"Le chiisme est devenu un fait réel" .. Ainsi a répondu franchement et courageusement le président du conseil national des imams indépendants, pour le quotidien Echourouk, et de souligner que cette secte est devenue une menace réelle en Algérie, car elle n'est pas soumise à une institution ou une organisation internationale pour pouvoir les recenser et connaitre leurs natures.
Notre interlocuteur, a souligné que la secte chiite prend de l'ampleur dans certaines wilayas de l'Ouest, ainsi que certains bidonvilles de la capitale. Ce qui inquiète le syndicat des imams est la difficulté de les recenser, parce qu'ils n'activent pas dans le cadre d'une organisation internationale, et ils activent en secret, loin des yeux des gens. Pour cela, on ne peux pas les distinguer, s'ils sont issus du grand public, ou de la classe intellectuelle. Quant à l'ancien conseiller au ministère des Affaires religieuses, Adda Fellahi, confirme le soucis du syndicat des imams sur le chiisme en Algérie. Soulignant lui aussi que c'est une menace réelle pour sa vulgarisation en Algérie. en faisant valoir de son expérience au sein du ministère des Affaires religieuses, notre interlocuteur, déclare que les services de sécurité est l'entité autorisée à enquêter sur l'existence des adeptes du chiisme en Algérie, en disant que les services de sécurité possède des informations précises sur la géographie et son taux ", contrairement aux prétentions des parties qui déclarent qu'ils possèdent toutes les données sur ce dossier. Il a évoqué dans ce contexte, le mouvement salafiste, qui vise à frapper les chiites. Adda Fellahi, croit que les services de sécurité, en vertu de ses fonctions ne peuvent pas divulguer les informations en leurs possessions , ils fonctionnent selon la gravité de la situation.
Echourouk
Notre interlocuteur, a souligné que la secte chiite prend de l'ampleur dans certaines wilayas de l'Ouest, ainsi que certains bidonvilles de la capitale. Ce qui inquiète le syndicat des imams est la difficulté de les recenser, parce qu'ils n'activent pas dans le cadre d'une organisation internationale, et ils activent en secret, loin des yeux des gens. Pour cela, on ne peux pas les distinguer, s'ils sont issus du grand public, ou de la classe intellectuelle. Quant à l'ancien conseiller au ministère des Affaires religieuses, Adda Fellahi, confirme le soucis du syndicat des imams sur le chiisme en Algérie. Soulignant lui aussi que c'est une menace réelle pour sa vulgarisation en Algérie. en faisant valoir de son expérience au sein du ministère des Affaires religieuses, notre interlocuteur, déclare que les services de sécurité est l'entité autorisée à enquêter sur l'existence des adeptes du chiisme en Algérie, en disant que les services de sécurité possède des informations précises sur la géographie et son taux ", contrairement aux prétentions des parties qui déclarent qu'ils possèdent toutes les données sur ce dossier. Il a évoqué dans ce contexte, le mouvement salafiste, qui vise à frapper les chiites. Adda Fellahi, croit que les services de sécurité, en vertu de ses fonctions ne peuvent pas divulguer les informations en leurs possessions , ils fonctionnent selon la gravité de la situation.
Echourouk
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