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Les jeunes Vaudois membres de l’équipe Saptellite sont qualifiés pour les championnats d’Europe en Allemagne
Avec ses deux grandes roues, ses nombreux dispositifs et ses capteurs, le robot de l’équipe Saptellite s’apprêtent à franchir le Rhin pour affronter les meilleures formations d’Europe centrale. Les six membres de Saptellite, âgés de 11 à 13 ans et vivant pour la plupart dans la région morgienne, trépignent à l’idée d’y être.
Après une première place ex-æquo obtenue au concours régional de robotique First Lego League (FLL) à l’EPFL début novembre, puis une deuxième place décrochée lors de la finale suisse de Locarno il y a quelques jours, les membres de Saptellite se sont qualifiés pour les finales européennes, fin janvier, à Paderborn (D).
Concrètement, en 2mn30, sur un plateau aux dimensions données, le robot doit remplir le plus de missions possible. Difficulté : programmer la machine pour qu’elle enchaîne les différentes actions sans temps mort. Une présentation devant jury, un exercice d’équipe et des questions sur la programmation du robot comptent également pour le classement. Cette année, la compétition tourne autour du thème des catastrophes naturelles. Le robot doit ainsi simuler un tsunami ou encore la résistance d’immeubles en cas de tremblements de terre.
Cerise sur le gâteau, en Allemagne, la présentation devant jury devra se faire en anglais. Pour ces petits génies de robotique et de recherche scientifique, peut-être la plus grande difficulté.
Par Emmanuel Borloz
24heurs ch
Avec ses deux grandes roues, ses nombreux dispositifs et ses capteurs, le robot de l’équipe Saptellite s’apprêtent à franchir le Rhin pour affronter les meilleures formations d’Europe centrale. Les six membres de Saptellite, âgés de 11 à 13 ans et vivant pour la plupart dans la région morgienne, trépignent à l’idée d’y être.
Après une première place ex-æquo obtenue au concours régional de robotique First Lego League (FLL) à l’EPFL début novembre, puis une deuxième place décrochée lors de la finale suisse de Locarno il y a quelques jours, les membres de Saptellite se sont qualifiés pour les finales européennes, fin janvier, à Paderborn (D).
Concrètement, en 2mn30, sur un plateau aux dimensions données, le robot doit remplir le plus de missions possible. Difficulté : programmer la machine pour qu’elle enchaîne les différentes actions sans temps mort. Une présentation devant jury, un exercice d’équipe et des questions sur la programmation du robot comptent également pour le classement. Cette année, la compétition tourne autour du thème des catastrophes naturelles. Le robot doit ainsi simuler un tsunami ou encore la résistance d’immeubles en cas de tremblements de terre.
Cerise sur le gâteau, en Allemagne, la présentation devant jury devra se faire en anglais. Pour ces petits génies de robotique et de recherche scientifique, peut-être la plus grande difficulté.
Par Emmanuel Borloz
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