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Hausse des commandes à Corenav
Le port de Zemmouri, dans la wilaya de Boumerdès, connaît depuis l’entame de l’année en cours une certaine effervescence qui n’est pas sans plaire aux riverains et autres professionnels.
Ce regain de dynamise est à mettre sur le compte de la reprise de la construction et de la réparation navales pour répondre à l’augmentation des commandes qu’enregistre l’entreprise Corenav, le seul atelier encore en activité au niveau de ce port.
C’est d’ailleurs avec beaucoup de fierté que son premier responsable a fait état d’une douzaine de commandes pour la construction de bateaux de différents calibres.
« A ce rythme, les demandes devront atteindre la trentaine durant cette année, contre une moyenne de 5 à 6 par an enregistrées ces dernières 4 années, a-t-il déclaré à l’APS.
Concernant la réparation et la maintenance navales, M. Ali Chaouch dit s’attendre à une centaine de demandes de la part de nationaux et d’étrangers tout en précisant qu’à ce jour, il en a réceptionné 70.
Cette relance de l’activité est à mettre sur le compte du soutien de l’Etat qui avait arrêté tout appui à ce métier. Mieux, les pouvoirs publics ont été jusqu’à imposer l’obtention d’une autorisation préalable à toute construction de grands bateaux en raison de la saturation des quais d’accostage, selon le responsable de Corenav, une entreprise privée créée en 2002.
Il faut souligner que le retour du soutien de l’Etat s’est fait par le biais des facilitations de création de micro-entreprises dans le domaine par le biais des dispositifs tels que l’Ansej qui a permis aux jeunes d’investir le créneau tout en se spécialisant dans le métier et en offrant de meilleures prestations à des prix abordables.
D’autre part, il faut préciser que l’introduction de taxes sur les bateaux de plaisance dans la loi de Finances pour 2013 encouragera à n’en point douter l’activité et permettra à beaucoup de citoyens qui le désirent de faire des commandes sans recourir à l’importation.
Toujours dans le même domaine, rappelons que l’entreprise de construction et de réparation navale (Ecorep), qui a connu elle aussi une véritable traversée du désert, vient de sortir la tête de l’eau. Elle a en effet signé, dans le cadre du partenariat public-privé un accord avec le constructeur breton Piriiou selon la règle des 49/51%.
faouzia.Ahttp://www.leconews.com/
Le port de Zemmouri, dans la wilaya de Boumerdès, connaît depuis l’entame de l’année en cours une certaine effervescence qui n’est pas sans plaire aux riverains et autres professionnels.Ce regain de dynamise est à mettre sur le compte de la reprise de la construction et de la réparation navales pour répondre à l’augmentation des commandes qu’enregistre l’entreprise Corenav, le seul atelier encore en activité au niveau de ce port.
C’est d’ailleurs avec beaucoup de fierté que son premier responsable a fait état d’une douzaine de commandes pour la construction de bateaux de différents calibres.
« A ce rythme, les demandes devront atteindre la trentaine durant cette année, contre une moyenne de 5 à 6 par an enregistrées ces dernières 4 années, a-t-il déclaré à l’APS.
Concernant la réparation et la maintenance navales, M. Ali Chaouch dit s’attendre à une centaine de demandes de la part de nationaux et d’étrangers tout en précisant qu’à ce jour, il en a réceptionné 70.
Cette relance de l’activité est à mettre sur le compte du soutien de l’Etat qui avait arrêté tout appui à ce métier. Mieux, les pouvoirs publics ont été jusqu’à imposer l’obtention d’une autorisation préalable à toute construction de grands bateaux en raison de la saturation des quais d’accostage, selon le responsable de Corenav, une entreprise privée créée en 2002.
Il faut souligner que le retour du soutien de l’Etat s’est fait par le biais des facilitations de création de micro-entreprises dans le domaine par le biais des dispositifs tels que l’Ansej qui a permis aux jeunes d’investir le créneau tout en se spécialisant dans le métier et en offrant de meilleures prestations à des prix abordables.
D’autre part, il faut préciser que l’introduction de taxes sur les bateaux de plaisance dans la loi de Finances pour 2013 encouragera à n’en point douter l’activité et permettra à beaucoup de citoyens qui le désirent de faire des commandes sans recourir à l’importation.
Toujours dans le même domaine, rappelons que l’entreprise de construction et de réparation navale (Ecorep), qui a connu elle aussi une véritable traversée du désert, vient de sortir la tête de l’eau. Elle a en effet signé, dans le cadre du partenariat public-privé un accord avec le constructeur breton Piriiou selon la règle des 49/51%.
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