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Près de 10 milliards de DH investis par MedZ entre 2002 et 2012. La filiale du Groupe CDG, qui opère dans l’aménagement de zones d’activité spécialisées, a ainsi débloqué en moyenne un milliard de dirhams par an pour réaliser la majorité des Plateformes industrielles intégrées (P2I) mises en service au profit du Pacte national pour l’émergence industrielle. «Aujourd’hui, l’impact socio-économique des réalisations de MedZ est probant comme les chiffres l’attestent : une contribution à la croissance du PIB à hauteur de 8 milliards de dirhams et la création d’environ 30 000 emplois», indique Anass Houir Alami président du conseil de surveillance de MedZ, à l’occasion de la présentation du Rapport 2012 de cette filiale «locomotive» du pôle Infrastructures de la CDG.
Il faut dire que MedZ est aujourd’hui un des acteurs de référence dans l’aménagement des zones d’activité structurantes pour l’offshoring, l’industrie et la logistique.
Avec des niveaux d’investissement élevé, sa contribution a permis en effet d’accélérer au Maroc le rythme d’aménagement du foncier industriel, le portant à 200 hectares par an depuis 2009 au lieu de 40 auparavant.
À l'horizon 2015, le Maroc ambitionne de mettre en place un réseau de 16 P2I, sur plus de 2 000 hectares, à travers tout le Royaume, dont 9 sectorielles. À ce jour, plus de 1 000 hectares ont été placés auprès des aménageurs-développeurs, en tête MedZ.
MedZ aujourd’hui c’est 16 filiales et participations, 12 zones industrielles et logistiques, 5 zones touristiques, 4 zones offshoring (6 à terme). C’est aussi 270 000 m² de bureaux développés pour un objectif de 600 000 m² à l’horizon 2016, 1 700 hectares aménagés et plus de 200 000 emplois directs potentiels à terme. En raison de la crise mondiale qui n’est pas sans effet sur la concrétisation des investissements dans ces zones, la commercialisation en 2012 de certaines P21 n’a pas été à la hauteur des ambitions, comme l’avait signalé à maintes reprises l’ex-ministre de l’Industrie, du commerce et des nouvelles technologies, Abdelkader Amara.
Toujours est-il que le chiffre d’affaires consolidé (la majorité des projets d’aménagement sont logés dans des filiales de MedZ) a atteint plus de 819,20 millions de DH en 2012, contre plus de 1,10 milliard de DH en 2011.
Celui social a baissé à 112 millions de DH, contre 513 millions en 2012, essentiellement issu de la commercialisation des lots des projets industriels Jorf Lasfar, Agropole de Berkane, Zone d’activités Ait Kamra et Zone industrielle de Gzenaya ainsi que du projet touristique Zahrat Annakhil.
Le résultat d’exploitation de MedZ en 2012 (en social) se situe ainsi à 5 millions de DH, contre 154 millions en 2011, «du fait de la diminution du chiffre d’affaires et des marges inférieures sur les projets vendus pendant cet exercice».
Le résultat net (en social) plonge à – 222 millions de DH, contre -73 millions en 2011. Cela s’explique essentiellement, selon les responsables de MedZ par une provision de 223 millions de DH sur les titres de participation de Nemotek.
Mais le top management du Groupe CDG reste optimiste sur les perspectives de MedZ. «Sa volonté d’aller sur des investissements de long terme, son adossement au Groupe CDG, institution d’envergure sur le plan national, sa vocation citoyenne et l’expertise de son capital humain sont autant d’atouts qui font d’elle un opérateur unique en son genre, capable de faire la différence et d’enclencher une dynamique positive pour le pays» indique Anass Houir Alami qui est pour rappel le directeur général de la CDG.
En effet, les chiffres à fin juillet 2013 montrent que le plan d’action marketing et commercial de MedZ commence à porter ses fruits. À titre indicatif, 23 projets ont été commercialisés à la Technopole d’Oujda.
