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Films, livres, sorties, festivals. L’Algérie de 2014 ce n’est pas seulement l’élection présidentielle, mais aussi une année riche en événements culturels. les coups de coeur d’El Watan week-end.
Alger. Le 16 janvier. La chaîne de radio nationale Jil FM organise la première édition des «Algerian Music Awards», à la salle Ibn Khaldoun d’Alger (accès sur invitation). A l’issue de cette cérémonie, un jury composé de professionnels décernera des prix aux lauréats de cinq catégories composées d’une vingtaine d’artistes. Parmi les nominés, on retrouve Amel Zen, Kader Japonais, Hors Ligne, Babylone et plein d’autres. Pour les moins chanceux, l’événement sera retransmis en direct sur l’ENTV à partir de 20h45.
Alger. Jusqu’au 30 janvier. Le 5e Festival international d’art contemporain (FIAC) intitulé «Contre l’absence»,a lieu au Musée d’art moderne et contemporain d’Alger (MAMA). Trois expositions indépendantes seront présentées. La première, «Niemeyer revisité», une exposition photo de l’Allemand Andreas Helmut Rost. La deuxième exposition est celle du photographe Américain Charles Gaines Martin intitulée «Because of Algiers», où il immortalise la ville d’Alger. Enfin, la dernière exposition s’intitule «L’histoire des Palestiniens au Koweït» qui est une collection d’objets appartenant au Museum of Manufactured Response to Absence (MoMRTa) du Koweït.
Constantine. Fin avril. La date exacte du Dimajazz, le Festival international du jazz de Constantine, est encore inconnue tout comme le lieu, selon le commissaire Z. Bouzid. En effet, comme Constantine s’apprête à devenir la capitale de la culture arabe, toutes les infrastructures seront fermées pour rénovation, et le théâtre ne fait pas exception. «On ne veut pas que le festival soit délocalisé, c’est pour cela qu’on demandera à ce qu’il soit rénové après la célébration», confie Nourdine Nesrouche, membre du commissariat. Une chose est sûre, c’est que la programmation sera d’un très grand niveau, encore plus élevé que l’an dernier, assure l’organisation.
Mostaganem. La deuxième semaine du mois d’août. Fondé en 1967, le Festival national du théâtre amateur de Mostaganem en est à sa 47e édition. Véritable doyen des festivals dans notre pays, cette manifestation se précise d’année en année comme une véritable école de théâtre dans le pays.
Mostaganem. Du 20 au 26 août. La deuxième édition du Festival de la poésie «melhoun», terme qui regroupe toute la poésie populaire écrite en arabe maghrébin, se tiendra à la maison de la culture Ould Abderahmane Kaki de Mostaganem. Cette édition, selon Abdelkader Bendamaache, musicologue et commissaire de l’édition «célèbre le grand poète populaire Sidi Lakhdar Benkhlouf (fondateur de la poésie au Maghreb au XVIe siècle)». Selon lui, cette édition qui se veut être un espace de poésie «melhoun», de musique et de chants populaires, sera placée sous le signe de la résistance, thème choisi pour cette édition. «La poésie populaire mérite qu’on organise un festival comme celui-là, car elle est jouée dans tout le pays», confie Abdelkader Bendamaache. Il ajoute : «Mettre en valeur le melhoun, c’est mettre en valeur une grande partie de notre culture.»
Alger. Du 6 au 12 septembre. La 6e édition du Festival international de musique symphonique sera lancée au théâtre national Mahieddine Bachtarzi d’Alger. Ce festival international, principal moment de la musique universelle, connaît un engouement croissant chaque année. Une vingtaine d’orchestres de pays étrangers sont conviés à participer à ce festival aux côtés de l’Orchestre symphonique national. Des conférences seront animées, des hommages mais aussi des journées d’études sur la musique symphonique seront proposés.
Oran. Septembre. La 8e édition du Festival d’Oran du film arabe, le Fofa pour les intimes, donnera lieu, comme chaque année, à une compétition entre les productions cinématographiques arabes, et ce, dans différentes catégories de long et de court métrages. Les candidats auront tous pour ultime objectif de rafler le très convoité prix du Whir Eddhahabi (le Lion d’or).
