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Les islamophilistes, tontons flingueurs de la bureaucratie française 4/6

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  • Les islamophilistes, tontons flingueurs de la bureaucratie française 4/6

    F- «L’islamophilisme».
    L’erreur est humaine mais sa répétition est diabolique. Un spécialiste qui se trompe lourdement sur l’objet de sa spécialisation cesse d‘être un spécialiste. Cela sera son cas en Libye, comme en Syrie, comme auparavant en Tunisie. En fait François Burgat est atteint d’islampohilisme; Un vocable utilisé dans les milieux universitaires pour désigner le zèle intempestif, sur fonds d’imprécations et d’approximations, de ces nouveaux prédicateurs de la société informelle, se départissant de leur rigueur académique pour instrumentaliser leur savoir au service de leur commanditaire, dont l’effet retard est de susciter, par contrecoup, une islamophobie. Drôle de comportement pour un universitaire grassement subventionné qui consacre une large fraction de son temps à des attaques ad hominem. Drôle d’exemple pour ses disciples. Ne décolérant pas, il usera de la même rengaine face à ses divers interlocuteurs, sans emporter leur adhésion.
    Le diagnostic de Chérif Ferjani: «François Burgat en porteur de valises des islamistes»
    Au scalpel, un universitaire franco-tunisien Chérif Ferjani (Lyon II) qualifiera François Burgat de «porteur de valises des islamistes», diagnostiquant sa pathologie: «François Burgat est plus fidèle à ses amis d’Ennahda que beaucoup d’islamistes qui ont fini par réaliser les impasses de l’idéologisation de l’islam…C’est l’occultation de ces faits qui permet à François Burgat de maquiller l’échec de ses amis islamistes en réussite.
    Et de décortiquer sa méthode en une démonstration implacable:
    Il (FB) a toujours accusé, dans les mêmes termes que ses amis islamistes, la gauche, les syndicalistes, les féministes et les laïcs qui luttent pour une démocratie respectueuse des droits humains de «connivence avec l’Occident impérialiste et la dictature. Il continue à le faire alors que c’est précisément leur résistance pacifique qui a évité jusqu’ici à la Tunisie de sanctionner le coup d’Etat islamiste par un coup d’Etat militaire ou policier comme en Egypte, soulignera Chérif Ferjani, couvrant de ridicule l’ancienne idole de la jeunesse néo islamiste.
    L’universitaire franco algérien Haoues Seniguer, (Lyon II), tempérera, pointant une forme de «néo-orientalisme non islamophobe» chez François Burgat, dans un ouvrage intitulé «Petit précis d’islamisme» paru aux Editions L’Harmattan en Novembre 2013.
    Cf. annexe documentaire: L’intégralité du texte de Chérif Ferjani sur le jeu trouble de François Burgat en Tunisie. Et sur ce lien, la totalité des analyses des chercheurs de Lyon 2 membres du Gremmo xxxxxxxxxxxxxxx Groupe de recherches et d’études sur la Méditerranée et le Moyen-Orient.
    Pour aller plus loin sur les dérives des spécialistes autoproclamés du Monde arabe particulièrement de la Tunisie:xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx
    G) – Ignace Leverrier, un stakhanoviste de l’intoxication tenant un discours de vaincu.
    Caméléon, Ignace Leverrier, animateur du blog «un œil sur la Syrie» au sein du journal Le Monde, se nomme Wladimir Glasman dans «Médiapart». Pétitionnaire compulsif, il entrainera son clan dans l’aventure, sa sainte trinité dans cette entreprise, sa firme dans cette pantalonnade: Le père Wladimir, son fils Frantz Glasman, stagiaire arabophone au ministère de la défense, et le Saint Esprit Viviane, médecin. Plus clairement dit, le chef du clan, avec le Quai d‘Orsay pour corps de rattachement, et son rejeton, le ministère de la défense pour port d’attache, se trouveront ainsi en état de transfusion avec les deux ministères régaliens les plus engagés dans la bataille de Syrie.
    Joueur de bonneteau, Ignace Leverrier, -de son vrai nom Wladimir Glasman, alias «Al Kazzaz», son sobriquet en arabe du temps où il exerçait ses fonctions de bibliothécaire à Damas-, n’abuse personne sauf sans doute lui-même sur ses capacités de dissimulation et de suggestion. Cet appel paru dans Médiapart porte, en effet, la signature du clan: Wladimir Glasman (2eme ligne), Thomas Pierret (15eme ligne), François Burgat (22me ligne), Romain Caillet (24eme ligne), Viviane Glasman (35eme ligne), Hala Kodmani (40eme ligne) et Frantz Glasman (60eme ligne).blogs.mediapart.fr/blog/thomas-pierret/230813/syrie-qui-ne-dit-mot-consent
    Mauvaise foi ou ignorance, Ignace Leverrier, en poste pendant près de dix ans en Syrie aura tout faux sur la Syrie. Ainsi à propos des armes chimiques, il estimera, le 10 septembre 2013 sur RFI, alors que le reflux occidental s’amorçait que «Damas va reporter indéfiniment la réponse sur les armes chimiques», sans se douter que la Syrie aura achevé leur démantèlement sous contrôle international moins d’un mois plus tard. xxxxxxxxxxxxxxxxxx Dans une opération de diversion, il ne pipera mot des otages occidentaux en Syrie, le père Paolo Dall’Oglio, un prêtre jésuite italien kidnappé par un groupe islamiste, une version locale Al Qaida, alors qu’il se proposait de négocier avec des dirigeants de l’Etat islamique d’Irak et du Levant (EIIL) la libération de personnes kidnappées, de même que le sort de quatre journalistes français retenus en otages en Syrie depuis juin 2013 sans doute également par la branche syrienne d’Al Qaida, Didier François (Europe 1), Edouard Elias free-lance, Deux journalistes français, Nicolas Hénin, reporter, et Pierre Torrès, photographe.
