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Vouloir cerner la vie de l’illustre et vénéré Ali Ibn Abi Taleb dans un seul topic ou même dans un livre entier relève de la gageure… Je me suis rendu chez lui et je crois que, Imam qu’il est , va appliquer le hadith du prophète qui a pour sens: ‘’l’hôte à droit à trois jours’’ Je crois que je vais les rester, les trois jours…
Ali ben abī Tālib est le cousin du prophète, Il est né à la Mecque vers l’an 600. À l'âge de six ans, il quitte la maison de son père pour aller vivre sous le toit de Mohamed (saws). Une bonne trentaine d’années séparait les deux hommes. A l’avènement de l’islam, il avait environ dix ans et a été le premier jeune à embrasser la nouvelle religion après Khadidja et peut être Abou Bakr.
Malgré son jeune âge il était d’une sagesse inouïe. Doté aussi d’une intelligence exceptionnelle, le prophète lui avait prédit, à juste titre, un avenir radieux. Il apprenait le coran au fur et à mesure qu’il était révélé au prophète et sa sagesse s’aiguisait de jour en jour grâce à toute la période passée dans la demeure du messager et sous la coupe de ce dernier.
Sa fidélité, son sens du sacrifice et sa bravoure n’avaient pas d’égale dans l’entourage de Mohamed (saws). Les deux premiers qualificatifs, fidélité et sens du sacrifice, il les a prouvé lorsque les quoraïchites complotaient pour tuer le prophète dans son sommeil. L’ange Gabrièl informa Mohamed (saws) de ce complot et lui ordonna de ne pas dormir dans son gîte habituel. Dès que qu’Ali apprit la nouvelle, il se proposa de dormir au lieu et place du prophète pour faire diversion aux mécréants et leur faire croire s’ils accompliraient leur forfait, qu’ils ont éliminé Mohamed…
Peut-on être plus fidèle ?...
Le troisième qualificatif, bravoure, il le prouve dans ce récit que voici, un héroïsme inégalé, jugez-en :
Lors de Ghazouat El Khandak (la bataille des tranchées) Pour se défendre contre l’invasion des païens, les musulmans ont creusé des tranchées autour de la ville pour empêcher le passage de tout envahisseur. Opération réussie puisque leurs ennemis n’ont pu arriver à leur fin ; personne n’a pu passer sauf un et ce n’est pas n’importe qui, c’est Amr Ibn Abdi Oud.
Ce fameux Amr Ibn Abdi Oud était un intrépide chevalier mécréant, un combattant des grands jours dont le courage n’était plus à démontrer. Un véritable géant dont la méchanceté faisait dire aux femmes de Médine à leurs enfants lorsqu’ils ne voulaient pas dormir :’’tu dors ou j’appelle Amr Ibn Abdi Oud’’. Une cruauté imposante, un barbare sans égal…
Ce téméraire, après avoir passé le tranché, cria : O Mohamed, tu dis que tes morts sont au paradis et les notre en enfer, j’ai envie d’aller en enfer, moi, y aurait-il parmi vous quelqu’un qui voudrait aller au paradis, en venant m’affronter ?.
Les compagnons du prophète restèrent tous septiques à ces propos. À ce moment là Ali, Alors âgé à peine d’une vingtaine d’années ou un peu plus, demanda au prophète la permission d’aller affronter cette bête sauvage. Le prophète refusa catégoriquement, le trouvant trop jeune et inexpérimenté. Mais sur l’insistance d’Ali, il accepta puis se leva, enleva son turban et le porta sur la tête d’Ali enleva son épée et l’empoigna à Ali, puis lui prit gracieusement la tête, l’embrassa sur le front et regarda le ciel en disant : O seigneur des mondes, je te prie vivement de ne pas me prendre d’Ali comme tu m’as privé de Hamza à la bataille d’Ouhoud.
Ali descendra la crête et alla vers Abd Oud, l’épée du prophète à la main. Ce dernier dès qu’il l’a vu apparaître lui dis en riant : Tu t’es fait avoir par eux, retourne. Tu es trop jeune et tu seras un gibier facile pour mon épée.
Ali riposta avec une modestie indescriptible: Ce n’est pas parceque je suis trop jeune qu’ils m’ont permis de venir, non ; mais parceque je suis le moins noble parmi eux et tu ne mérites pas qu’un d’eux, se salisse les mains en te tuant.
Retourne d’où tu viens Amr, toi et tes soldats... Non dit-il, pas avant d’avoir eu la peau de celui que vous prenez pour un prophète.
Il est encore temps pour t’enfuir jeune homme, lança Amr Ibn Abdi Oud. Ali répondit aussitôt : puisque tu refuses la paix, je ne partirai qu’à une seule condition : que tu m’affrontes, moi ; et que toi tu restes sur ton cheval pour avoir un meilleur avantage, et moi au sol…
Le combat commença hors de la vue du prophète et de ses compagnons qui n’entendaient que des cris çà et là et les contacts des épées qui retentissaient. Puis soudain, un horrible cri d’agonie et de mort fût entendu, un hurlement assourdissant dont l’écho arriva jusqu’aux cimes des montagnes avoisinantes, puis soudain, plus rien, plus de chocs des épées, un silence glacial…. Tout le monde croyait que c’était le jeune Ali qui s’est fait tué mais voilà que notre héro remonte la crête avec sur l’épée du prophète à la main, avec dessus, la tête du mécréant…
Quel courage !...
