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Les organisateurs de la 1ère édition du concours «Miss Djurdjura» ont animé une conférence de presse, avant hier matin, au niveau de l’établissement hôtelier «Jardin Secret», à Tizi-Ouzou.
Etaient présents à cette conférence notamment M. Ait Bachir, directeur dudit établissement ainsi que M. et Mme Khelifa, membres organisateurs du concours. Pour rappel, le concours « Miss Djurdjura », dont la lauréate sera élue vendredi prochain, soit la veille de la célébration de Yennayer, nouvel an berbère, a été initié conjointement par l’école de formation Jardin Secret et la direction de la culture de Tizi-Ouzou.
Pour l’occasion, une journée spéciale est prévue à la Maison de la culture, le jour même. D’emblée, M. Khelifa dira : « L’idée de créer le concours Miss Djurdjura nous est venue suite aux différents défilés de mode que nous avons organisés lors des soirées ramadhanesques tenues au niveau de l’établissement Jardin secret. C’est là que nous avons remarqué qu’à Tizi-Ouzou, il y a des filles qui possèdent le don de défiler. De plus, il faut préciser que ledit établissement est également spécialisé dans la formation d’hôtesses d’accueil. Nous travaillons en collaboration avec la Maison de la culture Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou, qui nous a inclus dans son programme dans le cadre de la célébration du nouvel an berbère ».
Pour sa part, M. Ait Bachir poursuivra en expliquant que ce concours permettra à la femme Kabyle d’émerger davantage. « Notre but est l’émancipation de la femme Kabyle, dans tous les domaines », a-t-il dit. M. Khelifa indiquera, lors de ce face-à-face avec la presse locale, que 87 filles se sont inscrites au concours Miss Djurdjura. Par la suite, ajoute-t-il, 16 filles ont été retenues dans la phase présélection. Mais seulement 12 ont été retenues pour les épreuves finales. Quant aux quatre autres, expliquent les organisateurs, elles prendront part au concours, mais en tant que suppléantes. « Nous exigeons de ces filles un certain niveau intellectuel. Elles doivent, notamment, savoir communiquer. Car elles seront engagées en tant que représentantes commerciales, déléguées médicales et hôtesses, entre autres », dira M. Khelifa en ajoutant : « Il faut préciser que nous accompagnerons ces filles mêmes après le concours. Elles ont signé des contrats d’une année avec l’établissement Jardin Secret ».
L’intervenant affirmera, par ailleurs, que les filles sélectionnées ont débuté les répétitions au niveau de la grande salle de la Maison de la culture depuis plusieurs jours, avec des spécialistes dans le domaine de la mode. « C’est la première édition. Tout se déroule bien pour le moment. Mais nous comptons faire mieux lors de la prochaine édition. Car on la préparera dès maintenant. Nous prévoyons d’organiser un casting dans les quatre wilayas de Kabylie, Tizi-Ouzou, Boumerdès, Bouira et Béjaia.
La finale se tiendra à Tizi-Ouzou, car c’est la capitale du Djurdjura, d’où le concours tient son appellation», explique M. Khelifa, qui poursuit en souhaitant que les lauréates prendront part au concours national.
« Les choses commencent vraiment à bouger, ces derniers temps, notamment à Tizi-Ouzou. Notre but est de promouvoir aussi le tourisme dans la région.». Pour ce qui est des critères de sélection, un membre du jury présent indiquera que la commission de selection prend en considération quatre critères, notamment le niveau intellectuel, ainsi que la beauté et la taille. « Nous prévoyons d’ajouter deux autres critères pour départager les 12 candidates finalistes. Mais je tiens à souligner que le critère le plus important est celui du niveau intellectuel. Pour les membres du jury, nous sommes au nombre de sept personnes », a-t-il conclut. A la fin de ce point de presse, les organisateurs ont indiqués que les Miss défileront avec une tenue quotidienne, puis une robe de soirée et, pour la finale, elles arboreront des robes kabyles modernes.
