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Rachat de Fagor-Brandt par Cevital : verdict vendredi prochain
Le nom du repreneur de la branche française du fabricant espagnol d’électroménager Fagor-Brandt sera connu vendredi prochain, rapporte ce mercredi 15 janvier le site français Usine nouvelle. « On connaitra vendredi 17 janvier les repreneurs de la branche française du fabricant espagnol d'électroménager qui a déposé le bilan le 30 octobre », selon la même source.
L’algérien Cevital figure parmi les repreneurs éventuels de cette entreprise qui fabrique des appareils électroménagers.
Début janvier, TSA avait révélé que le dossier de la société française d’électroménager faisait partie des questions évoquées lors du dernier sommet algéro-français des 16 et 17 décembre (lire notre papier). Déclarée en cessation de paiement, Fagor-Brandt avait un délai de six mois pour trouver un repreneur.
Le groupe privé Cevital serait prêt à débourser près de 100 millions d’euros pour l’acquérir. Le projet est soutenu par le gouvernement français. Mais il se heurte à un problème de taille : la loi algérienne n’autorise pas les entreprises locales à investir à l’étranger. Le groupe d’Issad Rebrab doit obtenir une dérogation de la Banque d’Algérie pour transférer l’argent nécessaire pour cette acquisition. Ce qui est peu probable !
TSA
Le nom du repreneur de la branche française du fabricant espagnol d’électroménager Fagor-Brandt sera connu vendredi prochain, rapporte ce mercredi 15 janvier le site français Usine nouvelle. « On connaitra vendredi 17 janvier les repreneurs de la branche française du fabricant espagnol d'électroménager qui a déposé le bilan le 30 octobre », selon la même source.
L’algérien Cevital figure parmi les repreneurs éventuels de cette entreprise qui fabrique des appareils électroménagers.
Début janvier, TSA avait révélé que le dossier de la société française d’électroménager faisait partie des questions évoquées lors du dernier sommet algéro-français des 16 et 17 décembre (lire notre papier). Déclarée en cessation de paiement, Fagor-Brandt avait un délai de six mois pour trouver un repreneur.
Le groupe privé Cevital serait prêt à débourser près de 100 millions d’euros pour l’acquérir. Le projet est soutenu par le gouvernement français. Mais il se heurte à un problème de taille : la loi algérienne n’autorise pas les entreprises locales à investir à l’étranger. Le groupe d’Issad Rebrab doit obtenir une dérogation de la Banque d’Algérie pour transférer l’argent nécessaire pour cette acquisition. Ce qui est peu probable !
TSA
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