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Après avoir enregistré une baisse sensible ces dernières semaines, les prix du pétrole devraient reprendre leur hausse à partir de l’hiver, selon l’estimation du ministre de l’Energie et des Mines, M. Chakib Khelil.
En marge des questions orales à l’Assemblée populaire nationale, M. Khelil a déclaré à la presse que les cours du pétrole, qui sont passés de 70 dollars le baril en août à 60 dollars actuellement, «vont se stabiliser à leurs niveaux actuels ou baisser un peu avant de reprendre».
En réponse aux questions des journalistes, M. Khelil a expliqué que «la faiblesse actuelle des prix du pétrole est due notamment à la préoccupation exprimée sur l’affaiblissement de l’économie américaine, à l’accalmie de la situation géopolitique et à la douceur du climat devant la faiblesse des ouragans.
La faiblesse des prix est également due à la baisse de la demande d’essence aux Etats-Unis après la fin des vacances». Mais la tendance sera inversée dans ce pays dès l’hiver, a poursuivi le ministre, puisqu’on s’attend au fait que la demande soit «plus importante et augmente de 1,3 ou 1,4 million de barils par jour.
Ce qui aura pour conséquence de relancer les prix». «Nous pensons que l’année prochaine la demande sera plus importante, d’autant plus que l’économie américaine semble reprendre notamment avec l’éventuel accord entre les Etats-Unis et la Chine sur le domaine financier, ce qui pourrait réduire le déficit américain et aiderait par la même à baisser les taux d’intérêt», a encore souligné M. Khelil.
Invité à donner son avis sur l’inquiétude exprimée par certains producteurs quant à la poursuite de la baisse des prix, le ministre a estimé que «la baisse est normale en cette période», où ce sont les fondamentaux «offre, demande et stocks» qui contrôlent le marché et non la situation géostratégique, les ouragans, etc.
«Il est vrai que la situation devient préoccupante lorsque les prix baissent rapidement, alors qu’ils sont très élevés. Nous pensons actuellement qu’ils vont rester à ces niveaux ou peut-être même faiblir un peu plus pour atteindre 59 ou 58 dollars le baril.
Mais nous prévoyons que les prix vont se renforcer au début de l’année prochaine, soit en hiver, car c’est une période durant laquelle la demande augmente en général.»
- Le Jeune independant
En marge des questions orales à l’Assemblée populaire nationale, M. Khelil a déclaré à la presse que les cours du pétrole, qui sont passés de 70 dollars le baril en août à 60 dollars actuellement, «vont se stabiliser à leurs niveaux actuels ou baisser un peu avant de reprendre».
En réponse aux questions des journalistes, M. Khelil a expliqué que «la faiblesse actuelle des prix du pétrole est due notamment à la préoccupation exprimée sur l’affaiblissement de l’économie américaine, à l’accalmie de la situation géopolitique et à la douceur du climat devant la faiblesse des ouragans.
La faiblesse des prix est également due à la baisse de la demande d’essence aux Etats-Unis après la fin des vacances». Mais la tendance sera inversée dans ce pays dès l’hiver, a poursuivi le ministre, puisqu’on s’attend au fait que la demande soit «plus importante et augmente de 1,3 ou 1,4 million de barils par jour.
Ce qui aura pour conséquence de relancer les prix». «Nous pensons que l’année prochaine la demande sera plus importante, d’autant plus que l’économie américaine semble reprendre notamment avec l’éventuel accord entre les Etats-Unis et la Chine sur le domaine financier, ce qui pourrait réduire le déficit américain et aiderait par la même à baisser les taux d’intérêt», a encore souligné M. Khelil.
Invité à donner son avis sur l’inquiétude exprimée par certains producteurs quant à la poursuite de la baisse des prix, le ministre a estimé que «la baisse est normale en cette période», où ce sont les fondamentaux «offre, demande et stocks» qui contrôlent le marché et non la situation géostratégique, les ouragans, etc.
«Il est vrai que la situation devient préoccupante lorsque les prix baissent rapidement, alors qu’ils sont très élevés. Nous pensons actuellement qu’ils vont rester à ces niveaux ou peut-être même faiblir un peu plus pour atteindre 59 ou 58 dollars le baril.
Mais nous prévoyons que les prix vont se renforcer au début de l’année prochaine, soit en hiver, car c’est une période durant laquelle la demande augmente en général.»
- Le Jeune independant