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Le Qatar l'esclavage moderne: le pays ou on attire les pauvres pour vider encore plus

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  • Le Qatar l'esclavage moderne: le pays ou on attire les pauvres pour vider encore plus

    Amnesty International alerte sur la situation de travailleurs migrants au Qatar. Dans le pays des grands travaux, là où doit avoir lieu la Coupe du Monde, des travailleurs sont privés de salaire, et sont obligés d’emprunter de l’argent pour acheter de la nourriture. Dans un communiqué, Amnesty International précise la situation.

    À l’occasion de la Journée internationale des migrants, nous demandons aux autorités qatariennes de remédier à la situation désespérée des employés de Lee Trading and Contracting (LTC). qui ont travaillé dans des conditions pouvant s’apparenter à du travail forcé.

    Il y a un mois, Salil Shetty, secrétaire général d’Amnesty International avait déjà demandé aux ministères du Travail et de l’Intérieur de s’occuper en priorité de la situation dans cette entreprise, après s’être rendu dans le camp de travailleurs situé dans la zone industrielle d’al Sailiya.

    Les ouvriers ont expliqué à nos équipes qu’ils veulent aujourd’hui simplement récupérer les salaires qui leur sont dus, avant de quitter le pays.

    Depuis octobre 2013, ils sont cantonnés dans leur camp de travailleurs.

    En raison du système de « parrainage » restrictif en vigueur au Qatar, les ouvriers sont liés à LTC et ne sont pas autorisés à travailler pour une autre entreprise afin de gagner de l’argent.

    Les employés de LTC ne reçoivent pas de nourriture. Ils n’ont pas d’allocation pour l’alimentation et ne touchent pas de salaire pour se procurer à manger.

    L’entreprise leur versait 250 riyals (50 euros) par mois à titre d’allocation alimentaire, mais les versements ont cessé en octobre, lorsque le chantier a pris fin.

    Ils sont désormais contraints d’emprunter de l’argent pour acheter de la nourriture. Mi-novembre, plusieurs d’entre eux se sont plaints de souffrir de la faim auprès de nos équipes.

    Sans argent, pas de justice
    Les ouvriers ont tous porté plainte contre LTC auprès du tribunal du travail à Doha, afin de tenter de récupérer leur dû.

    Toutefois, le tribunal a demandé à chacun de s’acquitter de la somme de 600 riyals (environ 120 euros) pour régler le rapport d’expertise qui doit être réalisé dans le cadre de leur dossier. Tant qu’il n’est pas payé, l’affaire est dans l’impasse.

    Selon les travailleurs, le tribunal a rejeté leur demande de dérogation de règlement de ces frais en raison de leur situation financière.

    Pourtant, aux termes du droit qatarien du travail, les travailleurs sont censés être exemptés des frais de justice.

    Cette affaire illustre parfaitement les nombreux obstacles qui se dressent entre les travailleurs migrants et la justice au Qatar.

    DES STATISTIQUES ÉLOQUENTES

    90% des travailleurs migrants ont vu leur passeport confisqué par leur employeur

    56% n’avaient pas de carte de santé officielle, indispensable pour avoir accès aux hôpitaux publics

    21% touchaient leur salaire « parfois, rarement ou jamais » à temps

    20% percevaient un salaire différent de celui qui leur avait été promis

    15% faisaient un travail différent de celui qui leur avait été promis

    Source : sondage de 1 189 travailleurs à faible revenu du Qatar, réalisé en 2012 dans le cadre d’une enquête financée par le Fonds qatarien pour la recherche.

  • #2
    que allah les maudissent ces porcs du golfe

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    • #3
      les grattes ciel du Qatar ont été construits grâce au nouveau esclavage béni par les ricains :22:

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      • #4
        Que se soit le Qatar ou un autre pays arabe,toute personne se rendant dans ces pays a interet a bien lire son contrat,parce que pour les surprises il risque d'en trouver quelques unes ,et je sais de quoi je parle en connaissance de cause!!!Sauf qu'ici le Qatar de m... a dépasser les bornes

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        • #5
          les grattes ciel du Qatar ont été construits grâce au nouveau esclavage béni par les ricains :22:
          Et surtout:
          -Le blackout d'El Khanzeera et des ses soeurs comme Al Arabyia
          -La bienveillance des Khwanjia et des savants musulmans cathodique tel Al Qaradawi...(Auto-proclamé défenseurs de la veuve et de l'orphelin), pour enfoncer le clou les nouveaux esclaves viennent en partie de pays musulmans.
          -Les intelo-mercenaires tel Azmi Beshara et pseudo gourou des pseudo révolutions arabes, lui n'a rien vu...

          Malgré des milliards de petro-dollars extraites des entrailles de la terre, il faut en plus qu'ils rackettent les pauvres migrants qui viennent chercher leur gagne pain.

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          • #6
            Que se soit le Qatar ou un autre pays arabe,toute personne se rendant dans ces pays a interet a bien lire son contrat,parce que pour les surprises il risque d'en trouver quelques unes ,et je sais de quoi je parle en connaissance de cause!!!Sauf qu'ici le Qatar de m... a dépasser les bornes
            Oui mais tu as des forumistes qui sont toujours câblés sur al khanzeera qui n'a rien vu chez elle mais se plaint de ne pas être autorisé a venir voire chez nous...

