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Les islamophilistes, tontons flingueurs de la bureaucratie française 3/6

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  • Les islamophilistes, tontons flingueurs de la bureaucratie française 3/6

    René Naba Pro Assad? Vraiment?
    Qui parle et de quoi parle-t-on? De ce journaliste, chrétien de naissance, menacé de mort par les milices phalangistes, alliées des Syriens à l’époque, pour s’être refusé à un alignement sectaire durant la guerre interconfessionnelle libanaise (1975-1990)? De ce journaliste libanais en poste à l’AFP Beyrouth qui a subi le siège de l’armée syrienne de la capitale libanaise durant l’épisode de Tell el Zaatar, l’été 1976, de même que les tracasseries de la censure syrienne tout au long de sa carrière durant ses reportages à Damas, quand les tontons flingueurs de la bureaucratie française, -Burgat Leverrier-, bénéficiaient de la protection diplomatique française du fait de leur fonction en Syrie avec les indemnités d’expatriés y afférentes. Quand Basma Kodmani et sa sœur Hala vivaient au crochet de l’état syrien, protégées par l’immunité diplomatique de la fonction de leur père? Ah le zèle des résistants de la dernière heure.
    Entre les bénéficiaires de la protection diplomatique et les correspondants de guerre sans sas de sécurité, sans filet de secours, sans même gilet pare-balles à l’époque, entre les intellectuels médiatiques et les bi nationaux, il existe une différence d’échelle, ce que semblent ignorer les apprentis censeurs, mais qu’il m’importe de leur préciser: Quand le Liban, l’Algérie, la Syrie, l’Irak, la Libye, sont ravagés par la guerre civile, l’universitaire se borne à conjecturer, à l’abri du besoin, du gite et du couvert. A vérifier dans l’irréalité des chiffres et des lettres, la validité de ses hypothèses, quand les binationaux d’une double culture, pâtissent dans la chair de notre chair, les déchirures de notre pays d’origine. Avec en perspective un nouvel exode. Trente mois de conflits, 120.000 morts, près d’un million de déplacés autant de réfugiés, n’ont pas pour autant affectés le niveau de vie de François Burgat et d’Ignace Leverrier, ni leurs rémunérations, ni celles des bi nationaux franco syriens membres de l’opposition offshore.
    Dans une belle démonstration du fonctionnement réticulaire de son clan, ce message de ILeverrier, relayé par FBurgat sur Facebook sera amplifié par Kodmani Junior sur son site souriahouria.com/modalites-et-supports-de-la-communication-du-regime-syrien-par-ignace-leverrier . De nouveau sur la page Facebook de FBurgat, visiblement hanté par son contradicteur, au point de laisser ainsi toute latitude à des commentaires d’une grande indigence morale, quand bien même passibles de poursuite pour diffamation.
    Zaineb B-l René Naba grande figure du journaliste mercenaire ou plus exactement du mercenaire journaliste… Hier, à 17:18 ·
    Naba, journaliste mercenaire? Que dire de François Burgat, le subventionné européen, bénéficiaire, -en sus de son salaire de l’ordre de dix mille euros par mois environ, au titre de Directeur d’Institut expatrié-, d’une subvention de deux millions d’euros du Conseil européen des relations extérieures.
    Avec, en prime, aux frais du contribuable, une prolongation d’activité au-delà de l’âge de la retraite pour vaticiner sur le Monde arabe et musulman des propos du genre «Assad diviser pour survivre» , le titre de son dernier ouvrage «Pas de printemps pour la Syrie», comme si la règle «divide to rule» n’avait pas été poussée à son paroxysme par les colonisateurs européens pour maintenir leur emprise sur la sphère arabo-musulmane. Drôle de raisonnement que d’imputer au pouvoir syrien l’échec de son opposition à le renverser, et non à leurs divisions, nombreuses, et à leur incompétence, criarde.
    Que dire de la sœur de la gérante du site, Basma Kodmani, multicartes émargeant sur une pluralité de budget: Un budget français en tant qu’universitaire française, et, en sa qualité de directrice de l‘ARI (Arab Reform Initiative), une rétribution de fonds mixtes de cette structure financée notamment par les Emirats arabes Unies. Une structure initiée par Harry Siegman, membre du Council of Foreign Relations, activiste influent de la communauté juive progressiste de New York, via son lobby «ME-USA project», le projet américain pour le Moyen-Orient. Au point que les Frères Musulmans de Syrie réclameront son expulsion de la direction de l’opposition pour ses extravagances diplomatiques et financières.
    Que dire de Bourhane Ghalioune, qui quémandait au Qatar, en sus de son salaire d’universitaire français, un million de dollars tous les cinq jours, pour son train de vie de chef de l’opposition et autant pour l’Armée Syrienne Libre? Soit en 18 mois de présidence près de 108 millions de dollars. Un salaire de PDG d’une multinationale. Vive les révolutions pétro monarchiques. A propos de la demande démission de Basma Kodmani par les Frères Musulmans et du virement par le Qatar d’un million de dollars chaque cinq jours à Bourhane Ghalioune. CF: «La Brigade Al Farouk nous tue», message des combattants de l’intérieur à la hiérarchie de l’opposition sur les exactions de la brigade Al Farouk à Homs al-akhbar.com/node/63540 al-akhbar.com/sites/default/files/pdfs/20120418/p21 20120418.pdfal
    E – Romain Caillet: L’appendice thésarde de François Burgat
    En une belle démonstration du fonctionnement réticulaire du réseau, le message de FBurgat a été en activement relayé et commenté par son appendice thésarde basée à Beyrouth, Romain Caillet, en un langage châtié qui fait honneur à l’Université française et à la perspicacité de son tuteur quant au choix de son disciple.
