Annonce

Réduire
Aucune annonce.

Le HCA demande l’officialisation de Yennayer

Réduire
X
 
  • Filtre
  • Heure
  • Afficher
Tout nettoyer
nouveaux messages

  • Le HCA demande l’officialisation de Yennayer

    Le Haut Commissariat à l’amazighité (HCA) continue de revendiquer l’officialisation de Yennayer, le premier jour de l’an berbère qui coïncide avec le 12 janvier de chaque année. Le HCA appelle aussi le ministère de l’Education nationale à généraliser l’enseignement de la langue amazighe dans les établissements scolaires à partir de la première année primaire

    Assad El Hachemi, président du HCA qui était hier l’invité du forum du quotidien DK News, estime que la culture amazighe a fait beaucoup de progrès après des années de lutte. Cependant, beaucoup reste à faire également.
    L’institutionnalisation de la langue amazighe est un grand pas, reconnaît le président du HCA qui estime que la lutte n’est pas terminée à ce niveau. Ce dernier revendique la nationalisation de la langue amazighe. «Notre combat va dans ce sens», a-t-il soutenu.
    M. Assad appelle le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales à revoir et à modifier l’ordonnance 63/278 qui donne la liste officielle des dates légales à célébrer en Algérie. «Le ministère de l’Intérieur et des Collectivité locales doit revoir cette ordonnance pour faire de Yennayer une date officielle ou instaurer une deuxième liste de classement de patrimoine national», a soutenu le conférencier qui propose aussi que cette date soit inscrite dans le patrimoine universel de l’Unesco.
    Evoquant l’introduction de la langue amazighe dans le système éducatif depuis la grève du cartable de 1995 avec plus d’un million d’élèves ayant boycotté l’école, le HCA souhaite que l’enseignement de la langue amazighe soit obligatoire et non optionnel comme c’est actuellement le cas dès la première année primaire. Et pas seulement, la généralisation de cette langue fait également partie des revendications de cette institution car actuellement seules 11 wilayas ont intégré l’enseignement de cette langue dans les établissements primaires dont ceux de la capitale ne figurent pas.
    Le HCA interpelle aussi le ministère de l’Education nationale afin de faire une halte après 18 années d’enseignement de la langue amazighe pour faire un bilan d’évaluation.
    Il propose aussi de l’intégrer dans l’examen de la 5e année primaire. Le HCA rappelle, par ailleurs, que cette année, la célébration de Yennayer se fera dans la wilaya de Tebessa.

    Salima Akkouche – Alger (Le Soir)
    dz(0000/1111)dz

  • #2
    Le Haut Commissariat à l’amazighité (HCA) continue de revendiquer l’officialisation de Yennayer, le premier jour de l’an berbère qui coïncide avec le 12 janvier de chaque année.
    Pourquoi faire???
    On a l'Achoura, el Mouharram et El Mawlid! et toute chomées et payées!oeilfermé
    "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

    Commentaire


    • #3
      Pourquoi faire???
      il reste baucoup de chose a inscrire a l'inesco dans le patrimoine mondiale telque yanayer et le couscous roiyal
      dz(0000/1111)dz

      Commentaire


      • #4
        Le HCA fête Yennayer dans l’antique Théveste

        Tout en exigeant, une fois de plus, qu’il soit consacré officiellement comme fête nationale

        Le HCA fête Yennayer dans l’antique Théveste

        Depuis hier soir et durant ces trois jours de fête, la ville de Tébessa vit au rythme de Yennayer avec l’ouverture d’un mini-salon du livre et du multimédia amazighs, rehaussé par la présence de plusieurs maisons d’édition connues à l’échelle nationale ainsi qu’un autre mini-salon de l’artisanat qui regroupe depuis jeudi passé de nombreux artisans venus de plusieurs wilayas et des localités de Tébessa.

