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Abdelaziz Bouteflika au Val-de-Grâce, réunion de crise de l'Armée

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  • Abdelaziz Bouteflika au Val-de-Grâce, réunion de crise de l'Armée

    L'Armée en réunion de crise



    Par ailleurs, et selon nos sources, le haut-commandement de l'ANP, comprenant les chefs des six régions militaires, a tenu une réunion de crise l'après-midi du lundi 13 janvier au siège du ministère de la Défense, à Alger. Cette réunion de crise a été provoquée par la nécessité de « réfléchir à tous les scénarios de crise », après l'évacuation du président Bouteflika au Val-de-Grâce, et les risques de voir les délais de la convocation du corps électoral non respectés. Cette éventualité est curieusement évoquée par une dépêche de l'APS quelques heures plutôt avant l'annonce du transfert du Président à Paris : "la loi organique du 12 janvier 2012 relative au régime électoral, stipule dans son article 133 que "sans préjudice des dispositions de l'article 88 de la Constitution, le corps électoral est convoqué par décret présidentiel, quatre-vingt-dix jours avant la date du scrutin"". L'article 88 de la Constitution précise les modalités de déclaration de l'état d'empêchement du chef de l'Etat.

    El watan
    There's nothing wrong with being shallow as long as you're insightful about it.

  • #2
    Chacun ses limites

    L'être humain a ses limites et il doit le comprendre
    Le Sage

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    • #3
      L'être humain a ses limites et il doit le comprendre
      pas les dictatures arabes ! aucune limites hormis celles décrétés par dieu..
      ils aimeraient gouvernés pendant 1000 ans si la santé le leurs permettait..
      ارحم من في الارض يرحمك من في السماء
      On se fatigue de voir la bêtise triompher sans combat.(Albert Camus)

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      • #4
        lundi 13 janvier
        un autre coup pour d'état à la même date ?!
        شبابنا ساهي متزنك في المقاهي مبنك

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        • #5
          un autre coup pour d'état à la même date ?!
          la réponse vendredi 17...

          quatre-vingt-dix jours avant la date du scrutin"". L'article 88 de la Constitution précise les modalités de déclaration de l'état d'empêchement du chef de l'Etat.
          There's nothing wrong with being shallow as long as you're insightful about it.

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          • #6
            L'Armée en réunion de crise
            Je pense que la réunion de crise est plutôt relative à l'aggravation de l'état de santé du président et pas par rapport à la convocation du corps électoral.
            pas les dictatures arabes !
            J'ai pensé qu'après avoir vu le cas Dieudonné en France, vous n'alliez plus parler de dictateurs. Soyez réalistes yaweddi.

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            • #7
              Je pense que la réunion de crise est plutôt relative à l'aggravation de l'état de santé du président et pas par rapport à la convocation du corps électoral.
              contrairement a APS qui annonce une visite médicale, El watan parle d'evacuation...je pense que les decisions qui vont etre prises par l'armée concerneront aussi la convocation du corps électoral qui fait partie des prorogatives du chef d'etat...
              There's nothing wrong with being shallow as long as you're insightful about it.

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              • #8
                Je pense que l'armée ne pourra rien faire au sujet de la convocation électoral, en dehors du président, les autres principaux acteurs: conseil constitutionnel, ministre de la justice et intérieur sont entre les mains des fidèles à Bouteflika et ils ne feront rien. A moins d'un coup, l'armée se contentera d'attendre le retour de Bouteflika.

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                • #9
                  saha bee...

                  Je pense que l'armée ne pourra rien faire au sujet de la convocation électoral, en dehors du président,
                  certe, mais une reunion de crise apres l'evacuation du president vers la france laisse la porte ouverte a tous les scenarios...
                  There's nothing wrong with being shallow as long as you're insightful about it.

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                  • #10
                    Saha Born

                    Juste une précaution, car toutes les opportunités sont bonnes pour déstabiliser l’Algérie, ça bosse dure un peu partout pour y arriver.

