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La jeunesse : grand absent sous le règne de Bouteflika

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  • La jeunesse : grand absent sous le règne de Bouteflika

    La question des jeunes actuellement dans le monde a la priorité absolue
    La jeunesse et l’énergie vive d’une nation, donc on donne de plus en plus de place à la jeunesse. La sécurité de l’emplois, le logement, l’espace culturel, toutes ces questions ont comme principale occupation l’assurance d’un meilleure avenir pour la jeunesse en lui donnant l’espoir de réussir et de vivre dignement.

    En donnant tous les moyens qu’il faut pour la jeunesse, le travail, la considération, le respect, liberté et démocratie, on peut s’attendre à une éclatement de capacités et à des productions satisfaisantes dans tous les domaines. Le sport les créations artistiques ex. Mais si on continu à mépriser les jeunes et à les privés de leur droits les plus élémentaires, c’est la rue la délinquance la violence l’extrémisme dans ses différentes formes.. !

    Si des gens ignorants parce qu’ils ont étaient élus je ne sais comment méprisent sans cesse des jeunes compétents dans les administrations qui se sont consacrer dans leur études et formations jusqu’à les rendre dingues.. c’est évident qu'ensuite ils ont un seul objectif.. se casser à l’étranger le visa vers la France l’Espagne le Canada on s’en fou.. l’essentiel c’est d’être « loin de ce pays qui brise » comme disait un jeune.

    « F lkhoudma yehagrouna, fi bera Ldjadarmi yehgrek, f dar babak yehgrek, trouh la justice kif kif, Chaâb maqhour mahgour en plus de ça ki tehder âla lmachakil hadoun on te dit nta Mahboul ya jeune.. ! la khoudma la hedma wala houm yahzanoun alors que rana fi blad el pétrole »

    Si la nation se vide de sa jeunesse elle se vide de sa substance de vie, de sa régénération..

    Tous les événement qui ont secouer l’Algérie dernièrement les évènements de Kabylie, des émeutes qui éclatent dans toutes les villes et régions du pays, au centre il y’avait « la jeunesse »
    Des jeunes même petits enfants qui brûlent des pneus lancent des prières barrent les routes cassent les édifices publiques rien que pour revendiquer des droits, une preuve que la démocratie ne fonctionne pas dans le bled
    La totalités des victimes dans ces évènements sont des jeunes qui veulent se faire entendre.. !
    Mais jusqu’à présent est ce que la politique de Bouteflika à lancer une véritable prise en charge de la jeunesse, en lui donnant la place qu’il faut dans toutes les sphères sociales économique et culturelle ?!
    En ouvrant les portes des centres, en créant des structures qui règlent les différents problèmes des jeunes, les orientent dans les formation professionnelle, les rassurent, les accompagnent dans leur projets, cela est-il impossible pour un pays et un Etat comme l’Algérie.
    On demande pas de la charité on demande des droits.. ! disait un jeune

    C’est clair que la jeunesse leur pose problème, ils ont peur de sa révolte et sa colère.. et c’est pour cette raison qu’ils font plutôt l’impossible pour empêcher les jeunes de s’unire et de former une force de changement..
    Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

  • #2
    Le sujet est vaste et interessant. Que ce post soit celui d'une force de proposition de ce que doit faire le gouvernement. Des mesures concretes, pragmatiques, quantifiables. Analyser, critiquer, c'est bien, proposer c'est mieux.

    Parmi les mesures qui semblent avoir été prise, semble etre la facilitation de la création de micro entreprises, notamment à travers un accès au crédit moins contraignant garantit par l'état, à travers un cadre fiscal incitatif. Il semble que les chiffres sont impressionnants, en terme d'emploi, de remboursement et de périnité des entreprises créées.
    D'autres idées?
    Dernière modification par ibnrushd, 02 octobre 2006, 21h30.

    Commentaire


    • #3
      Oui je suis tout à fait d’accord avec vous
      Mon objectif d’ouvrire ce post c’est de rappeler justement l’importance de cette question.. On commence par une discussion si on veut bâtire une force de proposition. D’accord nous sommes dans un forum virtuel
      Mais des débat collectifs c’est la chose qui manque actuellement dans les milieux politiques et associatifs.. je veux dire dans le concret
      C’est à eux de revoir leur fonctionnement et de trouver une réponse pourquoi ils arrivent pas à rassembler les jeunes pour débattre démocratiquement de leur attentes !

      A mon avis le gouvernement doit commencer justement par consulter ces espaces de débat entre les jeunes ou l’on peut connaître le malaise les espoirs les avis les idées de la jeunesse, pour qu’il s’informe et qu’il connaisse sérieusement sa jeunesse..
      Au lieu de rester cloîtré dans les bureau les réunions interminables télévisés matin et soir pour nous dire qu’il sont au courant de nos soucis.

      Vous avez parler de création d’entreprises
      Je ne sais pas combien de dispositifs qui sont crée en Algérie mais le problème demeure au niveau de l’application et le suivi
      Beaucoup de jeunes se lancent dans des petits projets quand ils trouvent pas d’emploi mais encore là il faut une structure d’orientation pour les soutenir.. En d’autres termes il faut nécessairement une agence étatique pour l’emploi en Algérie comme l’ANPE en France
      J’ai su qu’il y a justement un partenariat dans ce domaine avec la France
      Mais c’est pour quand le démarrage de ce projet essentiel qui peut régler beaucoup de problèmes ?
      A savoir l’inscription des demandeurs d’emplois, donc statistiques fiables
      Mettre à disposition les offres d’emploi, de formation ex..
      Des accompagnements de projets par des conseillers
      Mettre à disposition des outils des locaux pour la recherche la connaissance des domaines des secteurs et des métiers..
      Et surtout mettre en relation ces agences d’emploi avec les autres organismes indispensables dans la démarche

      Maintenant en Algérie quand un étudiant sort de l’université ou d’un centre de formation avec un diplôme il se retrouve seul ne sachant rien du marché de l’emploi comment trouver des financements et des spécialistes à qui parler..

