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Croissance économique : Le FMI annonce 5% pour le Maroc en 2013

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  • Croissance économique : Le FMI annonce 5% pour le Maroc en 2013

    Infomediaire - Le Fonds monétaire international (FMI) table sur une croissance au Maroc d’environ 4% et un déficit budgétaire de 4,9% en 2014, sur la base d’une accélération de la croissance du secteur non agricole et d’une récolte moyenne de 70 millions de quintaux, a annoncé, hier à Rabat, le chef de la mission du FMI au Maroc, Jean François Dauphin. Et pour cette année 2013, le Maroc enregistrera une croissance d’environ 5% en 2013, grâce à la récolte céréalière abondante, dans un contexte d’inflation modérée, a ajouté Dauphin. "Les performances économiques se sont améliorées après les difficultés rencontrées en 2012, malgré la conjoncture économique internationale difficile", a-t'il précisé. Pour sa part, le déficit budgétaire devrait se réduire légèrement grâce aux mesures prises au niveau des dépenses et des recettes, alors que les réserves de change devraient se situer à 4 mois, soutenues par une bonne tenue des investissements directs étrangers (IDE).

  • #2
    Le Fonds monétaire international (FMI) table sur une croissance au Maroc d’environ 4% ...
    ... et dans l’hypothèse d’une campagne agricole conforme à la moyenne. (Voilà ce que dit le FMI et gommé par les relais de sa majesté) !
    Dernière modification par jawzia, 20 décembre 2013, 19h12.

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    • #3
      ça tombe mal !!!

      A la une de Leconomiste d'aujourd'hui :





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      • #4
        mdrrrrrrrrrr

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        • #5
          Pourtant dans le meme article, il est expliqué que:

          Bien sûr, ces performances sont à mettre à l’actif d’une bonne saison qui a enregistré une production record de 97 millions de quintaux de céréales dont 52 millions de blé tendre. Ce qui a permis au pays de réduire considérablement ses importations notamment d’orge et des blés (voir notre édition du 18 décembre).

          Les autres filières n’ont pas été en reste. La production sucrière a augmenté de près de 60%. Celle des olives a enregistré une hausse de 30% et la production agrumicole a bondi du tiers.

          Or, l’ambition affichée par le ministère de l’Agriculture est de capitaliser sur ces résultats. Ce qui est à portée pour l’arboriculture, le maraîchage et l’élevage. Quant à la filière céréalière, le pari de sa réforme demeure peu soutenable. Jusqu’à présent, elle fait figure de parent pauvre de l’agrégation. Tout au plus, les projets lancés dans ce cadre se comptent sur les doigts d’une seule main et restent limités aux zones réputées pour leur fertilité et surtout pour la bonne pluviométrie. Cependant, le plan Maroc Vert vise la réduction des superficies céréalières à 4,2 millions d’hectares tout en augmentant la productivité. L’objectif étant de sécuriser un volume minima de 70 millions de quintaux. C’est l’hypothèse retenue par le projet de loi de Finances 2014.
          Et le FMI se base sur une recolte moyenne de 70 millions de quintaux..

          Repetons:

          Croissance économique : Le FMI annonce 5% pour le Maroc en 2013
          Infomediaire - Le Fonds monétaire international (FMI) table sur une croissance au Maroc d’environ 4% et un déficit budgétaire de 4,9% en 2014, sur la base d’une accélération de la croissance du secteur non agricole et d’une récolte moyenne de 70 millions de quintaux, a annoncé, hier à Rabat, le chef de la mission du FMI au Maroc, Jean François Dauphin. Et pour cette année 2013, le Maroc enregistrera une croissance d’environ 5% en 2013, grâce à la récolte céréalière abondante, dans un contexte d’inflation modérée, a ajouté Dauphin. "Les performances économiques se sont améliorées après les difficultés rencontrées en 2012, malgré la conjoncture économique internationale difficile", a-t'il précisé. Pour sa part, le déficit budgétaire devrait se réduire légèrement grâce aux mesures prises au niveau des dépenses et des recettes, alors que les réserves de change devraient se situer à 4 mois, soutenues par une bonne tenue des investissements directs étrangers (IDE).
          Bien sûr, ces performances sont à mettre à l’actif d’une bonne saison qui a enregistré une production record de 97 millions de quintaux de céréales dont 52 millions de blé tendre. Ce qui a permis au pays de réduire considérablement ses importations notamment d’orge et des blés (voir notre édition du 18 décembre).
          Les autres filières n’ont pas été en reste. La production sucrière a augmenté de près de 60%. Celle des olives a enregistré une hausse de 30% et la production agrumicole a bondi du tiers.
          Or, l’ambition affichée par le ministère de l’Agriculture est de capitaliser sur ces résultats. Ce qui est à portée pour l’arboriculture, le maraîchage et l’élevage. Quant à la filière céréalière, le pari de sa réforme demeure peu soutenable. Jusqu’à présent, elle fait figure de parent pauvre de l’agrégation. Tout au plus, les projets lancés dans ce cadre se comptent sur les doigts d’une seule main et restent limités aux zones réputées pour leur fertilité et surtout pour la bonne pluviométrie. Cependant, le plan Maroc Vert vise la réduction des superficies céréalières à 4,2 millions d’hectares tout en augmentant la productivité. L’objectif étant de sécuriser un volume minima de 70 millions de quintaux. C’est l’hypothèse retenue par le projet de loi de Finances 2014.
          Dernière modification par Hibiscus, 20 décembre 2013, 19h49.