            Commentaire


            • #7
              Oui mais tu as des forumistes qui sont toujours câblés sur al khanzeera qui n'a rien vu chez elle mais se plaint de ne pas être autorisé a venir voire chez nous.
              Cette chaine al -jazeera....!!!!
              Média-Golfe: Al Jazeera, la fin d’une légende

              Paris – Omniprésent sur terre et sur air, l’Emir de Qatar aura été incontestablement l’homme de l’année 2011, plus fort que Mohamad Bouazizi, dont l’immolation a déclenché le soulèvement salvateur du printemps arabe, réussissant le tour de force de retourner en sa faveur le cours de la révolution arabe.
              Mais le nouvel Air and Field Marshall du Monde arabe, dans un mouvement de balancier, aura dans le même temps, sinistré l’une des principales réalisations de son régime, la chaîne transfrontière Al Jazira, passant du rôle envié de prescripteur de l’opinion arabe, à celui moins glorieux de lanceur d‘alerte des menées anti arabes de l’Otan, faisant voler en éclat, en six mois, une crédibilité patiemment construite en quinze ans.
              «On the air» d’Al Jazira, l’autocrate intronisera l’égyptien Youssef Al Qaradawi en prédicateur électronique de la mouvance islamiste panarabe et maintiendra en couveuse, en réserve de la République, le tunisien Rached Ghannouchi, les deux flotteurs des Frères musulmans en exil, qu’il fera réhabiliter par les chancelleries occidentales, en les plaçant en orbite dans la foulée du renversement du président Hosni Moubarak (Egypte) et de Zine El Abidine Ben Ali (Tunisie).
              A coups de pétrodollars et d’esbroufe, amplifiée par la force cathodique d’Al Jazira, à l’époque à l’apogée de sa crédibilité, il cautionnera une intervention occidentale en Libye, réintroduisant le loup dans la bergerie, en la personne d’Abdel Hakim Belhadj, l’ancien chef des brigades islamiques de Libye et nouveau gouverneur militaire de Tripoli.
              En tandem avec le roman-enquêteur français Bernard Henri Lévy, qui lui dispute la palme pour 2011, les duettistes se vivront alternativement, successivement et cumulativement comme le nouveau Rommel du désert de la Cyrénaïque et le Von Paulus de la Tripolitaine, vivant quotidiennement les épopées conjuguées de la première armée d’Afrique et de l’Afrika Korps.

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              • #8
                Al-Jazeera
                Références
                1-Le noyau originel de l’équipe d’Al-Jazira a été constitué par des vétérans du service arabe de la BBC TV réduit au chômage du fait d’une rupture de contrat saoudien avec la chaîne saoudienne orbit partenaire de la chaîne arabophone anglaise. Faisant une sérieuse entorse à sa politique générale d’information, BBC a cédé à une cour assidue de M. Khaled Ben Mohamad Ben Abdel Rahman, patron du Holding al-Mawarid. Elle s’est associée avec ce proche parent du Roi Fahd pour lancer la première chaîne de télévision d’information continue en langue arabe avec le label de la chaîne britannique et les moyens de diffusion de la firme saoudienne «Orbit». L’idylle, de courte durée, 18 mois, se brisera sur le fracas des récriminations réciproques entre deux conceptions monarchiques apparemment inconciliables.
                Les Saoudiens ont d’abord imposé un prix prohibitif du décodeur de l’ordre du dix mille dollars, instaurant une sorte de censure par l’argent, puis prenant ombrage de l’hospitalité accordée par BBC TV à l’opposant saoudien en exil à Londres, Mohamad al-Massari, un physicien très populaire dans sa région d’origine, la région pétrolière de Dammam, ont abrogé le contrat, mettant sur le tapis près de deux cents employés arabophones.
                En guise d’épilogue à ce psychodrame d’une alliance contre nature, l’opposant saoudien sera finalement exilé vers les Bahamas, le Royaume Uni perdra dans la foulée un contrat militaire de plusieurs milliards de livres sterling et la firme Orbit conduite à payer une pénalité de l’ordre de cent millions de dollars pour rupture abusive du contrat.
                2- Pour le lecteur arabophone, ci-joint le lien sur les manipulations d’Al Jazira à propos de la couverture des évènements de Syrie. http://www.al-akhbar.com/node/44875
                Ainsi que la protestation du correspondant de la chaîne au Japon, le syrien Fadi Salameh, déplorant le recours quasi systématique aux correspondances de l’opposition syrienne dans la couverture des événements dont les approximations et les intoxications ont entrainé de graves erreurs d’appréciation et surtout l’assassinat de plusieurs membres de de son village http://www.al-akhbar.com/node/61099
                3- Waddah Khanfar, Natif de Djénine a épouse la nièce de Wasfi Tall, l’ancien premier ministre jordanien surnommé le «boucher d’Amman» pour sa répression des Palestiniens lors du septembre noir jordanien (1970).
                Deux reproches ont pesé sur gestion de huit ans à la tête d’Al Jazira (2003-2011): sa volonté d’imposer un code vestimentaire ultra strict aux présentatrices de la chaine, en conformité avec l’orthodoxie musulmane la plus rigoureuse (ce qui a entrainé la démission de quatre journalistes femmes), ainsi que sa publication des documents confidentiels sur les pourparlers israélo palestiniens «The Palestine Paper», discréditant les négociateurs palestiniens ; ce qui a conduit le chef des négociateurs palestiniens, Saeb Oureikate, à réclamer sa démission ; de même que l’Arabie saoudite effrayée par la crainte que la large couverture des soulèvements arabes par la chaîne du Qatar n’ait des répercussions sur la stabilité des petro monarchies.
                Ancien journaliste de la chaine gouvernementale américaine «Voice of America» a été propulsé à la direction de la chaîne Al Jazira par son ami libyen, Mohammad Jibril, qui appartenait au même courant islamiste que le palestinien. Propriétaire de JTrack, entreprise de média training chargée de former les dirigeants du Monde arabe et d’Asie du sud à la maitrise du langage médiatique, Mohamad Jibril a exercé des responsabilités gouvernementales au sein du Conseil National de transition libyen, lors de l’intervention atlantiste ayant entrainé la chute de Kadhafi.

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