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(CercleFinance.com) - Les grands barils de référence conservaient leur avance récente ce midi, notamment le Brent qui se maintient à son plus haut niveau en deux mois. Le contrat sur le baril de Brent de mer du Nord livrable en janvier prenait symboliquement 0,1% à 112 dollars quand le WTI américain gagnait 0,4% à 97,6 dollars.
Rappelons que le 7 novembre dernier, le Brent se traitait aux environs de 103,5 dollars. Il faut remonter jusqu'au 10 octobre pour retrouver un Brent un 112 dollars.
Le WTI, lui, a touché son plus bas niveau récent vers 92 dollars à la toute fin du mois de novembre, alors que le stocks commerciaux s'accumulaient outre-Atlantique.
Cependant, après dix semaines consécutives de hausse, les réserves de brut américaines mesurées par l'Energy Information Agency ont baissé : hier, l'agence fédérale a fait état d'un recul marqué de cette jauge de 391,4 à 385,8 millions de barils. Non seulement ce recul est le premier depuis mi-septembre, mais il surclasse largement des attentes de l'ordre d'un million d'unités seulement.
'Alors que le taux d'utilisation des raffineries commence à remonter (en prévision de l'hiver et des besoins en fuel de chauffage, ndlr), les réserves de brut ont vivement reculé', expliquent les spécialistes Matières premières d'ANZ.
Les analystes d'ANZ soulignent aussi que les indicateurs de demande étaient orientés en hausse, alors que les Etats-Unis consomment à eux seuls environ le 5e du pétrole au niveau mondial.
Le cours du brut a également été soutenu par le maintien par l'OPEP de ses quotas (à 30 millions de barils/jour), annoncé hier par le cartel pétrolier en dépit de la production restreinte de certains de ses membres (Libye, Iran, voire Irak). Sans oublier des statistiques toujours favorables en provenance des Etats-Unis.
Rappelons que le 7 novembre dernier, le Brent se traitait aux environs de 103,5 dollars. Il faut remonter jusqu'au 10 octobre pour retrouver un Brent un 112 dollars.
Le WTI, lui, a touché son plus bas niveau récent vers 92 dollars à la toute fin du mois de novembre, alors que le stocks commerciaux s'accumulaient outre-Atlantique.
Cependant, après dix semaines consécutives de hausse, les réserves de brut américaines mesurées par l'Energy Information Agency ont baissé : hier, l'agence fédérale a fait état d'un recul marqué de cette jauge de 391,4 à 385,8 millions de barils. Non seulement ce recul est le premier depuis mi-septembre, mais il surclasse largement des attentes de l'ordre d'un million d'unités seulement.
'Alors que le taux d'utilisation des raffineries commence à remonter (en prévision de l'hiver et des besoins en fuel de chauffage, ndlr), les réserves de brut ont vivement reculé', expliquent les spécialistes Matières premières d'ANZ.
Les analystes d'ANZ soulignent aussi que les indicateurs de demande étaient orientés en hausse, alors que les Etats-Unis consomment à eux seuls environ le 5e du pétrole au niveau mondial.
Le cours du brut a également été soutenu par le maintien par l'OPEP de ses quotas (à 30 millions de barils/jour), annoncé hier par le cartel pétrolier en dépit de la production restreinte de certains de ses membres (Libye, Iran, voire Irak). Sans oublier des statistiques toujours favorables en provenance des Etats-Unis.
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