Dans leur lettre, ces associations soulignent que le nouveau protocole de pêche répond dans une large mesure aux exigences formulées par le Parlement dans sa résolution de décembre 2011, tant du point de vue économique et financier que du point de vue de la durabilité sociale et environnementale.
Elles font aussi observer que le service juridique du Parlement européen a rendu dernièrement un avis positif sur l'accord de pêche UE-Maroc dans lequel il assure que celui-ci est parfaitement légal et est conforme à la législation européenne et au droit international.
Ces ONG rappellent également que le nouveau protocole a été approuvé par la commission de Pêche du Parlement européen et reçu aussi l'aval des commissions du Budget et de Développement de cette même institution.
Le protocole de pêche a également été approuvé par le Comité des représentants permanents des Etats membres de l'UE à Bruxelles (COREPER I), qui a adressé une correspondance au Parlement européen dans laquelle il recommande son adoption, ont-elles encore fait remarquer.
De même, ces associations rappellent les relations solides et privilégiées qu'entretient le Maroc avec son partenaire européen, relevant que le Royaume est le premier pays arabe à avoir accédé à un statut avancé auprès de l'UE et s'achemine aujourd'hui vers la constitution d'une zone de libre-échange approfondie avec l'Union.
Dans leur argumentaire, ces ONG mettent aussi en avant les avancées démocratiques et les réformes profondes engagées au Maroc, qui consolident de plus en plus les relations Maroc-UE et illustrent la volonté sincère du Royaume d'opérer un rapprochement optimal avec l'Europe.
Les 17 associations signataires attirent aussi l'attention des parlementaires européens sur la réalité du polisario qui, sur le plan international, n'est pas reconnu en tant que "mouvement de libération" et, encore moins, en tant que "représentant exclusif et légitime" de la population sahraouie.
Elles relèvent à ce propos que le polisario, soutenu par l'Algérie, ne bénéficie d'aucune assise juridique, populaire et encore moins d'une quelconque légitimité démocratique pour parler au nom de la population sahraouie.
Pour toutes ces raisons et bien d'autres, ces ONG invitent le Parlement européen à saisir l'occasion que représente le vote du 10 décembre pour collaborer d'une manière constructive avec le Maroc, en approuvant l'actuel protocole qui est de nature à renforcer le partenariat avec le Maroc et contribuer au développement socio-économique des populations locales, y compris dans le sud du Royaume.
media24
Elles font aussi observer que le service juridique du Parlement européen a rendu dernièrement un avis positif sur l'accord de pêche UE-Maroc dans lequel il assure que celui-ci est parfaitement légal et est conforme à la législation européenne et au droit international.
Ces ONG rappellent également que le nouveau protocole a été approuvé par la commission de Pêche du Parlement européen et reçu aussi l'aval des commissions du Budget et de Développement de cette même institution.
Le protocole de pêche a également été approuvé par le Comité des représentants permanents des Etats membres de l'UE à Bruxelles (COREPER I), qui a adressé une correspondance au Parlement européen dans laquelle il recommande son adoption, ont-elles encore fait remarquer.
De même, ces associations rappellent les relations solides et privilégiées qu'entretient le Maroc avec son partenaire européen, relevant que le Royaume est le premier pays arabe à avoir accédé à un statut avancé auprès de l'UE et s'achemine aujourd'hui vers la constitution d'une zone de libre-échange approfondie avec l'Union.
Dans leur argumentaire, ces ONG mettent aussi en avant les avancées démocratiques et les réformes profondes engagées au Maroc, qui consolident de plus en plus les relations Maroc-UE et illustrent la volonté sincère du Royaume d'opérer un rapprochement optimal avec l'Europe.
Les 17 associations signataires attirent aussi l'attention des parlementaires européens sur la réalité du polisario qui, sur le plan international, n'est pas reconnu en tant que "mouvement de libération" et, encore moins, en tant que "représentant exclusif et légitime" de la population sahraouie.
Elles relèvent à ce propos que le polisario, soutenu par l'Algérie, ne bénéficie d'aucune assise juridique, populaire et encore moins d'une quelconque légitimité démocratique pour parler au nom de la population sahraouie.
Pour toutes ces raisons et bien d'autres, ces ONG invitent le Parlement européen à saisir l'occasion que représente le vote du 10 décembre pour collaborer d'une manière constructive avec le Maroc, en approuvant l'actuel protocole qui est de nature à renforcer le partenariat avec le Maroc et contribuer au développement socio-économique des populations locales, y compris dans le sud du Royaume.
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