Et après...ça sert à quoi si les gouvernants ne se reforment pas eux même.
ALGER - Il est nécessaire de réformer et de faire le point au sein de la Ligue arabe, a affirmé mercredi à Alger, le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra.
"Il y a nécessité de faire le point comme il y a nécessité de réformer (la Ligue arabe)", a indiqué le chef de la diplomatie algérienne, lors de son passage à l’émission "Sur le fil" de la chaîne publique Canal Algérie, précisant qu"’il a eu déjà une discussion avec le secrétaire général de l’organisation panarabe, Nabil Al Arabi concernant cette question".
"J’ai eu des discussions avec le Secrétaire général de la Ligue arabe qui comprend parfaitement bien qu’il y ait des frustrations chez les peuples arabes comme chez les gouvernants", a expliqué M. Lamamra.
"La Ligue arabe est une organisation intergouvernementale et le fait qu’il y ait certaines décisions tendant à accorder des sièges de tel ou tel pays à des groupes d’opposition armés pose réellement problème", a-t-il déploré.
Il a noté que l’Algérie "est partie intégrante de la ligue comme elle l’est des Nations Unis naturellement, mais il arrive qu’elle exprime des frustrations, toutefois, il ne s’agit pas, a-t-il dit, "de jeter le bébé avec l’eau du bain. C’est la maison de tous les arabes".
M. Lamamra rappelle que l’Algérie combattante a trouvé le 1er cercle de solidarité auprès des pays arabes et des Etats de la Ligue, estimant qu’"il s’agit de notre propre histoire".
"L’histoire pèse lourdement dans la projection de la politique extérieure de notre pays", a encore expliqué le ministre des Affaires étrangères.
APS
ALGER - Il est nécessaire de réformer et de faire le point au sein de la Ligue arabe, a affirmé mercredi à Alger, le ministre des Affaires étrangères, Ramtane Lamamra.
"Il y a nécessité de faire le point comme il y a nécessité de réformer (la Ligue arabe)", a indiqué le chef de la diplomatie algérienne, lors de son passage à l’émission "Sur le fil" de la chaîne publique Canal Algérie, précisant qu"’il a eu déjà une discussion avec le secrétaire général de l’organisation panarabe, Nabil Al Arabi concernant cette question".
"J’ai eu des discussions avec le Secrétaire général de la Ligue arabe qui comprend parfaitement bien qu’il y ait des frustrations chez les peuples arabes comme chez les gouvernants", a expliqué M. Lamamra.
"La Ligue arabe est une organisation intergouvernementale et le fait qu’il y ait certaines décisions tendant à accorder des sièges de tel ou tel pays à des groupes d’opposition armés pose réellement problème", a-t-il déploré.
Il a noté que l’Algérie "est partie intégrante de la ligue comme elle l’est des Nations Unis naturellement, mais il arrive qu’elle exprime des frustrations, toutefois, il ne s’agit pas, a-t-il dit, "de jeter le bébé avec l’eau du bain. C’est la maison de tous les arabes".
M. Lamamra rappelle que l’Algérie combattante a trouvé le 1er cercle de solidarité auprès des pays arabes et des Etats de la Ligue, estimant qu’"il s’agit de notre propre histoire".
"L’histoire pèse lourdement dans la projection de la politique extérieure de notre pays", a encore expliqué le ministre des Affaires étrangères.
APS
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