Sid’na Ali m’a retenu, comme je l’ai dis plus haut, il insiste pour que je reste 3 jours, telle que le veut la tradition musulmane. Quel bonheur de pouvoir encore entendre de lui ces belles pages qui ont fait la gloire de notre religion.
Alors à demain In challah…
Zacmako
Ali ben abī Tālib est le cousin du prophète, Il est né à la Mecque vers l’an 600. À l'âge de six ans, il quitte la maison de son père pour aller vivre sous le toit de Mohamed (saws). Une bonne trentaine d’années séparait les deux hommes. A l’avènement de l’islam, il avait environ dix ans et a été le premier jeune à embrasser la nouvelle religion après Khadidja et peut être Abou Bakr.
Malgré son jeune âge il était d’une sagesse inouïe. Doté aussi d’une intelligence exceptionnelle, le prophète lui avait prédit, à juste titre, un avenir radieux. Il apprenait le coran au fur et à mesure qu’il était révélé au prophète et sa sagesse s’aiguisait de jour en jour grâce à toute la période passée dans la demeure du messager et sous la coupe de ce dernier.
Sa fidélité, son sens du sacrifice et sa bravoure n’avaient pas d’égale dans l’entourage de Mohamed (saws). Les deux premiers qualificatifs, fidélité et sens du sacrifice, il les a prouvé lorsque les quoraïchites complotaient pour tuer le prophète dans son sommeil. L’ange Gabrièl informa Mohamed (saws) de ce complot et lui ordonna de ne pas dormir dans son gîte habituel. Dès que qu’Ali apprit la nouvelle, il se proposa de dormir au lieu et place du prophète pour faire diversion aux mécréants et leur faire croire s’ils accompliraient leur forfait, qu’ils ont éliminé Mohamed…
Peut-on être plus fidèle ?...
Le troisième qualificatif, bravoure, il le prouve dans ce récit que voici, un héroïsme inégalé, jugez-en :
Lors de Ghazouat El Khandak (la bataille des tranchées) Pour se défendre contre l’invasion des païens, les musulmans ont creusé des tranchées autour de la ville pour empêcher le passage de tout envahisseur. Opération réussie puisque leurs ennemis n’ont pu arriver à leur fin ; personne n’a pu passer sauf un et ce n’est pas n’importe qui, c’est Amr Ibn Abdi Oud.
Ce fameux Amr Ibn Abdi Oud était un intrépide chevalier mécréant, un combattant des grands jours dont le courage n’était plus à démontrer. Un véritable géant dont la méchanceté faisait dire aux femmes de Médine à leurs enfants lorsqu’ils ne voulaient pas dormir :’’tu dors ou j’appelle Amr Ibn Abdi Oud’’. Une cruauté imposante, un barbare sans égal…
Ce téméraire, après avoir passé le tranché, cria : O Mohamed, tu dis que tes morts sont au paradis et les notre en enfer, j’ai envie d’aller en enfer, moi, y aurait-il parmi vous quelqu’un qui voudrait aller au paradis, en venant m’affronter ?.
Les compagnons du prophète restèrent tous septiques à ces propos. À ce moment là Ali, Alors âgé à peine d’une vingtaine d’années ou un peu plus, demanda au prophète la permission d’aller affronter cette bête sauvage. Le prophète refusa catégoriquement, le trouvant trop jeune et inexpérimenté. Mais sur l’insistance d’Ali, il accepta puis se leva, enleva son turban et le porta sur la tête d’Ali enleva son épée et l’empoigna à Ali, puis lui prit gracieusement la tête, l’embrassa sur le front et regarda le ciel en disant : O seigneur des mondes, je te prie vivement de ne pas me prendre d’Ali comme tu m’as privé de Hamza à la bataille d’Ouhoud.
Ali descendra la crête et alla vers Abd Oud, l’épée du prophète à la main. Ce dernier dès qu’il l’a vu apparaître lui dis en riant : Tu t’es fait avoir par eux, retourne. Tu es trop jeune et tu seras un gibier facile pour mon épée.
Ali riposta avec une modestie indescriptible: Ce n’est pas parceque je suis trop jeune qu’ils m’ont permis de venir, non ; mais parceque je suis le moins noble parmi eux et tu ne mérites pas qu’un d’eux, se salisse les mains en te tuant.
Retourne d’où tu viens Amr, toi et tes soldats... Non dit-il, pas avant d’avoir eu la peau de celui que vous prenez pour un prophète.
Il est encore temps pour t’enfuir jeune homme, lança Amr Ibn Abdi Oud. Ali répondit aussitôt : puisque tu refuses la paix, je ne partirai qu’à une seule condition : que tu m’affrontes, moi ; et que toi tu restes sur ton cheval pour avoir un meilleur avantage, et moi au sol…
Le combat commença hors de la vue du prophète et de ses compagnons qui n’entendaient que des cris çà et là et les contacts des épées qui retentissaient. Puis soudain, un horrible cri d’agonie et de mort fût entendu, un hurlement assourdissant dont l’écho arriva jusqu’aux cimes des montagnes avoisinantes, puis soudain, plus rien, plus de chocs des épées, un silence glacial…. Tout le monde croyait que c’était le jeune Ali qui s’est fait tué mais voilà que notre héro remonte la crête avec sur l’épée du prophète à la main, avec dessus, la tête du mécréant…
Quel courage !...
Sid’na Ali m’a retenu, comme je l’ai dis plus haut, il insiste pour que je reste 3 jours, telle que le veut la tradition musulmane. Quel bonheur de pouvoir encore entendre de lui ces belles pages qui ont fait la gloire de notre religion.
Alors à demain In challah…
Zacmako
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