Sofia Ouahib et Ryma Maria Benyakoub- El Watan
Alger. Le 16 janvier. La chaîne de radio nationale Jil FM organise la première édition des «Algerian Music Awards», à la salle Ibn Khaldoun d’Alger (accès sur invitation). A l’issue de cette cérémonie, un jury composé de professionnels décernera des prix aux lauréats de cinq catégories composées d’une vingtaine d’artistes. Parmi les nominés, on retrouve Amel Zen, Kader Japonais, Hors Ligne, Babylone et plein d’autres. Pour les moins chanceux, l’événement sera retransmis en direct sur l’ENTV à partir de 20h45.
Alger. Jusqu’au 30 janvier. Le 5e Festival international d’art contemporain (FIAC) intitulé «Contre l’absence»,a lieu au Musée d’art moderne et contemporain d’Alger (MAMA). Trois expositions indépendantes seront présentées. La première, «Niemeyer revisité», une exposition photo de l’Allemand Andreas Helmut Rost. La deuxième exposition est celle du photographe Américain Charles Gaines Martin intitulée «Because of Algiers», où il immortalise la ville d’Alger. Enfin, la dernière exposition s’intitule «L’histoire des Palestiniens au Koweït» qui est une collection d’objets appartenant au Museum of Manufactured Response to Absence (MoMRTa) du Koweït.
Constantine. Fin avril. La date exacte du Dimajazz, le Festival international du jazz de Constantine, est encore inconnue tout comme le lieu, selon le commissaire Z. Bouzid. En effet, comme Constantine s’apprête à devenir la capitale de la culture arabe, toutes les infrastructures seront fermées pour rénovation, et le théâtre ne fait pas exception. «On ne veut pas que le festival soit délocalisé, c’est pour cela qu’on demandera à ce qu’il soit rénové après la célébration», confie Nourdine Nesrouche, membre du commissariat. Une chose est sûre, c’est que la programmation sera d’un très grand niveau, encore plus élevé que l’an dernier, assure l’organisation.
Mostaganem. La deuxième semaine du mois d’août. Fondé en 1967, le Festival national du théâtre amateur de Mostaganem en est à sa 47e édition. Véritable doyen des festivals dans notre pays, cette manifestation se précise d’année en année comme une véritable école de théâtre dans le pays.
Mostaganem. Du 20 au 26 août. La deuxième édition du Festival de la poésie «melhoun», terme qui regroupe toute la poésie populaire écrite en arabe maghrébin, se tiendra à la maison de la culture Ould Abderahmane Kaki de Mostaganem. Cette édition, selon Abdelkader Bendamaache, musicologue et commissaire de l’édition «célèbre le grand poète populaire Sidi Lakhdar Benkhlouf (fondateur de la poésie au Maghreb au XVIe siècle)». Selon lui, cette édition qui se veut être un espace de poésie «melhoun», de musique et de chants populaires, sera placée sous le signe de la résistance, thème choisi pour cette édition. «La poésie populaire mérite qu’on organise un festival comme celui-là, car elle est jouée dans tout le pays», confie Abdelkader Bendamaache. Il ajoute : «Mettre en valeur le melhoun, c’est mettre en valeur une grande partie de notre culture.»
Alger. Du 6 au 12 septembre. La 6e édition du Festival international de musique symphonique sera lancée au théâtre national Mahieddine Bachtarzi d’Alger. Ce festival international, principal moment de la musique universelle, connaît un engouement croissant chaque année. Une vingtaine d’orchestres de pays étrangers sont conviés à participer à ce festival aux côtés de l’Orchestre symphonique national. Des conférences seront animées, des hommages mais aussi des journées d’études sur la musique symphonique seront proposés.
Oran. Septembre. La 8e édition du Festival d’Oran du film arabe, le Fofa pour les intimes, donnera lieu, comme chaque année, à une compétition entre les productions cinématographiques arabes, et ce, dans différentes catégories de long et de court métrages. Les candidats auront tous pour ultime objectif de rafler le très convoité prix du Whir Eddhahabi (le Lion d’or).
Sofia Ouahib et Ryma Maria Benyakoub- El Watan