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                    • #11
                      et yen a qui demande un 4eme mandat ,faudrait noter leurs noms et les interdire de politique pendant 50 ans lol...quand au president allah ychafih et quil se repose et quil finit ses jours loin de la presidence

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                      • #12
                        algerie focus

                        La dépêche APS qui sème le doute sur l’avenir présidentiel de Bouteflika

                        La dépêche APS, qui annonçait mardi la convocation du corps électoral le 16 ou 17 janvier, comporte une expression qui jette le doute sur l’avenir présidentiel de Abdelaziz Bouteflika, hospitalisé au Val-de-Grâce depuis lundi. Cette simple visite médicale “routinière” a-t-elle nécessité l’application de l’article 88 de la Constitution ?

                        Une expression glissée dans la dépêche APS, annonçant la convocation du corps électoral, a semé le doute dans l’esprit des journalistes et des observateurs de la vie politique algérienne sur l’avenir présidentiel de Abdelaziz Bouteflika. Publiée mardi, en fin de matinée, la dépêche APS indiquait que le corps électoral sera convoqué par le Président “entre le 16 et le 17 janvier en cours”, ”sauf cas de force majeure”.

                        Cette nuance aurait pu passer inaperçue si une seconde dépêche, annonçant cette fois l’hospitalisation du Président Abdelaziz Bouteflika au Val-de-Grâce à Paris depuis lundi, n’avait pas été publiée quelques heures après la première. Dans cette seconde dépêche, l’agence de presse reprend un communiqué de la Présidence pour expliquer que Abdelaziz Bouteflika effectue une visite médicale “routinière”. En somme, il n’y a pas lieu de s’alarmer.

                        La convocation du corps électoral aura-t-elle bien lieu à la date prévue ?

                        Mais le bémol ajouté dans la première dépêche laisse penser que l’état de santé du Président s’est probablement détérioré ces derniers jours et qu’en réalité il ne s’agit pas d’une visite médicale “routinière” mais que le chef d’Etat subit une batterie d’examens plus importants, voire que son pronostic vital serait en jeu. Si tel était le cas, l’article 88 de la Constitution, prévoyant l’empêchement du Président, doit être appliqué. L’article 88 stipule : “Lorsque le président de la République, pour cause de maladie grave et durable, se trouve dans l’impossibilité totale d’exercer ses fonctions, le Conseil constitutionnel se réunit de plein droit, et après avoir vérifié la réalité de cet empêchement par tous moyens appropriés, propose, à l’unanimité, au Parlement de déclarer l’état d’empêchement.” Cette expression, “en cas de force majeure”, remet surtout en question l’assurance de la convocation des électeurs le 16 ou 17 janvier.

                        Mais alors, d’où vient ce couac ? Des bureaux de la communication du palais d’El Mouradia ? Pour éteindre la polémique, le directeur de l’APS, Abdelhamid Kacha, a expliqué que l’auteur de la dépêche a ajouté de son propre chef cette expression : Concernant la mention “cas de force majeur” citée dans la dépêche sur la convocation du corps électoral, c’est une lecture du journaliste qui n’a pas repris in extenso tous les articles de la loi tels que rédigés (sans préjudice des dispositions etc.). Dans le communiqué de la présidence (relatif à la l’hospitalisation du Président) il n’est question que de l’hospitalisation pour contrôle médical. Il n’y a aucun lien entre les deux, ni “directive comme certains peuvent le supposer”, se défend-il sur le site El Watan 2014. De quoi faire taire la polémique ?
                        There's nothing wrong with being shallow as long as you're insightful about it.

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                        • #13
                          Kesskessi cette khalouta !??? :22:

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                          • #14
                            Toutes ses hospitalisations de boutef et ses cavaliers a a val de grace ou en suisse a surement couté a la nation algerienne un hopital digne sur son territoire .En quelle année arrivera t-on a soigné un president de la republique dans un hopital sur le territoire algerien ?

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                            • #15
                              Ils tapent à coté les journalistes, ce contrôle c'est surement pour conforter son choix de briguer un 4 ème mandat.

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