Les membres de la mission parlementaire du FFS sur la situation dans la wilaya de Ghardaïa ont été reçus, mardi 31 décembre, par le Premier ministre, Abdelmalek Sellal, indique, ce mercredi 1er janvier, un communiqué de ce parti. Aucune précision n’a été fournie sur la teneur des discussions entre les deux parties.
Le FFS, qui avait dépêché, fin novembre, une mission d’information pour évaluer la situation sanitaire et sécuritaire dans la wilaya de Ghardaïa, notamment dans la daïra de Guerrara, théâtre d’affrontements entre Chaâmbis et Mozabites, a conclu à de graves violations des droits de l’Homme de la part de la police. Des accusations rejetées par la DGSN.
Le FFS a ainsi appelé à une commission d’enquête sur ces événements. Une commission réclamée également par le Conseil du Cheikh Ba Abderrahmane Al Kerthi (la plus haute instance des notables des tribus de la vallée du M'zab). «Les dépassements qui ont marqué ces graves évènements ne doivent pas être utilisés pour déstabiliser le pays et discréditer les institutions de l'État. Il faut ouvrir une enquête transparente et approfondie pour identifier les auteurs et leur infliger les sanctions les plus sévères, conformément aux principes de la République et en consécration des principes de citoyenneté et d'égalité devant la loi», a indiqué un communiqué du Conseil du Cheikh Ba Abderrahmane Al Kerthi, rendu public mardi.
Le Conseil a, en outre, «dénoncé avec force les attitudes et les comportements qui nourrissent l'extrémisme et incitent à la fitna », selon ce texte repris par l’APS. Lundi, en Conseil des ministres, le président Bouteflika a appelé à «la nécessité de faire prévaloir les valeurs de tolérance, de concorde et de dialogue ». Samedi dernier, lors d’une conférence de presse, le ministre de la communication a indiqué qu’Abdelmalek Sellal annoncera prochainement une initiative pour mettre fin aux échauffourées entre jeunes dans certains quartiers de la ville de Ghardaïa. Il n’avait pas précisé la nature de cette initiative.
TSA
Le FFS, qui avait dépêché, fin novembre, une mission d’information pour évaluer la situation sanitaire et sécuritaire dans la wilaya de Ghardaïa, notamment dans la daïra de Guerrara, théâtre d’affrontements entre Chaâmbis et Mozabites, a conclu à de graves violations des droits de l’Homme de la part de la police. Des accusations rejetées par la DGSN.
Le FFS a ainsi appelé à une commission d’enquête sur ces événements. Une commission réclamée également par le Conseil du Cheikh Ba Abderrahmane Al Kerthi (la plus haute instance des notables des tribus de la vallée du M'zab). «Les dépassements qui ont marqué ces graves évènements ne doivent pas être utilisés pour déstabiliser le pays et discréditer les institutions de l'État. Il faut ouvrir une enquête transparente et approfondie pour identifier les auteurs et leur infliger les sanctions les plus sévères, conformément aux principes de la République et en consécration des principes de citoyenneté et d'égalité devant la loi», a indiqué un communiqué du Conseil du Cheikh Ba Abderrahmane Al Kerthi, rendu public mardi.
Le Conseil a, en outre, «dénoncé avec force les attitudes et les comportements qui nourrissent l'extrémisme et incitent à la fitna », selon ce texte repris par l’APS. Lundi, en Conseil des ministres, le président Bouteflika a appelé à «la nécessité de faire prévaloir les valeurs de tolérance, de concorde et de dialogue ». Samedi dernier, lors d’une conférence de presse, le ministre de la communication a indiqué qu’Abdelmalek Sellal annoncera prochainement une initiative pour mettre fin aux échauffourées entre jeunes dans certains quartiers de la ville de Ghardaïa. Il n’avait pas précisé la nature de cette initiative.
TSA
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