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          • #6
            En fait, tous les chiffres ici:

            http://www.algerie-dz.com/forums/sho....php?p=4764706

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            • #7
              Je te parle de 2014. Et la pluviométrie se fout des hypothèses retenues par la LFP. Le MAroc est un pays où la croissance est faite ou défaite par ... la trajection des nuages !!

              Ce dont parle le passage que tu as tronqué (et censuré) en début d'article

              RIEN ne va plus pour l’actuelle campagne céréalière. Du moins dans les zones d’agriculture pluviale qui concentrent l’essentiel des superficies réservées aux grandes cultures annuelles. En cause, le déficit pluviométrique qui a atteint une cote alarmante dans certaines régions à haute vocation céréalière. Déficit que les services de la Météo évaluent à 52% pour la région des Doukkala-Abda considérée comme grenier du pays.

              Autre grande région de production céréalière, la Chaouia-Ouardigha où les précipitations s’avèrent en retrait de 40% par rapport à la campagne précédente. Même le Gharb, généralement bien arrosé, n’a pas enregistré jusqu’à présent que de faibles précipitations. Il en est de même de la région de Fès-Saiss dont les besoins en eau ont satisfait à peine pour la moitié. Et le peu de pluie a touché moins des deux tiers des régions agricoles.

              Du coup, les opérations des semis ont été retardées dans de nombreuses zones dans l’attente d’une amélioration de la situation hydrique. Ce qui est sûr pour le moment, c’est que l’emblavement de 4,5 à 5 millions d’hectares annoncés comme objectif lors du lancement de l’actuelle campagne ne sera pas atteint.

              Pourtant, tous les ingrédients ont été mis à contribution pour en assurer les bonnes conditions. Le marché des semences sélectionnées a été approvisionné à hauteur de 2 millions de quintaux, soit quasiment le double par rapport à la campagne précédente. De même les disponibilités en engrais s’élèvent à 1,2 million de tonnes contre une moyenne de 750.000 tonnes commercialisées habituellement. Mieux, le programme d’assurance agricole multirisque a été élargi sur une superficie de 600.000 ha. Et l’objectif est de l’étendre à 1million d’hectares en 2015. Mais ces mesures ainsi que d’autres plus structurantes annoncées en grande pompe le 30 septembre dernier n’ont pas, semble-t-il, incité les agriculteurs à prendre le risque d’ensemencer les terres déjà labourées. Car, à en croire les services du ministère de l’Agriculture, «le taux de mécanisation des travaux des sols s’est bien amélioré. Rien qu’en 2012-2013, les ventes de tracteurs ont porté sur 3.300 unités. Lors de cette même campagne, les financements du Crédit Agricole ont atteint 5,5 milliards de DH.

