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Le mouvement de grève des étudiants du campus Targa Ouzemmour, enclenché depuis deux semaines, pour dénoncer les conditions pédagogiques, jugées déplorables se poursuit.
Pour rappel, le mouvement de grève, entamé par les étudiants d’architecture auxquels se sont ralliés ceux du département de l’hydraulique et de biologie, vise à «dénoncer la dégradation du cadre des études au niveau du campus de Targa Ouzemmour» sur plusieurs plans.
Dans l’espoir de se faire entendre, les étudiants ont instauré une opération «campus vide», depuis maintenant deux semaines, mais en vain.
Plusieurs rencontres ont réuni les étudiants grévistes avec l’administration pour tenter de trouver une solution aux problèmes posés, en vain. Les doléances mises en avant par les protestataires englobent, à la fois, le volet pédagogiques et matériel, à savoir le renforcement de l’effectif encadreur, l’accès sans conditions aux deux paliers de master et de doctorat, la mise à disposition de plus de salles, d’équipements de recherche et de pratique adéquats, la construction de laboratoires et d’ateliers supplémentaires...
Les étudiants d’architecture en particulier exigent des «assurances» quant à l’avenir de leur spécialité au sein de l’université de Béjaïa puisque, selon certains étudiants, «l’administration voudrait se désengager vis-à-vis de cette filière et sacrifier les promotions en cours d’études». Il convient de signaler en outre que les protestataires promettent de revenir à la charge même après les vacances, «si les problèmes demeurent irrésolus», a-t-on assuré.
M. H. Khodja- la dépêche de kabylie
Pour rappel, le mouvement de grève, entamé par les étudiants d’architecture auxquels se sont ralliés ceux du département de l’hydraulique et de biologie, vise à «dénoncer la dégradation du cadre des études au niveau du campus de Targa Ouzemmour» sur plusieurs plans.
Dans l’espoir de se faire entendre, les étudiants ont instauré une opération «campus vide», depuis maintenant deux semaines, mais en vain.
Plusieurs rencontres ont réuni les étudiants grévistes avec l’administration pour tenter de trouver une solution aux problèmes posés, en vain. Les doléances mises en avant par les protestataires englobent, à la fois, le volet pédagogiques et matériel, à savoir le renforcement de l’effectif encadreur, l’accès sans conditions aux deux paliers de master et de doctorat, la mise à disposition de plus de salles, d’équipements de recherche et de pratique adéquats, la construction de laboratoires et d’ateliers supplémentaires...
Les étudiants d’architecture en particulier exigent des «assurances» quant à l’avenir de leur spécialité au sein de l’université de Béjaïa puisque, selon certains étudiants, «l’administration voudrait se désengager vis-à-vis de cette filière et sacrifier les promotions en cours d’études». Il convient de signaler en outre que les protestataires promettent de revenir à la charge même après les vacances, «si les problèmes demeurent irrésolus», a-t-on assuré.
M. H. Khodja- la dépêche de kabylie