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Les Etats-Unis ont déployé une équipe de conseillers et formateurs militaires en Somalie, pays en proie aux conflits, a rapporté hier le quotidien Washington Post.
«C’est la première fois depuis 1993 – quand deux hélicoptères Black Hawk avaient été abattus dans la capitale somalienne Mogadiscio faisant 18 morts parmi les soldats américains – que des troupes américaines sont déployées dans ce pays», a indiqué le journal, citant trois officiers militaires américains. Les troupes américaines, estimées à moins d’une vingtaine par le Washington Post contre trois par la chaîne de télévision CBS, sont présentes à Mogadiscio depuis octobre.
Selon le quotidien, les conseillers militaires sont retournés en Somalie pour conseiller et coordonner les opérations avec les troupes africaines, qui luttent pour reprendre le contrôle du pays tombé aux mains du groupe armé shebab, lié au réseau terroriste d’Al Qaîda. Depuis août 2012, la Somalie a un gouvernement central, mais le groupe shebab contrôle encore une partie du pays. Les forces de l’Union africaine contrôlent la majorité de Mogadiscio, tandis que les troupes éthiopiennes et kenyanes contrôlent les régions proches de leurs frontières.
A signaler par ailleurs que le représentant spécial de la présidente de la commission de l’Union africaine (UA) pour la Somalie, Mahamat Saleh Annadif, a exprimé vendredi le soutien de la Mission de l’Union africaine en Somalie (Amisom) au nouveau Premier ministre somalien Abdiweli Cheikh Ahmed. Lors d’une visite de courtoisie à Mogadiscio, l’émissaire de l’UA a félicité le nouveau Premier ministre pour sa nomination et a affiché à son nouveau gouvernement le soutien de la mission africaine en Somalie, a indiqué l’UA dans un communiqué.
Les deux hommes se sont rencontrés pour la première fois depuis la récente nomination du nouveau chef du gouvernement somalien et ont discuté entre autres du mandat de l’Amisom et de l’application de la résolution 2124 du Conseil de sécurité de l’ONU, ainsi que du nouveau concept des opérations de l’Amisom, précise le texte.
R.I.- El watan
«C’est la première fois depuis 1993 – quand deux hélicoptères Black Hawk avaient été abattus dans la capitale somalienne Mogadiscio faisant 18 morts parmi les soldats américains – que des troupes américaines sont déployées dans ce pays», a indiqué le journal, citant trois officiers militaires américains. Les troupes américaines, estimées à moins d’une vingtaine par le Washington Post contre trois par la chaîne de télévision CBS, sont présentes à Mogadiscio depuis octobre.
Selon le quotidien, les conseillers militaires sont retournés en Somalie pour conseiller et coordonner les opérations avec les troupes africaines, qui luttent pour reprendre le contrôle du pays tombé aux mains du groupe armé shebab, lié au réseau terroriste d’Al Qaîda. Depuis août 2012, la Somalie a un gouvernement central, mais le groupe shebab contrôle encore une partie du pays. Les forces de l’Union africaine contrôlent la majorité de Mogadiscio, tandis que les troupes éthiopiennes et kenyanes contrôlent les régions proches de leurs frontières.
A signaler par ailleurs que le représentant spécial de la présidente de la commission de l’Union africaine (UA) pour la Somalie, Mahamat Saleh Annadif, a exprimé vendredi le soutien de la Mission de l’Union africaine en Somalie (Amisom) au nouveau Premier ministre somalien Abdiweli Cheikh Ahmed. Lors d’une visite de courtoisie à Mogadiscio, l’émissaire de l’UA a félicité le nouveau Premier ministre pour sa nomination et a affiché à son nouveau gouvernement le soutien de la mission africaine en Somalie, a indiqué l’UA dans un communiqué.
Les deux hommes se sont rencontrés pour la première fois depuis la récente nomination du nouveau chef du gouvernement somalien et ont discuté entre autres du mandat de l’Amisom et de l’application de la résolution 2124 du Conseil de sécurité de l’ONU, ainsi que du nouveau concept des opérations de l’Amisom, précise le texte.
R.I.- El watan