Sid-Ahmed Ghozali invité sur Dzaïr TV hommage à Mandela

[shadok]

[nedjmala]

Salam Bonsoir...

Aussi loin et tout autour...

Beaucoup, à leurs façons, sont venu(e)s remercier la force immense et l'être éclairé du pardon, et, d'autres, à leurs convenances, n'ont pu et ne peuvent encore croire admettre ou affronter la réalité, l'égalité, la Paix, where is "my" ONU or what is sometimes, outside Democraty ......

december 15th, le 15 décembre, de cette année, la vie d'un homme, d'une terre, d'un état, d'un continent, de cette terre, sonne comme un glas sur toute la dynamique historique et exubérante des hommes mais, il reste à ce lien comme un modèle civilisé et un exemple humain des systèmes courants de la vie moderne et des justices variables de la vie contemporaine du siècle dernier, chacun(e) ayant eu, soit à contribuer et à concilier les tourments culturels cultuels et politiques des peuples, soit à ignorer et à subjuguer invraisemblablement l'ensemble cynique et composé de la nature de leurs passés, sans orgueils, et, même si ceux là nombreux guerriers et déroutants à celui-ci, dissident-libéré, président-prisonnier, tolérant-dévoué, qui peut d'ores et déjà faire correspondre singulièrement le sens à tant des vies nouvelles et rendre d'éclairer la raison à tant des mémoires dignes, alors c'est autant dire une question qu'une affirmative probante à toutes suites mondiales et confondues, même si toutes toujours en quêtes et en peines de leurs marasmes..., mais, de fait et de son parcours de sa lutte de sa volonté, il demeurera toujours comme une esquisse faite et gravée aux fils des années, aux matins des lumières, aux contours de la Paix, communes au monde mais dont l'ignorance, immense, déborde de réalité, intense... d'ailleurs, même tout bien pourvu de leurs connaissances constantes armées et dominantes, constatant les expériences d'une existence soumise et résistante, des hommes sans doute apprécieront de pleine évidence leurs propres complexes, tous mis en œuvres excessivement, successivement, invariablement...

Donc, comme une partance et un deuil potentiellement "universel" laissent apparaître pacifiquement et mémorablement à toutes analyses citoyennes, libres et respectueuses d'une ère contemporaine, aujourd'hui, et sans préjugés récurrents ni préjudices compromettants des hommes sur l'avenir commun, au travers des frontières et des réalités humaines et relatives, il se tient comme si un certain intérêt probablement indécent et/ou une certaine critique partiellement démocratique ne pouvaient être officiellement révisé(e)s, tel présumé(e)s responsables des estimes et des pratiques arbitraires et donc, encore et injustement, employées des effets des états et des usages de l'institution, à ce jour diversement mais fortement hors les lois si il fallait s'y résumer ou s'en appliquer. Fausser la Démocratie c'est donc fausser la Citoyenneté, et, la contourner c'est d'autant plus répercuter dire, ou tendre, à l'ignorer, mais de qui et pour qui toute cette étrangeté temporelle insoluble et indélébile...

Les enjeux de cet exemple, de cet homme, ayant toujours été portés vers la Paix, irrémédiablement, même emprisonnée, de tous et de toutes, et les souhaits de cet être, de cette personne, dont il fut les instants vécus et images rapportées d'un siècle à l'autre, d'une couleur à l'autre, d'une vie aux autres, de ce monde, mais dont il n'a pu ni dire ni participer longtemps d'un âge de la démocratie, irréelle dominatrice et donc peu commune à son endroit et à ses instants, comme contrairement il a existé et il existe toujours, en substance, pour tant des sens abordés et des raisons déclarées d'une justice et d'une parité mondiales et communes aux droits fraternels culturels et humains, tous élevés au rang et au titre du Patrimoine Universel et des Nations, unies, des Hommes...

En termes d'Humanité, aussi loin et tout autour des semblables, un Homme un Peuple ou un Pays, naturellement indissociable, culturellement légitime, et/ou démocratiquement responsable, ne pouvant être en effet, ou devenir en perspective, moins fondamental intérieurement ou si peu semblable extérieurement qu'un Autre, dans le temps..., rien d'autre, ou quoi d'autre croyez vous qu'il soit à considérer à chaque fois entre des vies, à chaque instants entre des hommes, à chaque histoires entre des peuples...

Le "mal" ce n'est ni l'inverse ni le contraire d'un signe, c'est seulement et simultanément une différence d'où les lieux d'un vide contribuent et s'emplissent loin des communs et d'où la somme des hommes se mesure et s'évertue autour des moins, y créant chaque fois les miroirs d'un regard apparent et les peu d'un espace croissant, comme l'immense et vivante absence du "bien"...

Paix à son âme...

Salam, merci...