      Enfin les propositions on peut en déballer des milliers ici
      Le plus important c’est qu’ils écoutent et que le chef de gouvernement ait le courage d’appliquer l’idée d’un jeune, parce que dans la mentalité des responsables algériens c’est eux qui décident c’est eux qui savent ce qui veut dire les jeunes ont pas la parole.. et ça c’est faux.

      Quand j’entend moi dire en Algérie « facilitation de la création d’entreprises, à travers un accès au crédit moins contraignant garantit par l'état, à travers un cadre fiscal incitatif ex... » c’est cool
      Mais le problème est que sur le terrain on voit que les gens ne sont pas informés ou bien ne veulent pas y croire..
      On trouve beaucoup de jeunes qui courent partout avec leur argent et leur diplômes pour arracher des projets des places.. Et la première idée dans leur têtes c’est pas de trouver d’abord l’information, mais des connaissances « Lmaârifa ».. L’piston comme on dit en algérie pour faire avancer les choses.

      C’est bien sûr au président de la république qu’on se plain de cette situation
      Il est le premier responsable et à mon avis il peut le faire maintenant
      Intervenir directement et appliquer la loi
      Liquider et remplacer sur le champ tous les responsables inactifs qui ont un emploi stable un salaire immense alors qu’ils se foutent de la gueule d’un jeune qui vient leur parler de projet !!

      Si il veut lutter contre la fuite des cerveaux qui se forment en Algérie avec les moyens de l’Etat pour venir travailler à l’étranger souvent dans des conditions difficiles voir minables
      Qu’il parle aux jeunes, il faut qu’il rassurent les jeunes et qu’il leur montre par les actes qu’un espoir subsiste !
      le travail doit être un droit avec un vrai salaire comme le logement aussi
      d’autant plus que les moyens existent aujourd’hui mieux qu’hier
      Dernière modification par postra, 03 octobre 2006, 01h14.
      Le jour se lève ! Les cœurs reprennent le fardeau des siècles, aller vers la nature ou se consumé dans la pénombre de sa tanière ?

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      • #4
        Tout à fait,

        L'Algérie a besoin d'une agence étatique type ANPE, afin d'orienter les chomeurs, et leur proposer des postes de salariés disponibles, des formatiosn complémentaires... Ces agences devraient être aussi intégrés au tissu économique, car les employeurs sont d'abord les entreprises qui recherchent les bons profils. Ces idées sont bonnes et généreuses, mais il faut faire attention et éviter de prendre des modèles importés d'ailleurs, et parfois innadaptés. La réalité de l'embauche dans le secteur privé algerien est différent de ce qui se pratique dans les pays occidentaux. C'est à cette réalité d'embauche, qu'il faut faire face, avec des structures et solutions idoines.

        Concernant l'information sur les prets jeunes. Ne vous inquiéter pas, les jeunes sont bien au courent de ces facilitées depuis plus de 5 ans, et des tonnes de dossiers ont été déposées à l'ANSEJ ou l'ANDI. Les jeunes connaissent parfaitement les conditions d'accès. Des partenarias, des forums d'emploi ont même été organisés au sein de certaines structures universitaires. Une meilleure transparance est d'ailleur pointée, et semble être prise en charge.

        Concernant le chapitre de l'emploi, l'Algérie s'est trop habituée à l'assistanat, et les algeriens ont pris l'habitude de demander tout de l'état. Ce n'est pas comme ça que cela fonctionne dans l'ensemble du monde. L'action de l'état Algerien, facilitant l'accès au micro credit est l'une des plus importante du monde, en terme de proportion de jeunes concernés, comme en terme de budget. C'est ensuite à l'entrepreneur de prendre son destin en main, et à l'état de garantir des régles économiques saines, facilitant la concurrence, notamment concernant lesmarchés publiques, garantissant le respect des régles à travers un état de droit, et mettant à niveau les banques, véritables OBSTACLES aujourd'hui à l'investissmeent et aux fluidités des opérations économiques.

        Je ne suis pas de ceux qui considèrent que l'état à un rôle productif dans l'économie, mais un rôle de régulateur.

        Concernant les autres problèmes des jeunes, ce sont les députés qui sont sensés représenter les electeurs, qui devraient remonter les aspirations et les deffendres. Une chaine de représentativité des nos élus, depuis les municipales, jsuqu'au président, doivent avoir le rôle d'écouter et d'agir. Mais au sein de cette chaine là, chacun doit prendre ses responsabilités. L'insertion des jeunes, est par exemple en France du ressort des régions, et d'un gouvernement biensur qui met en place la batterie de lois et incitations pour encourager les démraches. Et je suis aussi convaincu que les élus locaux ont un rôle primordial pour prendre en charge certains dossiers, ce qui manque cruellement en Algérie.
        Dernière modification par ibnrushd, 03 octobre 2006, 11h00.

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