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UN SOURIRE
Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup.
Il enrichit ce lui qui le reçoit sans appauvrir celui qui le donne.
Il ne dure que le temps de finir mais son souvenir est souvent incrusté dans l'âme.
Personne n'est assez riche pour s'en passer et nul n'est assez déshérité qu'il ne puisse en faire l'aumône.
IL ne peut ni s'acheter ni se vendre car il n'a de valeur qu'à partir du moment où il est offert.
Et si l'on vous refuse le sourire que vous méritez, soyez généreux de puiser au fond de votre lumière intérieure pour inonder de sourire celui qui vous le refuse.
Nul n'a plus besoin en effet autant besoin d'un sourire que celui qui ne sait pas ou ne veut en donner.
LE SOURIRE DE BOUDDHA
Pour pouvoir vivre en harmonie parmi ses congénères l’Homme doit rechercher le point d’équilibre entre ses émotions immédiates et les réactions qui font appel aux processus de la raison.
L’équilibre entre ces deux éléments fondamentaux assure l’harmonie fonctionnelle de notre cerveau et partant celle de notre comportement et notre attitude au sein de la société.
Dans la réalité, il existe un marqueur physiologique très simple de cette harmonie cérébrale : LE SOURIRE !
Un faux sourire, celui provoqué par des considérations d’ordre social, ne met en œuvre que certains muscles du visages appelés « zygomatiques », ceux qui retroussent les lèvres en font voir les dents.
Un sourire « authentique ou vrai », mobilise en plus, les muscles qui entourent les yeux. Or nous savons que ceux-ci ne peuvent pas être contractés volontairement.
C’est pour cette raison que les yeux, eux, ne mentent jamais : c’est leur plissement qui signe l’authenticité ou non d’un sourire.
Un sourire chaleureux, un sourire vrai nous fait comprendre très clairement et de manière intuitive que les pensées de notre interlocuteur se trouvent, à cet instant précis, en parfaite harmonie avec ce qu’il ressent.
Cet état de cohérence absolue entre les émotions et leur manifestation extérieure s’appelle : le SOURIRE DE BOUDDHA.
Un sourire ne coûte rien et produit beaucoup.
Il enrichit ce lui qui le reçoit sans appauvrir celui qui le donne.
Il ne dure que le temps de finir mais son souvenir est souvent incrusté dans l'âme.
Personne n'est assez riche pour s'en passer et nul n'est assez déshérité qu'il ne puisse en faire l'aumône.
IL ne peut ni s'acheter ni se vendre car il n'a de valeur qu'à partir du moment où il est offert.
Et si l'on vous refuse le sourire que vous méritez, soyez généreux de puiser au fond de votre lumière intérieure pour inonder de sourire celui qui vous le refuse.
Nul n'a plus besoin en effet autant besoin d'un sourire que celui qui ne sait pas ou ne veut en donner.
LE SOURIRE DE BOUDDHA
Pour pouvoir vivre en harmonie parmi ses congénères l’Homme doit rechercher le point d’équilibre entre ses émotions immédiates et les réactions qui font appel aux processus de la raison.
L’équilibre entre ces deux éléments fondamentaux assure l’harmonie fonctionnelle de notre cerveau et partant celle de notre comportement et notre attitude au sein de la société.
Dans la réalité, il existe un marqueur physiologique très simple de cette harmonie cérébrale : LE SOURIRE !
Un faux sourire, celui provoqué par des considérations d’ordre social, ne met en œuvre que certains muscles du visages appelés « zygomatiques », ceux qui retroussent les lèvres en font voir les dents.
Un sourire « authentique ou vrai », mobilise en plus, les muscles qui entourent les yeux. Or nous savons que ceux-ci ne peuvent pas être contractés volontairement.
C’est pour cette raison que les yeux, eux, ne mentent jamais : c’est leur plissement qui signe l’authenticité ou non d’un sourire.
Un sourire chaleureux, un sourire vrai nous fait comprendre très clairement et de manière intuitive que les pensées de notre interlocuteur se trouvent, à cet instant précis, en parfaite harmonie avec ce qu’il ressent.
Cet état de cohérence absolue entre les émotions et leur manifestation extérieure s’appelle : le SOURIRE DE BOUDDHA.
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