Mots assaillant le quotidien afin d'y enraciner le rêve et les folles espérances,
mots moteurs qui meuvent les inamovibles machines des corps inertes ayant perdu la capacité du mouvement,
Mots qui transpercent les murs des indifférences maudites pour arracher les significations qui se détachent des murs froids des mutismes inconséquents,
Mots qui s'approprient les délires des images, mirages des moments qui se vident de leurs sens,
Mots qui s'approchent des rivages des phrases interdites en quête des silencieuses mélodies des phrases d'amour qui jouissent des nuits qui vibrent,
Mots coupables qui harcèlent les heures taraudées par le désir maintes fois assouvi et dont les étoiles confidentes et témoins complices conservent les traces,
Mots qui abreuvent les serments d'amour échangés dans le secret des moments de pur bonheur entre des êtres qui tentent d'oublier le temps qui passe,
Mots d'amour déposés délicatement sur les lèvres des matins qui célèbrent le parfum des roses qui palpitent encore du désarroi des sens et se taisent pour écouter le jour qui se lève,
Mots polis, mots séditieux, mots indécents, mots rougissants, mots obéissants, mots rebelles, mots turbulents qui bousculent les certitudes,
Mots dociles qui hantent les lieux des consensus, mots terribles qui fustigent toutes les attitudes soumises,
Mots simples qui aiment la complexité de la nature des êtres et des choses,
mots qui mordillent la face du désir pour puiser le nectar subtile aux sources du plaisir dont se délectent les amants,
Mots qui se bousculent et qui interrogent l'embrasement des horizons sur la nature et les origines des déséquilibres et des incompréhensions,
Mots orphelins dont le sens s'est tari et dont la sève s'achève dans un espace déserté par les charmes des néologismes,
mots neurasthéniques, mots obsession, mots étranges qui étranglent les moments de faiblesse assumée,
Mots fascinants, mots fascinés par les outrecuidances qui décontenancent et génèrent la détresse des sens jaloux du temps qui passe,
Mots égarés au milieu de nulle part qui cherchent leurs sens dans les mémoires des déserts des vies sans amour,
Mots rebelles narguant l'étymologie, source de ruptures et de désaccords, mots sereins avides d’harmonies des significations,
Mots indigents qui s’étonnent de la profusion polysémique des logorrhées des discours impurs et des non sens des propos désabusés,
Mots sincères qui accompagnent les heures des nuits assaillies de désirs et tremblantes des émois des amoureux qui caressent les rêves d’éternité,
Mots qui meurent avant d'avoir parlé,
Mots qui prennent naissance dans la gorge des moments impavides,
Mots qui torpillent les réticences,
Mots qui fragilisent les vigilances,
Mots qui sèment les espoirs dans le cœur des indésirables réalités des quotidiens rétifs,
Mots qui parfument l’intimité des phrases dépourvues des parcelles d’humanité,
Mots qui chantent ceux de leurs congénères oubliés par la civilisation qui avance,
Mots qui rident la face lisse et tranquille des nuits désertées par le désarroi des sens,
Mots qui pleurent les amours indécises et incertaines privées de la douce présence des harmonieuses éloquences des cœurs, des yeux et des sens,
Mots qui ne naissent que pour ne parler que de la guerre que les hommes se livrent sans cesse,
Mots d’ire qui virent dans tous les sens et attirent l’attention des sempiternelles récriminations de tous ceux perdent l’ordre des choses et des êtres pris dans les turbulences,
Mots, fulgurantes escarbilles qui rallument la flamme des amours qui se meurent faute de continuer à inventer les rêves,
Mots de rêve qui percutent les indolences coupables des êtres oublieux des indispensables complicités que font naître les gestes d’amour et les caresses.
mots moteurs qui meuvent les inamovibles machines des corps inertes ayant perdu la capacité du mouvement,
Mots qui transpercent les murs des indifférences maudites pour arracher les significations qui se détachent des murs froids des mutismes inconséquents,
Mots qui s'approprient les délires des images, mirages des moments qui se vident de leurs sens,
Mots qui s'approchent des rivages des phrases interdites en quête des silencieuses mélodies des phrases d'amour qui jouissent des nuits qui vibrent,
Mots coupables qui harcèlent les heures taraudées par le désir maintes fois assouvi et dont les étoiles confidentes et témoins complices conservent les traces,
Mots qui abreuvent les serments d'amour échangés dans le secret des moments de pur bonheur entre des êtres qui tentent d'oublier le temps qui passe,
Mots d'amour déposés délicatement sur les lèvres des matins qui célèbrent le parfum des roses qui palpitent encore du désarroi des sens et se taisent pour écouter le jour qui se lève,
Mots polis, mots séditieux, mots indécents, mots rougissants, mots obéissants, mots rebelles, mots turbulents qui bousculent les certitudes,
Mots dociles qui hantent les lieux des consensus, mots terribles qui fustigent toutes les attitudes soumises,
Mots simples qui aiment la complexité de la nature des êtres et des choses,
mots qui mordillent la face du désir pour puiser le nectar subtile aux sources du plaisir dont se délectent les amants,
Mots qui se bousculent et qui interrogent l'embrasement des horizons sur la nature et les origines des déséquilibres et des incompréhensions,
Mots orphelins dont le sens s'est tari et dont la sève s'achève dans un espace déserté par les charmes des néologismes,
mots neurasthéniques, mots obsession, mots étranges qui étranglent les moments de faiblesse assumée,
Mots fascinants, mots fascinés par les outrecuidances qui décontenancent et génèrent la détresse des sens jaloux du temps qui passe,
Mots égarés au milieu de nulle part qui cherchent leurs sens dans les mémoires des déserts des vies sans amour,
Mots rebelles narguant l'étymologie, source de ruptures et de désaccords, mots sereins avides d’harmonies des significations,
Mots indigents qui s’étonnent de la profusion polysémique des logorrhées des discours impurs et des non sens des propos désabusés,
Mots sincères qui accompagnent les heures des nuits assaillies de désirs et tremblantes des émois des amoureux qui caressent les rêves d’éternité,
Mots qui meurent avant d'avoir parlé,
Mots qui prennent naissance dans la gorge des moments impavides,
Mots qui torpillent les réticences,
Mots qui fragilisent les vigilances,
Mots qui sèment les espoirs dans le cœur des indésirables réalités des quotidiens rétifs,
Mots qui parfument l’intimité des phrases dépourvues des parcelles d’humanité,
Mots qui chantent ceux de leurs congénères oubliés par la civilisation qui avance,
Mots qui rident la face lisse et tranquille des nuits désertées par le désarroi des sens,
Mots qui pleurent les amours indécises et incertaines privées de la douce présence des harmonieuses éloquences des cœurs, des yeux et des sens,
Mots qui ne naissent que pour ne parler que de la guerre que les hommes se livrent sans cesse,
Mots d’ire qui virent dans tous les sens et attirent l’attention des sempiternelles récriminations de tous ceux perdent l’ordre des choses et des êtres pris dans les turbulences,
Mots, fulgurantes escarbilles qui rallument la flamme des amours qui se meurent faute de continuer à inventer les rêves,
Mots de rêve qui percutent les indolences coupables des êtres oublieux des indispensables complicités que font naître les gestes d’amour et les caresses.
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