Samira Bouabdellah- El Watan
Etaient présents à cette conférence notamment M. Ait Bachir, directeur dudit établissement ainsi que M. et Mme Khelifa, membres organisateurs du concours. Pour rappel, le concours « Miss Djurdjura », dont la lauréate sera élue vendredi prochain, soit la veille de la célébration de Yennayer, nouvel an berbère, a été initié conjointement par l’école de formation Jardin Secret et la direction de la culture de Tizi-Ouzou.
Pour l’occasion, une journée spéciale est prévue à la Maison de la culture, le jour même. D’emblée, M. Khelifa dira : « L’idée de créer le concours Miss Djurdjura nous est venue suite aux différents défilés de mode que nous avons organisés lors des soirées ramadhanesques tenues au niveau de l’établissement Jardin secret. C’est là que nous avons remarqué qu’à Tizi-Ouzou, il y a des filles qui possèdent le don de défiler. De plus, il faut préciser que ledit établissement est également spécialisé dans la formation d’hôtesses d’accueil. Nous travaillons en collaboration avec la Maison de la culture Mouloud Mammeri de Tizi-Ouzou, qui nous a inclus dans son programme dans le cadre de la célébration du nouvel an berbère ».
Pour sa part, M. Ait Bachir poursuivra en expliquant que ce concours permettra à la femme Kabyle d’émerger davantage. « Notre but est l’émancipation de la femme Kabyle, dans tous les domaines », a-t-il dit. M. Khelifa indiquera, lors de ce face-à-face avec la presse locale, que 87 filles se sont inscrites au concours Miss Djurdjura. Par la suite, ajoute-t-il, 16 filles ont été retenues dans la phase présélection. Mais seulement 12 ont été retenues pour les épreuves finales. Quant aux quatre autres, expliquent les organisateurs, elles prendront part au concours, mais en tant que suppléantes. « Nous exigeons de ces filles un certain niveau intellectuel. Elles doivent, notamment, savoir communiquer. Car elles seront engagées en tant que représentantes commerciales, déléguées médicales et hôtesses, entre autres », dira M. Khelifa en ajoutant : « Il faut préciser que nous accompagnerons ces filles mêmes après le concours. Elles ont signé des contrats d’une année avec l’établissement Jardin Secret ».
L’intervenant affirmera, par ailleurs, que les filles sélectionnées ont débuté les répétitions au niveau de la grande salle de la Maison de la culture depuis plusieurs jours, avec des spécialistes dans le domaine de la mode. « C’est la première édition. Tout se déroule bien pour le moment. Mais nous comptons faire mieux lors de la prochaine édition. Car on la préparera dès maintenant. Nous prévoyons d’organiser un casting dans les quatre wilayas de Kabylie, Tizi-Ouzou, Boumerdès, Bouira et Béjaia.
La finale se tiendra à Tizi-Ouzou, car c’est la capitale du Djurdjura, d’où le concours tient son appellation», explique M. Khelifa, qui poursuit en souhaitant que les lauréates prendront part au concours national.
« Les choses commencent vraiment à bouger, ces derniers temps, notamment à Tizi-Ouzou. Notre but est de promouvoir aussi le tourisme dans la région.». Pour ce qui est des critères de sélection, un membre du jury présent indiquera que la commission de selection prend en considération quatre critères, notamment le niveau intellectuel, ainsi que la beauté et la taille. « Nous prévoyons d’ajouter deux autres critères pour départager les 12 candidates finalistes. Mais je tiens à souligner que le critère le plus important est celui du niveau intellectuel. Pour les membres du jury, nous sommes au nombre de sept personnes », a-t-il conclut. A la fin de ce point de presse, les organisateurs ont indiqués que les Miss défileront avec une tenue quotidienne, puis une robe de soirée et, pour la finale, elles arboreront des robes kabyles modernes.
Samira Bouabdellah- El Watan
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