces algériens ne disent que du bien du président Bouteflika et de ses nombreuses réalisations.

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        • #5
          ce n'est pas boutef c'est les algeriens qui bossent et c'est sonatrach qui regale, d'une et boutef à trahi la confiance de ces élus en tripotant la constitution ce n'etait pas dans son programme, il n'avait pas à le faire avec ses beniouioui du fln de deux.

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          • #6
            @danube

            La constitution va stipuler et specifier le role de chaque institution , une vraie décentralisation du pouvoir ...plus de confusion
            le nouveau président ne sera qu un symbole pour le blabla ...
            A qui sait comprendre , peu de mots suffisent

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            • #7
              Depuis qu'il est au pouvoir beaucoup de bonnes choses ont été réalisées pour le peuple algérien.
              HBOUM

              oublie pas de rajoute que tous ces réalisations sont taché d affaire de corruption est de trafique dans leur majorité !
              aussi les coupables ne sont jamais inquiété par la justice .



              ps

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