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Maroc : Karim Tazi cède ses parts dans TelQuel pour divergences éditoriales
Publié le 05.12.2013 à 18h52 | Par El Hadji Mamadou Gueye
Entre TelQuel et Karim Tazi, c’est le divorce. L’entrepreneur et militant associatif a décidé de se retirer de l’hebdomadaire et de céder ses parts à son associé Khalid El Hariry en raison des divergences philosophiques et d’ordre éditorial qui « présentaient un risque réel d’exacerbation entre actionnaires ».
Dans un communiqué, Karim Tazi a expliqué les raisons de ce départ qui est en partie motivé par certains risques notamment celui « d’indisposer certains décideurs, politiques et annonceurs ». Ce départ est aussi dû aux « réelles marges de manœuvre qui existent malgré tout, qui ont fait l’objet d’appréciation différente parmi les actionnaires », ajoute-t-il.
Selon l’entrepreneur, « ni le travail quotidien des journalistes, ni les prochaines étapes du processus de transformation que connaît le magazine, ne devaient être perturbées par de telles divergences ». Ce retrait intervient au moment où l’hebdomadaire vient de lancer sa nouvelle formule et d’investir le Web.
ya biladi
Publié le 05.12.2013 à 18h52 | Par El Hadji Mamadou Gueye
Entre TelQuel et Karim Tazi, c’est le divorce. L’entrepreneur et militant associatif a décidé de se retirer de l’hebdomadaire et de céder ses parts à son associé Khalid El Hariry en raison des divergences philosophiques et d’ordre éditorial qui « présentaient un risque réel d’exacerbation entre actionnaires ».
Dans un communiqué, Karim Tazi a expliqué les raisons de ce départ qui est en partie motivé par certains risques notamment celui « d’indisposer certains décideurs, politiques et annonceurs ». Ce départ est aussi dû aux « réelles marges de manœuvre qui existent malgré tout, qui ont fait l’objet d’appréciation différente parmi les actionnaires », ajoute-t-il.
Selon l’entrepreneur, « ni le travail quotidien des journalistes, ni les prochaines étapes du processus de transformation que connaît le magazine, ne devaient être perturbées par de telles divergences ». Ce retrait intervient au moment où l’hebdomadaire vient de lancer sa nouvelle formule et d’investir le Web.
ya biladi
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