TSA - mardi, 24 décembre 2013 17:35
Il critique Bouteflika et les changements au DRS
Le général Yala n’exclut pas de se porter candidat aux présidentielles
Ahmed Gasmia
Le général à la retraite, Mohand Tahar Yala, n’exclut pas de présenter sa candidature aux élections présidentielles d’avril 2014. « C’est l’impasse politique et la situation sociale explosive dont l’origine est le système politique de Bouteflika qui m’ont poussé à réfléchir à présenter ma candidature afin d’éviter le pire », a-t-il expliqué dans un entretien au site internet arabophone alhadath-dz.com.
Pour Mohand Tahar Yala, ce que certains « appellent actuellement le flou politique n’est rien d’autre qu’un complot ourdi contre les Algériens ». Dans ce contexte, Mohamed Tahar Yala se prononce contre la révision de la Constitution. Il critique le « système Bouteflika » qui a créé, selon lui, « un véritable gouffre entre le citoyen et le pouvoir et déstabilisé l’Algérie sur le plan politique et social ».
Revenant sur la dissolution de la police judiciaire relevant du DRS, il évoque "une manœuvre extrêmement dangereuse" contre cette structure, décidée par « la partie tirant le plus profit de sa dissolution ». La raison de cette décision est, selon lui, que ce service « combattait brillamment la corruption, mais aussi des complots contre l’Algérie tel que celui de Tiguentourine ».
L’ancien général propose une période de transition en attendant la mise en place « d’un nouveau système ayant pour priorités la sécurité et la stabilité politique » en s’appuyant sur « une élite scientifique, militaire, intellectuelle et politique ».
Par ailleurs, Mohand Tahar Yala a confirmé qu’il est interdit d’accès au club de l’armée de Beni Messous. Ce qu’il considère comme « un précédent dangereux, illégal et immoral ».
Il critique Bouteflika et les changements au DRS
Le général Yala n’exclut pas de se porter candidat aux présidentielles
Ahmed Gasmia
Le général à la retraite, Mohand Tahar Yala, n’exclut pas de présenter sa candidature aux élections présidentielles d’avril 2014. « C’est l’impasse politique et la situation sociale explosive dont l’origine est le système politique de Bouteflika qui m’ont poussé à réfléchir à présenter ma candidature afin d’éviter le pire », a-t-il expliqué dans un entretien au site internet arabophone alhadath-dz.com.
Pour Mohand Tahar Yala, ce que certains « appellent actuellement le flou politique n’est rien d’autre qu’un complot ourdi contre les Algériens ». Dans ce contexte, Mohamed Tahar Yala se prononce contre la révision de la Constitution. Il critique le « système Bouteflika » qui a créé, selon lui, « un véritable gouffre entre le citoyen et le pouvoir et déstabilisé l’Algérie sur le plan politique et social ».
Revenant sur la dissolution de la police judiciaire relevant du DRS, il évoque "une manœuvre extrêmement dangereuse" contre cette structure, décidée par « la partie tirant le plus profit de sa dissolution ». La raison de cette décision est, selon lui, que ce service « combattait brillamment la corruption, mais aussi des complots contre l’Algérie tel que celui de Tiguentourine ».
L’ancien général propose une période de transition en attendant la mise en place « d’un nouveau système ayant pour priorités la sécurité et la stabilité politique » en s’appuyant sur « une élite scientifique, militaire, intellectuelle et politique ».
Par ailleurs, Mohand Tahar Yala a confirmé qu’il est interdit d’accès au club de l’armée de Beni Messous. Ce qu’il considère comme « un précédent dangereux, illégal et immoral ».
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