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Le premier jour de l’an amazigh sera marqué, demain, par d’intenses activités culturelles dans les différentes localités de la wilaya de Tizi Ouzou.
Les citoyens de la région perpétuent ainsi cette tradition millénaire, notamment par le rituel d’imensi n’Yennayer (un dîner avec du couscous au poulet). Cette journée sera également ponctuée de nombreuses festivités pour donner à l’occasion, un cachet particulier.
Dans le chef-lieu de wilaya, Radio Tizi Ouzou annonce un programme aussi riche que varié pour célébrer cet événement qui sera consacré par une journée ouverte sur les ondes de ce média régional de 7h jusqu’à minuit. «Notre programme s’articule essentiellement sur des émissions en mesure de traduire les différentes variantes de la langue amazighe, et ce, avec la participation d’autres stations régionales», expliquent les initiateurs de cette célébration qui ajoutent, par ailleurs, que cette activité sera clôturée par un grand gala artistique.
Ce spectacle sera animé, durant la soirée, au théâtre régional Kateb Yacine, par une pléiade de chanteurs, à l’image de Malika Domrane, Djamel Allam, Djamel Kaloun et le groupe Mugar (berbéro-celtique). Toujours dans la capitale du Djurdjura, les étudiants du département de langue et culture amazighes de l’université Mouloud Mammeri organiseront une semaine culturelle. Celle-ci portera notamment sur une exposition et des conférences ainsi que des présentations théâtrales.
La maison de la culture Mouloud Mammeri a abrité aussi, hier, dans le même cadre, l’élection de Miss Djurdjura, une activité organisée par l’école hôtelière et du tourisme Le Jardin secret. Un autre concours du même genre est également prévu demain dans la ville des Genêts. Il s’agira de couronner Miss Kabylie parmi les dizaines de candidates en lice à la 9e édition de cette manifestation culturelle initiée par Mourad Aït Ahmed et son épouse Feriel.
De son côté, le mouvement de l’initiative citoyenne annonce un meeting, pour aujourd’hui à 14h, à la maison de la culture Mouloud Mammeri et un recueillement, dimanche à 10h, sur la tombe de Bessaoud Mohand Arav, au village Akaoudj. La célébration de Yennayer sera également celle de la protestation de rue dans la ville de Tizi Ouzou où le MAK appelle à une marche qui s’ébranlera, demain à 10h, du portail du campus universitaire de Hasnaoua jusqu’à la placette de l’ancienne mairie de Tizi Ouzou. Par ailleurs, le premier jour de l’an berbère sera également célébré dans les villages de la wilaya. Dans la commune d’Aghribs, les citoyens sont mobilisés pour marquer cette occasion de manière grandiose. Un grand déjeuner (couscous au poulet) sera offert au public, aujourd’hui, à la mosquée de Sidi Djaâffar.
D’autres activités sont également au menu des programmes mis sur pied par le mouvement associatif à travers les quatre coins de la région. L’association culturelle Iomnium de Tigzirt a choisi de fêter Yennayer, hier, par, entre autres, une exposition de robes kabyles, de poterie, d’objets traditionnels et des conférences ainsi que des présentations théâtrales au cinéma de la ville. La même tradition a été aussi perpétuée dans d’autres localités comme Makouda, Timizart, Aïn El Hammam, Larbaâ Nath Irathen, Azazga, Draâ El Mizan, Ouadhias.
Hafid Azzouzi- El Watan
Les citoyens de la région perpétuent ainsi cette tradition millénaire, notamment par le rituel d’imensi n’Yennayer (un dîner avec du couscous au poulet). Cette journée sera également ponctuée de nombreuses festivités pour donner à l’occasion, un cachet particulier.
Dans le chef-lieu de wilaya, Radio Tizi Ouzou annonce un programme aussi riche que varié pour célébrer cet événement qui sera consacré par une journée ouverte sur les ondes de ce média régional de 7h jusqu’à minuit. «Notre programme s’articule essentiellement sur des émissions en mesure de traduire les différentes variantes de la langue amazighe, et ce, avec la participation d’autres stations régionales», expliquent les initiateurs de cette célébration qui ajoutent, par ailleurs, que cette activité sera clôturée par un grand gala artistique.
Ce spectacle sera animé, durant la soirée, au théâtre régional Kateb Yacine, par une pléiade de chanteurs, à l’image de Malika Domrane, Djamel Allam, Djamel Kaloun et le groupe Mugar (berbéro-celtique). Toujours dans la capitale du Djurdjura, les étudiants du département de langue et culture amazighes de l’université Mouloud Mammeri organiseront une semaine culturelle. Celle-ci portera notamment sur une exposition et des conférences ainsi que des présentations théâtrales.
La maison de la culture Mouloud Mammeri a abrité aussi, hier, dans le même cadre, l’élection de Miss Djurdjura, une activité organisée par l’école hôtelière et du tourisme Le Jardin secret. Un autre concours du même genre est également prévu demain dans la ville des Genêts. Il s’agira de couronner Miss Kabylie parmi les dizaines de candidates en lice à la 9e édition de cette manifestation culturelle initiée par Mourad Aït Ahmed et son épouse Feriel.
De son côté, le mouvement de l’initiative citoyenne annonce un meeting, pour aujourd’hui à 14h, à la maison de la culture Mouloud Mammeri et un recueillement, dimanche à 10h, sur la tombe de Bessaoud Mohand Arav, au village Akaoudj. La célébration de Yennayer sera également celle de la protestation de rue dans la ville de Tizi Ouzou où le MAK appelle à une marche qui s’ébranlera, demain à 10h, du portail du campus universitaire de Hasnaoua jusqu’à la placette de l’ancienne mairie de Tizi Ouzou. Par ailleurs, le premier jour de l’an berbère sera également célébré dans les villages de la wilaya. Dans la commune d’Aghribs, les citoyens sont mobilisés pour marquer cette occasion de manière grandiose. Un grand déjeuner (couscous au poulet) sera offert au public, aujourd’hui, à la mosquée de Sidi Djaâffar.
D’autres activités sont également au menu des programmes mis sur pied par le mouvement associatif à travers les quatre coins de la région. L’association culturelle Iomnium de Tigzirt a choisi de fêter Yennayer, hier, par, entre autres, une exposition de robes kabyles, de poterie, d’objets traditionnels et des conférences ainsi que des présentations théâtrales au cinéma de la ville. La même tradition a été aussi perpétuée dans d’autres localités comme Makouda, Timizart, Aïn El Hammam, Larbaâ Nath Irathen, Azazga, Draâ El Mizan, Ouadhias.
Hafid Azzouzi- El Watan