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              • #8
                On est en train de faire du va et vient sur le meme sujet dans plusieurs topics en repetant les memes arguments, j'ai deja repondu ici:

                http://www.algerie-dz.com/forums/sho...2&postcount=20

                Commentaire


                • #9
                  Nari jawzia, on est foutu. Le Maroc va couler et tes prévisions de 2012 (et celles d'avant) vont se réaliser. Le Maroc n'avait déjà plus que 3 mois de réserves de change en juillet 2012.

                  http://www.algerie-dz.com/forums/arc.../t-245291.html

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                  • #10
                    Pas de pluie, un BTP au bord du gouffre, une industrie sinistrée, des déficits à la "En veux-tu en voilà", un endettement en accélération, un pays sous plan d'ajustement structurel, mais JP Morgan affirme que :
                    Nous croyons que le Maroc est bien parti pour surperformer la plupart des autres pays de la région MENA dans les prochaines années"
                    Et comme JP Morgan est un institut , ça ne peut être que vrai
                    tes prévisions
                    J'ai rien prévu. J'ai toujours ... constaté puis dit aux les danseuses du ventre qu'avec leurs bourrelets elles n'ont aucune chance d'accéder au "Crazy"

                    Ey si ça plait pas aux danseuses, ... c'est du pareil au même !!!
                    Dernière modification par jawzia, 20 décembre 2013, 20h08.

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                    • #11
                      JP Morgan affirme que :
                      "Nous croyons que le Maroc est bien parti pour surperformer la plupart des autres pays de la région MENA dans les prochaines années"

                      Le FMI affirme que:
                      Croissance économique : Le FMI annonce 5% pour le Maroc en 2013

                      Maroc : net satisfecit du FMI envers la politique économique du gouvernement

                      Bank al Maghrib affirme que:
                      Au moins 3,5% de croissance non agricole au Maroc en 2014, selon Bank Al Maghrib



                      MAIS Jawzia affirme que :

                      Pas de pluie, un BTP au bord du gouffre, une industrie sinistrée, des déficits à la "En veux-tu en voilà", un endettement en accélération, un pays sous plan d'ajustement structurel...




                      Faites vos jeux!

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                      • #12
                        Qui donnent du crédit à un gars qui passe son temps à poster que du negatif sur le maroc ..et d'un autre coté qui poste que du positif sur l'algérie ..? le mec n'est pas crédible .. son nefs est guidé par la haine du maroc

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                        • #13
                          On fait affirmer à JP Morgan (personne n'a vu ce rapport). A mettre de côté donc.

                          BM c'est le porte voix de "Moul Al 3am Zine". A mettre de côté.

                          Reste le rapport du FMI.


                          Le FMI affirme (et je cite in extenso )
                          La croissance en 2014 pourrait s’établir à un niveau proche de 4 %, sous l’effet d’une accélération de l’activité des secteurs non agricoles et dans l’hypothèse d’une campagne agricole conforme à la moyenne.
                          Voyons voir du côté des faiseurs de croissance : Les nuages !!!
                          RIEN ne va plus pour l’actuelle campagne céréalière. Du moins dans les zones d’agriculture pluviale qui concentrent l’essentiel des superficies réservées aux grandes cultures annuelles. En cause, le déficit pluviométrique qui a atteint une cote alarmante dans certaines régions à haute vocation céréalière.
                          De fil en aiguille, la question s'impose d'elle même : Qu'est ce qui reste et qui incite à l'optimisme ???

                          Commentaire


                          • #14
                            On est en train de faire du va et vient sur le meme sujet dans plusieurs topics en repetant les memes arguments, j'ai deja repondu ici:

                            http://www.algerie-dz.com/forums/sho...2&postcount=20

                            Hibiscus
                            C'est son thème préféré !

                            Il a juste oublié de parler des prières rogatoires !

                            Il oublie simplement que le Maroc améliore sa croissance hors agriculture quand celle de l’Algérie table toujours sur le pompage et simplement sur le pompage.

                            A la prochaine baisse du prix du baril....Allah yester !!

                            Au Maroc une récolte moyenne nous suffit car il n' y a pas que ça qui fait marcher le Maroc...

                            Commentaire


                            • #15
                              Il a juste oublié de parler des prières rogatoires !

                              Il oublie simplement que le Maroc améliore sa croissance hors agriculture quand celle de l’Algérie table toujours sur le pompage et simplement sur le pompage.

                              A la prochaine baisse du prix du baril....Allah yester !!

                              Au Maroc une récolte moyenne nous suffit car il n' y a pas que ça qui fait marcher le Maroc...
                              A part l'expression (hors sujette) de ta sempiternelle diarrhée, j'attends toujours ce qui pourrait inciter à l'optimisme ?

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