Le négociations salariales avec les organisations syndicales s’annoncent tendues. Les grandes entreprises ont en effet revu à la baisse leurs enveloppes d’augmentations salariales par rapport à ce qui avait été prévu cet été. En juillet, elles tablaient en moyenne sur 2,8%. Ce sera finalement 2,3%, assure le cabinet Watson Towers qui s’appuie sur les données recueillies auprès de 63 grands groupes français.
Et apparemment, au sein de chaque entreprise, tous les salariés seront logés à la même enseigne avec des hausse de 2,2% pour les cadres et les non cadres et de 2,3% pour les cadres dirigeants. Des chiffres que l'on retrouve dans la plupart des secteurs d'activité.
"Les grandes entreprises vont également revoir à la baisse leurs budgets de recrutement puisque 52% d’entre elles en prévoient une diminution (40% envisagent de les maintenir)", observent les auteurs de cette étude. Une majorité des sociétés interrogées (56%) assure également vouloir réduire leur recours au travail temporaire (CDD et Intérim).
Challenges
Et apparemment, au sein de chaque entreprise, tous les salariés seront logés à la même enseigne avec des hausse de 2,2% pour les cadres et les non cadres et de 2,3% pour les cadres dirigeants. Des chiffres que l'on retrouve dans la plupart des secteurs d'activité.
"Les grandes entreprises vont également revoir à la baisse leurs budgets de recrutement puisque 52% d’entre elles en prévoient une diminution (40% envisagent de les maintenir)", observent les auteurs de cette étude. Une majorité des sociétés interrogées (56%) assure également vouloir réduire leur recours au travail temporaire (CDD et Intérim).
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