L’Algérie ne dispose d’aucun dispositif réglementaire de nature à protéger la population des effets néfastes liés à la pollution électromagnétique. De l’aveu de la ministre de la Poste et des TIC, Zohra Derdouri : « Il n’y a aucune mesures règlementaire qui fixe le seuil des ondes électromagnétiques émises par les stations de téléphonie mobile ».
La ministre qui répondait, ce lundi, à la question d’un membre du Conseil de la nation, a tenté de justifier ce vide juridique en avançant que les seuils établis par l’Organisation mondial de la Santé ne revêtent pas un caractère obligatoire. Selon la même responsable, l’Algérie compte aujourd’hui 16 500 antennes déclarés par les opérateurs de téléphonie mobile.
L’Organisation mondiale de la santé a classé depuis 2011 les ondes électromagnétiques comme « potentiellement cancérigènes ». Pour la téléphonie mobile, l’OMS a établi en 2011 un seuil d'exposition maximal de 58 volts/ mètre (V/m). L’organisation a fixé aussi des seuils d’émission de 100 MHz pour les antennes de radio et de 31 V/m pour 400 MHz, concernant la télévision.
Farouk Djouadi El Watan
La ministre qui répondait, ce lundi, à la question d’un membre du Conseil de la nation, a tenté de justifier ce vide juridique en avançant que les seuils établis par l’Organisation mondial de la Santé ne revêtent pas un caractère obligatoire. Selon la même responsable, l’Algérie compte aujourd’hui 16 500 antennes déclarés par les opérateurs de téléphonie mobile.
L’Organisation mondiale de la santé a classé depuis 2011 les ondes électromagnétiques comme « potentiellement cancérigènes ». Pour la téléphonie mobile, l’OMS a établi en 2011 un seuil d'exposition maximal de 58 volts/ mètre (V/m). L’organisation a fixé aussi des seuils d’émission de 100 MHz pour les antennes de radio et de 31 V/m pour 400 MHz, concernant la télévision.
Farouk Djouadi El Watan
Commentaire