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Quand le bâtiment va, tout va ...
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Privatisation des cimenteries
L’entreprise italienne Buzzi a pied dans deux cimenteries
El-Watan
27/09/2006
Meziane Rabhi
L’entreprise italienne Buzzi Unicem Spa affirme, dans un communiqué, avoir acquis 35% des actions du cimentier algérien Hadjar Soud et une participation équivalente dans la cimenterie de Sour El-Ghozlane.
Buzzi Unicem Spa évoque un contrat de gestion de deux cimenteries pour leur mise à niveau, leur réhabilitation et leur développement. “Buzzi Unicem aura la responsabilité de gestion des deux unités productives, ainsi qu’une représentation dans les organes de gestion des sociétés”, souligne le communiqué. Le prix offert pour les parts acquises a été de 58 millions d’euros pour Hadjar Soud et de 52 millions d’euros pour Sour El-Ghozlane.
La perspective de l’augmentation de la demande nationale sur le ciment pour l’exécution des différents programmes, notamment ceux du Sud et des Hauts-Plateaux, fait que ce secteur attire de plus en plus d’investisseurs.
En effet, l’industrie nationale, principalement le ciment et la sidérurgie, sera de plus en plus sollicitée pour répondre à la demande induite par les grands chantiers (un million de logements, autoroute Est-Ouest…), lancés dans le cadre du programme complémentaire de consolidation de la croissance.
Récemment, le ministre de l’Industrie Mahmoud Khedri, dans un communiqué transmis à la rédaction, annonce avoir reçu le deuxième vice-président du conseil d’administration et directeur général du groupe des ciments des Émirats arabes unis, Al-Ittihad, M. Abdallah Mohamed Sayyah, lequel “a émis le souhait de réaliser une cimenterie suivant la formule d’investissement direct étranger”.
La capacité de la cimenterie qu’envisage de construire le groupe émirati est estimée entre 2,5 et 3 millions de tonnes de ciment gris par an, “de qualité supérieure, répondant aux normes internationales”. M. Abdallah Mohamed Sayyah précise, selon le communiqué, que la totalité de la production sera écoulée sur le marché local et ne seront exportés que les excédents.
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Privatisation des cimenteries
L’entreprise italienne Buzzi a pied dans deux cimenteries
El-Watan
27/09/2006
Meziane Rabhi
L’entreprise italienne Buzzi Unicem Spa affirme, dans un communiqué, avoir acquis 35% des actions du cimentier algérien Hadjar Soud et une participation équivalente dans la cimenterie de Sour El-Ghozlane.
Buzzi Unicem Spa évoque un contrat de gestion de deux cimenteries pour leur mise à niveau, leur réhabilitation et leur développement. “Buzzi Unicem aura la responsabilité de gestion des deux unités productives, ainsi qu’une représentation dans les organes de gestion des sociétés”, souligne le communiqué. Le prix offert pour les parts acquises a été de 58 millions d’euros pour Hadjar Soud et de 52 millions d’euros pour Sour El-Ghozlane.
La perspective de l’augmentation de la demande nationale sur le ciment pour l’exécution des différents programmes, notamment ceux du Sud et des Hauts-Plateaux, fait que ce secteur attire de plus en plus d’investisseurs.
En effet, l’industrie nationale, principalement le ciment et la sidérurgie, sera de plus en plus sollicitée pour répondre à la demande induite par les grands chantiers (un million de logements, autoroute Est-Ouest…), lancés dans le cadre du programme complémentaire de consolidation de la croissance.
Récemment, le ministre de l’Industrie Mahmoud Khedri, dans un communiqué transmis à la rédaction, annonce avoir reçu le deuxième vice-président du conseil d’administration et directeur général du groupe des ciments des Émirats arabes unis, Al-Ittihad, M. Abdallah Mohamed Sayyah, lequel “a émis le souhait de réaliser une cimenterie suivant la formule d’investissement direct étranger”.
La capacité de la cimenterie qu’envisage de construire le groupe émirati est estimée entre 2,5 et 3 millions de tonnes de ciment gris par an, “de qualité supérieure, répondant aux normes internationales”. M. Abdallah Mohamed Sayyah précise, selon le communiqué, que la totalité de la production sera écoulée sur le marché local et ne seront exportés que les excédents.
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