L’Algérie signera en janvier prochain un accord de partenariat avec le géant américain de l’informatique International Busness Machines (IBM) pour la fabrication de puces électroniques, a indiqué hier à Alger le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Mohamed Mebarki.
“Des démarches sont en cours afin de concrétiser dans le mois à venir un accord stratégique avec IBM, pour l’accompagnement à la conception et la production de puces électroniques au niveau de la centrale technologique du Centre algérien de développement des technologies avances (CDTA)”, a précisé M. Mebarki. Il a expliqué que la signature de l’accord sera accompagnée par plusieurs autres mesures qui visent à doter la recherche de moyens conséquents à même de répondre aux besoins croissants du pays.
Le ministre s’est félicité, à cet égard, du niveau atteint par l’Algérie dans le domaine de la recherche, en déclarant que “les chercheurs algériens font du bon travail”, à l’image, a-t-il rappelé, des onze chercheurs, travaillant dans différentes disciplines scientifiques, qui ont obtenu jeudi dernier le prix de l’organisme international Thomson Reuters Awards pour les citations de leurs travaux dans le monde. Il a mentionné également l’annonce, en novembre dernier, de l’admission de l’Algérie au sein d’un partenariat avec 14 autres pays dans un programme spatial, portant sur le projet Jem-euso (le télescope spatial géant), qui a pour objectif principal de percer le mystère de l’origine de particules les plus énergétiques jamais observées dans l’univers.
Ainsi, 30 chercheurs algériens participent à côté de 300 chercheurs affiliés à 80 instituts prestigieux de par le monde, comme la Nasa. Ces résultats et ces avancées ont été obtenus “grâce à la mobilisation et aux compétences reconnues de nos chercheurs” et grâce aussi au programme quinquennal de la recherche qui a consacré un financement à hauteur de 1% du Produit intérieur.
Dans le but d’améliorer les capacités dans le domaine de la recherche scientifique, “une attention particulière est consacrée à la ressource humaine”, a-t-il fait savoir, indiquant, à ce propos, que des avis d’appel à recrutement de 500 ingénieurs sont en cours.
Il a ajouté que les efforts se poursuivront à travers le nouveau programme quinquennal de la recherche qui favorisera la promotion de l’innovation et de la production scientifique, la valorisation des résultats de la recherche et leur vulgarisation, ce qui constitue, a-t-il dit “l’essence même de l’action du gouvernement, dans sa quête d’un développement socio-économique cohérent du pays.”
Liberté
“Des démarches sont en cours afin de concrétiser dans le mois à venir un accord stratégique avec IBM, pour l’accompagnement à la conception et la production de puces électroniques au niveau de la centrale technologique du Centre algérien de développement des technologies avances (CDTA)”, a précisé M. Mebarki. Il a expliqué que la signature de l’accord sera accompagnée par plusieurs autres mesures qui visent à doter la recherche de moyens conséquents à même de répondre aux besoins croissants du pays.
Le ministre s’est félicité, à cet égard, du niveau atteint par l’Algérie dans le domaine de la recherche, en déclarant que “les chercheurs algériens font du bon travail”, à l’image, a-t-il rappelé, des onze chercheurs, travaillant dans différentes disciplines scientifiques, qui ont obtenu jeudi dernier le prix de l’organisme international Thomson Reuters Awards pour les citations de leurs travaux dans le monde. Il a mentionné également l’annonce, en novembre dernier, de l’admission de l’Algérie au sein d’un partenariat avec 14 autres pays dans un programme spatial, portant sur le projet Jem-euso (le télescope spatial géant), qui a pour objectif principal de percer le mystère de l’origine de particules les plus énergétiques jamais observées dans l’univers.
Ainsi, 30 chercheurs algériens participent à côté de 300 chercheurs affiliés à 80 instituts prestigieux de par le monde, comme la Nasa. Ces résultats et ces avancées ont été obtenus “grâce à la mobilisation et aux compétences reconnues de nos chercheurs” et grâce aussi au programme quinquennal de la recherche qui a consacré un financement à hauteur de 1% du Produit intérieur.
Dans le but d’améliorer les capacités dans le domaine de la recherche scientifique, “une attention particulière est consacrée à la ressource humaine”, a-t-il fait savoir, indiquant, à ce propos, que des avis d’appel à recrutement de 500 ingénieurs sont en cours.
Il a ajouté que les efforts se poursuivront à travers le nouveau programme quinquennal de la recherche qui favorisera la promotion de l’innovation et de la production scientifique, la valorisation des résultats de la recherche et leur vulgarisation, ce qui constitue, a-t-il dit “l’essence même de l’action du gouvernement, dans sa quête d’un développement socio-économique cohérent du pays.”
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