    Pas un mot également sur les méfaits au Mali d’Ansar Eddine, l’organisation humanitariste du Qatar, ni sur la duplicité du Qatar, le principal financier de l’opposition off-shore, ni sur la schizothymie de la France, son principal parrain occidental, combattant les néo islamistes au Mali et soutenant les djihadistes en Syrie. Pas un mot non plus sur le ressentiment syrien a l’égard de l’équarrissage de leur pays, au mépris des promesses formelles et écrites d’Aristide Briand, le ministre des affaires étrangères de l’époque, au négociateur français Georges Picot, ni de la reconstitution de la nouvelle alliance entre la France et la Turquie, les artisans du démembrement de la Syrie.
    Cf. annexe documentaire 2 «Document Paris 2 novembre 1915 (Archives du ministère des affaires étrangères) Instructions d’Aristide Briand, ministre des Affaires étrangères (1862-1932) à Georges Picot, consul de France à Beyrouth.
    L’homme boycottera ostensiblement l’un des rares chefs de l’opposition démocratique syrienne, non asservi au pouvoir de l’argent, ni à la tutelle atlantiste et pétro monarchique, Haytham Mannah, au prétexte que ce vétéran de la lutte pour les droits de l’homme n’a pas été choisi par le peuple. Comme si tous les bi nationaux de l’opposition syrienne, confortablement installés dans les pays d’exil, à l’abri du risque et du besoin, ont été frappés du sceau de la légitimité populaire, de Ghassane Hitto (Kurde, Etats Unis) ou de Abdel Basset Sida (Kurde, Suède). Haytham Mannah, l’homme qui assurera, précisément, sur recommandation de son collègue communiste Riad Turk, la jonction de Wladimir Glasman avec Sadreddine Bayanouni, le chef de la branche syrienne des Frères Musulmans, dans la décennie 1980, marquée sur le plan syrien par la révolte de Hama (1982), désormais abondamment courtisé par les chancelleries occidentales. Ah la belle ingratitude.
    Pour mémoire, Haytham Mannah recueille l’adhésion de 20 pour cent de la population syrienne contre 7 pour cent pour la coalition soutenue par I. Leverrier, selon le dernier sondage réalisé par les Américains en prévision de Genève II
    Le blogueur développera, en guise d’argumentaire, une suite ininterrompue de palindromes. Un argumentaire non fulminant, qui tonne comme la foudre, mais fuligineux qui projette de la suie. Une thématique invariable avec des termes interchangeables. Omniscient, insupporté par la contradiction, il inonde son contradicteur de ses imprécations. Un de ses contestataires qui a passé deux ans dans l’audiovisuel français donne ceci sous la plume de Glasman Leverrier: «Les contradictions ne manquent pas dans l’argumentaire “nationaliste” à deux vitesses de Naba. Celui qui prive Bassma Kodmani ou Bourhan Ghalioun de leur légitimité de citoyens syriens du seul fait de leur parcours professionnel en France oublie ainsi qu’il a été lui-même de très nombreuses années un rouage discipliné de l’audio-visuel français d’Etat».
    «Argumentaire nationaliste à deux vitesses de Naba»? Vraiment?
    Les mots ont un sens et ne sauraient constituer une enfilade de paroles verbales: Entre les binationaux de l’opposition syrienne off-shore et le journaliste franco libanais, il existe une différence de stature en ce que le journaliste n’a jamais porté les armes contre son pays d’origine, ni contre son pays d’adoption. Jamais appelé au renversement du système politique de son pays d’origine, depuis son pays d’adoption. Et vice versa. Jamais la moindre subvention. La moindre faveur. Le moindre passe-droit. Jamais.
    «De très nombreuses années un rouage discipliné de l’audio-visuel français d’Etat»? Vraiment ?
    Dans la pure tradition de l’agit prop des régimes totalitaires, ce bureaucrate docile, qu’il a été dans sa carrière, qui explique sa longévité administrative, ignore l’irrévérence dont peuvent faire preuve des journalistes impertinents. Sans craindre le ridicule, il assignera une servitude de servilité à l’ensemble du personnel de l’audiovisuel public, au mépris du comportement de glorieux confrères tels Bernard Langlois et Michel Polack. Pour les besoins de sa démonstration, il gommera le fait que sa cible a effectué l’essentiel de sa carrière à l’Agence France presse, sur le terrain, au bureau régional de l’AFP à Beyrouth, en tant que correspondant de guerre pour le Moyen Orient, puis, à Paris, en tant que responsable du Monde arabo musulman au service diplomatique de l’AFP. Vingt-cinq ans d’AFP et deux ans seulement en tant que conseiller du directeur général de RMC Moyen orient, une radio commerciale de droit monégasque et non «de très nombreuses années un rouage discipliné de l’audiovisuel français d’état». xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx x
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