    ‏@RomainCaillet : L’agent iranien René Naba, sévissant sur oumma.com , et ses contradictions
    RCaillet, boursier de l’Etat français apparait d’ailleurs au vu de sa production comme un des principaux pourvoyeurs du site néo islamiste Islametinfo:
    @Islametinfo René Naba dans le genre paternaliste n’est pas mal non plus : renenaba.com/l-islam-otage-du-wahhabisme/
    Du bel usage des bourses de l’enseignement supérieur et de la rigueur de la recherche académique. Agent iranien René Naba? Dans le genre paternaliste? Voyons voir. bolgs.mediapart.fr/blog/hedy-belhassine/221013/larabie-saoudite-un-royaume-des-tenebres.
    Nullement saisi par le doute surtout lorsqu’il s’agit de campagne de désinformation préludant aux offensives atlantistes contre le Monde arabe comme ce fut le cas en Irak, et la guerre anti soviétique d’Afghanistan, le plus grand détournement du combat arabe de la Palestine vers Kaboul, le quatuor -François Burgat, Ignace Leverrier-Thomas Pierret Romain Caillet- se lancera à l’assaut d’Oumma.com.
    Romain Caillet ‏@RomainCaillet – 8 Nov @Mu_Ha_Mad @SimNasr oumma.com n’est pas un site d’information mais une officine de propagande pro-iranienne et pro-Assad
    Alors rebelote: Oumma.com pro iranien ? Victime d’une «prise de guerre» de René Naba? Monstruosités proférées François Burgat et naturellement par ses phalanges, Ignace Leverrier sur les colonnes du Monde et Thomas Pierret (Médiapart), de même que Romain Caillet, sans possibilité d’exercer un droit de réponse tant dans le Monde que Médiapart. Voyons voir une fois encore. Oumma.com, le plus important site francophone d’Europe occidentale de sensibilité arabo musulmane, compte près d’un millier de contributeurs de différentes sensibilités, de divers horizons, notamment l’ambassadeur des Etats Unis en France, les politologues Gilles Kepel et Jean Pierre Filiu, le préfet Bruno Guigue, sans compter des théologiens, des humoristes et un capital de plusieurs milliers d’articles.
    Sur ce lot, en dix ans, une cinquantaine d’articles sont attribuables à René Naba, soit cinq par an, pas tous exclusivement consacrés à la Syrie, un nombre significatif au passif colonial non purgé de la France, d’autres à la guerre d’Irak, au Liban à la Palestine, aux pétromonarchies du Golfe et naturellement aux stratégies de communication qui l’autorisent à porter la contradiction à des analyses fantaisistes. Une lecture en contrechamps du discours dominant, le traitement des angles morts de la politique internationale.
    René Naba et Oumma.com pro-iranien? Ou Bandar Ben Sultan, le chef suprême du djihadisme planétaire, le plus ferme partisan de l’invasion américaine de l’Irak, qui a provoqué, par contrecoup, la destruction des assises sunnites du pouvoir irakien et permis à l’Iran de bénéficier d’un effet d’aubaine? Ou Al Qaîda, la créature de la dynastie wahhabite, dont le raid meurtrier contre les symboles de l’hyperpuissance américaine, le 11 septembre 2001, a entrainé, par ricochet, la destruction de l’Irak, en compensation de l’Arabie saoudite, chef de file sur le plan spirituel du Monde sunnite? Ou enfin la corporation de la presse atlantiste dont la propagande de guerre a préparé l’opinion occidentale à l’invasion de l‘Irak et à l’affaiblissement conséquente des Etats Unis, le meilleur allié de l’Arabie et d’Israël dans la zone?
    Pointer la prééminence de ce journaliste franco libanais dans la définition de la politique éditoriale du site constitue une insulte à l’intelligentzia française, à ses lecteurs et au rôle pilote des fondateurs du site dans le développement d’un débat pluraliste en France et dans la dénonciation de nombreuses turpitudes des dirigeants arabes ou musulmans.
    Sauf à vouloir jeter en pâture à l’opinion les noms de leurs contradicteurs, dans la pure tradition des «corbeaux» qui ont tant ravagé les campagnes françaises, une délation subliminale qui a constitué, sous Vichy, un des plus importants coefficients de remplissage des convois de Drancy.
    Un journaliste sur un site, seul, face à la quasi-totalité des grands médias, les quotidiens parisiens subventionnés, une singularité dans le Monde occidental, tout comme les grands vecteurs audiovisuels, également subventionnés par le contribuable, responsable à lui tout seul de la défaite diplomatique et médiatique française? Insigne honneur pour une personne dont l’acharnement à son égard témoigne de l’indigence intellectuelle et mentale de ses détracteurs. Décliné sur les divers segments médiatiques, en autant de variations sur le même thème, il a retenti dans ses propos conjugués comme «le discours de vaincus» du quartette islamophiliste, signant par là-même la défaite des branquignoles de la pensée stratégique française.
    Prolixe, Romain Caillet apparaitra rétrospectivement comme le premier thésard émargeant sur le budget public de l’Etat français se commettant d’office à une mission d’insulte publique, sans le moindre rappel à l’ordre de la tutelle, sans être désavoué par son patron de thèse.Rene Naba
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