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REVISION DE LA CONSTITUTION : l’arlésienne

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    REVISION DE LA CONSTITUTION : l’arlésienne


    Algerie Express - Publié le vendredi 29 novembre 2013 18:35
    Écrit par Hamid Guerni

    On ne sait plus qui croire au sujet de la révision de la constitution. Les courtisans de Bouteflika ne cessent de dérouter l’opinion par leurs déclarations contradictoires autour du calendrier. Le patron du FLN, Amar Saadani, jure par tous les saints que la révision de la loi fondamentale interviendra avant l’élection présidentielle. D’autres après lui ont même avancé le mois de décembre comme échéance ultime pour cette révision. Or ne voilà-t-il pas que, ce jeudi, depuis Paris, où il était en visite officielle, le ministre de l’industrie, Amara Benyounes, confie à France 24 que la révision de la constitution ne se fera qu’après l’élection présidentielle. « Je pense qu’elle aura lieu après les élections présidentielles, nous n’avons pas le temps d’organiser un référendum ou des élections pour la révision de la constitution », a-t-il dit. Amara Benyounes, thuriféraire de Bouteflika dont il soutient un 4é mandat y va avec ses confidences, pour faire accroire que lui aussi est dans l’intimité du chef de l’Etat,à moins qu’il ne soit chargé de délivrer un message en destinant la primeur de son « info » à un média français.



    Dans un cas, comme dans l’autre, les contradictions autour de la date de la révision de la constitution dénotent d’une indécision chez Bouteflika quant à trancher sur cette échéance.

    Plusieurs mois après lui avoir remis son rapport, la commission nationale chargée de la mise en conformité du texte de la nouvelle constitution n’a toujours pas reçu de feed-back. Un membre de la dite commission, cité par Jeune Afrique, a soutenu récemment que Bouteflika a lu le texte et l’a mis de côté sans y apporter la moindre remarque. Il ne voudrait rien entreprendre avant de trancher la question liée au profil du vice-président. La nouvelle institution qu’il compte instituer, pour important qu’elle soit, suscite une guerre de tranchées au niveau du sérail. L’option Mouloud Hamrouche, auquel Bouteflika aurait pensé dans un premier temps, assuré de l’aval du FFS, s’en trouve du coup perturbée.

    Hamid Guerni
    Othmane BENZAGHOU

  • #2
    Ces analystes du shabat, depuis le temps, n'ont pas encore compris que le joueur de bridge ne dévoile jamais ses cartes. Certains ont même tendance à n'abattre les atouts, que quand ils ont décryptés le jeu des adversaires, et le spectacle est déconcertant d'amateurisme des ces experts en expertologie... il devraient aussi s'intéresser à qui fait le mort dans cette partie de 2014, où la main est encore une foi du même coté...

    Quant à l'option Hamrouche, on en reparlera le moment voulu... quand on aura guéri de la "peste"...
    Dernière modification par ott, 29 novembre 2013, 20h22.
    Othmane BENZAGHOU

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