Par RFI
L'excédent commercial de l'Algérie, c'est-à-dire l'excédent des exportations sur les importations, a reculé sensiblement depuis janvier 2013. En cause : le recul des exportations d'hydrocarbures, dont l'Algérie est extrêmement dépendante.
Depuis janvier, l'Algérie a exporté 10% de moins de pétrole qu'en 2012 et à un prix inférieur. Pendant ce temps, les importations ont progressé de 8%. Cela a eu une répercussion très importante sur l'excédent commercial, qui a reculé de 20 milliards de dollars à la même période en 2012 à 10 milliards de dollars cette année.
Les exportations de l'Algérie reposent à 97% sur les hydrocarbures et le moindre changement à la hausse ou la baisse de ses exportations de gaz et de pétrole se fait lourdement sentir. Les autres exportations, qu'il s'agisse de biens industriels ou agricoles, représentent trop peu dans le total des échanges commerciaux de l'Algérie pour infléchir la tendance.
Un marché très sensible aux fluctuations
Une mission récente du FMI à Alger préconisait une diversification de l'économie algérienne afin, justement, d'offrir à l'exportation une gamme plus importante de produits et réduire cette dépendance de l'ensemble de l'économie algérienne à la seule production d'hydrocarbures.
Un marché, qui plus est, très sensible aux fluctuations de la demande et des cours mondiaux.
L'excédent commercial de l'Algérie, c'est-à-dire l'excédent des exportations sur les importations, a reculé sensiblement depuis janvier 2013. En cause : le recul des exportations d'hydrocarbures, dont l'Algérie est extrêmement dépendante.
Depuis janvier, l'Algérie a exporté 10% de moins de pétrole qu'en 2012 et à un prix inférieur. Pendant ce temps, les importations ont progressé de 8%. Cela a eu une répercussion très importante sur l'excédent commercial, qui a reculé de 20 milliards de dollars à la même période en 2012 à 10 milliards de dollars cette année.
Les exportations de l'Algérie reposent à 97% sur les hydrocarbures et le moindre changement à la hausse ou la baisse de ses exportations de gaz et de pétrole se fait lourdement sentir. Les autres exportations, qu'il s'agisse de biens industriels ou agricoles, représentent trop peu dans le total des échanges commerciaux de l'Algérie pour infléchir la tendance.
Un marché très sensible aux fluctuations
Une mission récente du FMI à Alger préconisait une diversification de l'économie algérienne afin, justement, d'offrir à l'exportation une gamme plus importante de produits et réduire cette dépendance de l'ensemble de l'économie algérienne à la seule production d'hydrocarbures.
Un marché, qui plus est, très sensible aux fluctuations de la demande et des cours mondiaux.
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