Cela correspond à 231 millions de DH d’investissement induit et 1 146 emplois potentiels directs. Au niveau de l’Agropole de Berkane, 18 projets ont été commercialisés à fin juillet 2013, soit 400 millions d’investissement induit et 800 emplois potentiels directs. Et ce n’est pas tout. 24 projets ont été commercialisés sur le Parc de Jorf Lasfar représentant 3,4 milliards de DH d’investissement induit et 4 938 emplois potentiels directs
- le matin
Il faut dire que MedZ est aujourd’hui un des acteurs de référence dans l’aménagement des zones d’activité structurantes pour l’offshoring, l’industrie et la logistique.
Avec des niveaux d’investissement élevé, sa contribution a permis en effet d’accélérer au Maroc le rythme d’aménagement du foncier industriel, le portant à 200 hectares par an depuis 2009 au lieu de 40 auparavant.
À l'horizon 2015, le Maroc ambitionne de mettre en place un réseau de 16 P2I, sur plus de 2 000 hectares, à travers tout le Royaume, dont 9 sectorielles. À ce jour, plus de 1 000 hectares ont été placés auprès des aménageurs-développeurs, en tête MedZ.
MedZ aujourd’hui c’est 16 filiales et participations, 12 zones industrielles et logistiques, 5 zones touristiques, 4 zones offshoring (6 à terme). C’est aussi 270 000 m² de bureaux développés pour un objectif de 600 000 m² à l’horizon 2016, 1 700 hectares aménagés et plus de 200 000 emplois directs potentiels à terme. En raison de la crise mondiale qui n’est pas sans effet sur la concrétisation des investissements dans ces zones, la commercialisation en 2012 de certaines P21 n’a pas été à la hauteur des ambitions, comme l’avait signalé à maintes reprises l’ex-ministre de l’Industrie, du commerce et des nouvelles technologies, Abdelkader Amara.
Toujours est-il que le chiffre d’affaires consolidé (la majorité des projets d’aménagement sont logés dans des filiales de MedZ) a atteint plus de 819,20 millions de DH en 2012, contre plus de 1,10 milliard de DH en 2011.
Celui social a baissé à 112 millions de DH, contre 513 millions en 2012, essentiellement issu de la commercialisation des lots des projets industriels Jorf Lasfar, Agropole de Berkane, Zone d’activités Ait Kamra et Zone industrielle de Gzenaya ainsi que du projet touristique Zahrat Annakhil.
Le résultat d’exploitation de MedZ en 2012 (en social) se situe ainsi à 5 millions de DH, contre 154 millions en 2011, «du fait de la diminution du chiffre d’affaires et des marges inférieures sur les projets vendus pendant cet exercice».
Le résultat net (en social) plonge à – 222 millions de DH, contre -73 millions en 2011. Cela s’explique essentiellement, selon les responsables de MedZ par une provision de 223 millions de DH sur les titres de participation de Nemotek.
Mais le top management du Groupe CDG reste optimiste sur les perspectives de MedZ. «Sa volonté d’aller sur des investissements de long terme, son adossement au Groupe CDG, institution d’envergure sur le plan national, sa vocation citoyenne et l’expertise de son capital humain sont autant d’atouts qui font d’elle un opérateur unique en son genre, capable de faire la différence et d’enclencher une dynamique positive pour le pays» indique Anass Houir Alami qui est pour rappel le directeur général de la CDG.
En effet, les chiffres à fin juillet 2013 montrent que le plan d’action marketing et commercial de MedZ commence à porter ses fruits. À titre indicatif, 23 projets ont été commercialisés à la Technopole d’Oujda.
Cela correspond à 231 millions de DH d’investissement induit et 1 146 emplois potentiels directs. Au niveau de l’Agropole de Berkane, 18 projets ont été commercialisés à fin juillet 2013, soit 400 millions d’investissement induit et 800 emplois potentiels directs. Et ce n’est pas tout. 24 projets ont été commercialisés sur le Parc de Jorf Lasfar représentant 3,4 milliards de DH d’investissement induit et 4 938 emplois potentiels directs
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