        Décidément, le Haut Commissariat à l’amazighité (HCA) semble déterminé à redonner à la fête de Yennayer, le nouvel an berbère, toute sa splendeur, sa symbolique et surtout son authenticité. C’est dans cette noble perspective qu’il a planté un décor féerique depuis hier à Tébessa, pour redonner à Yennayer tout son faste et sa dimension nationale. Après Oran, Tipasa, Ghardaïa et puis Timimoun l’année dernière, le HCA a choisi, cette année, l’antique Théveste pour festoyer dans l’allégresse populaire et jeter les tentacules d’un événement bien de chez nous qui, il faut bien l’admettre, prend de l’ampleur et de la notoriété d’année en année, et ce, aux quatre coins de l’Algérie profonde.
        Depuis hier soir et durant ces trois jours de fête, la ville de Tébessa vit au rythme de Yennayer, avec l’ouverture d’un mini-salon du livre et du multimédia amazighs, rehaussé par la présence de plusieurs maisons d’édition connues à l’échelle nationale ainsi qu’un autre mini-salon de l’artisanat qui regroupe depuis jeudi passé de nombreux artisans venus de Djanet, Khenchela, Ghardaïa, Adrar, Ouargla, Oran, Illizi, Sétif et de plusieurs localités de la wilaya de Tébessa. Et ce fut en présence d’une foule nombreuse que le wali de Tébessa, Mabrouk Beliouz, et le secrétaire général du HCA, Si El-Hachemi Assad, ont inauguré hier à la maison de la culture Mohamed-Chebouki de Tébessa les festivités officielles de Yennayer 2964 tout en insistant sur la portée historique et sociologique de cette fête ancestrale bien de chez nous. De leur côté, des invités de marque, à l’image de Rachid Boudjedra, Kamel Hamadi, Dr Mouloud Lounaouci, Mme Fatma-Zohra Bouhamed et le chanteur Hamidou, devaient marquer de leur empreinte cet heureux événement dédié cette année à la mémoire du regretté Mohamed Medjahed dit Momo, chroniqueur et spécialiste en art culinaire de la Radio nationale et du quotidien Liberté, qui nous a quittés cette année à la fleur de l’âge, mais aussi en l’honneur de Abdenacer Guedjiba, chercheur chaoui en linguistique amazighe ; Dida Badi, chercheur en anthropologie, spécialisé dans la culture targuie ; et Aïssa Brahimi, chanteur, compositeur et pionnier de la chanson moderne chaouie. Et si les organisateurs ont prévu tout un cycle de conférences-débats et de tables rondes sur “la signification de Yennayer” et sur “l’histoire et le patrimoine pour la réappropriation de la dimension amazighe de l’Algérie”, il n’en demeure pas moins que le clou de ces festivités aura lieu ce soir à la cité universitaire El-Wiam de Tébessa, où le rituel Imensi n’Yennayer (le traditionnel dîner de Yennayer), qui sera offert en la circonstance par le wali de Tébessa en l’honneur des participants aux festivités, mais aussi des pensionnaires du centre de l’enfance assistée et du centre de vieillesse de Tébessa, et qui sera agrémenté d’une superbe soirée artistique Spécial Yennayer retransmise en direct par Canal Algérie. Dans son programme d’activités Spécial Yennayer 2964, le HCA a tenu à rappeler que “ces dernières années, avec la prise de conscience identitaire et la réappropriation de l’histoire nationale, la reconnaissance de cette date dépasse la portée traditionnelle de l’événement pour se placer comme repère historique de tout un peuple”, tout en clamant haut et fort que “cette date de portée symbolique marque de son empreinte une période historique qui glorifie le peuple amazigh qui, de son côté, a le devoir de mémoire”. Et il faut rappeler que le 1er Yennayer qui correspond au 12 janvier marque en fait le début de l’année agraire que les Amazighs célèbrent dans la joie, la solidarité et la convivialité, tout en souhaitant de l’opulence, de la prospérité et de la fertilité pour la nouvelle année. Et c’est à juste titre que le HCA souligne que “Yennayer qui est connu et reconnu par les différentes régions d’Algérie mérite de faire partie de la nomenclature des fêtes nationales” et profite de cette heureuse circonstance pour exiger, une fois de plus, des hautes autorités du pays, pour que “le 1er Yennayer correspondant au 12 janvier de chaque année soit officiellement considéré comme une fête légale, une journée chômée et payée comme toutes les autres fêtes nationales en Algérie”.
        Par : Mohamed Haouchine
        liberte 11 Janvier 2014 09:50oeilfermé
        dz(0000/1111)dz

        Commentaire


        • #5
          On a l'Achoura, el Mouharram et El Mawlid! et toute chomées et payées!oeilfermé
          Le pouvoir Algérien ne cache plus sa haine et son racisme envers la culture Amazighe
          dz(0000/1111)dz

          Commentaire


          • #6
            Le pouvoir Algérien ne cache plus sa haine et son racisme envers la culture Amazighe
            Oui!
            ...Et c'est déjà un bon pas de s'en rendre compte...
            "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

            Commentaire


            • #7
              A oui, les Amazigh sont marginalisés. Ils sont mis dans des réserves.

              Les mecs ils sont PARTOUT et pleurent.

              Commentaire


              • #8
                Les mecs ils sont PARTOUT et pleurent.
                Pour l'instant la seule pleureuse dans l'affaire c'est toi!
                "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

                Commentaire


                • #9
                  La preuve!
                  "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

                  Commentaire


                  • #10
                    C'est ironique.

                    Quand il se passe des bagarres entre amazighs et arabes dans le Mzab c'est de l'amazighophobie, mais, à Constantine, non c'est pas le pouvoir raciste d'Alger.

                    Celui qui dit que l'Algérie est anti-amazigh c'est un menteur. Il veut juste se faire une publicité sur le dos de l’Algérie.

                    Voilà, ce que fait le pouvoir raciste d'Alger arabo-islamo-wahabbito-amazighophobo-jenesaisquoi.

                    L’Imzad touareg inscrit au patrimoine culturel immatériel de l’humanité
                    Dernière modification par Louny, 12 janvier 2014, 17h08.

                    Commentaire


                    • #11
                      Voilà, ce que fait le pouvoir raciste d'Alger arabo-islamo-wahabbito-amazighophobo-jenesaisquoi.
                      Tekber ou ta'araf!!!oeilfermé
                      "La chose la plus importante qu'on doit emporter au combat, c'est la raison d'y aller."

                      Commentaire


                      • #12
                        Fête du Mawlid Ennabaoui La journée de mardi chômée et payée

                        La journée du mardi 14 janvier 2014, coïncidant avec la fête du Mawlid Ennabaoui Echarif, sera chômée et payée pour l’ensemble des personnels des institutions et administrations publiques, y compris les personnels payés à l’heure ou à la journée, a indiqué, hier, le ministère du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale dans un communiqué. La journée sera également chômée et payée pour l’ensemble des personnels des services concédés, collectivités locales, entreprises commerciales, industrielles, artisanales et agricoles, a précisé la même source. Toutefois, en ce qui concerne les travailleurs exerçant sous le régime du travail posté, ils sont tenus d’assurer la continuité du service selon l’organisation du travail mise en place par l’employeur, ajoute le communiqué

                        HORIZONS d'algerie
                        dz(0000/1111)dz

                        Commentaire

                        Chargement...
                        X