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Affaire Sonatrach-Saipem : aucune trace d’illégalité, selon ENI

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  • Affaire Sonatrach-Saipem : aucune trace d’illégalité, selon ENI

    Un audit mené à la demande de ENI n'a détecté aucune preuve d’activités illégales de la part du groupe pétrolier et gazier italien, ni l'existence d’aucun contrat entre l'entreprise et les protagonistes de l'affaire de corruption Sonatrech-Saipem.

    ENI a la conscience tranquille, si l'on en croit le communiqué publié le jeudi 16 janvier par le groupe pétrolier et gazier. En effet, un "audit indépendant" mené à la demande du géant italien, dont les activités via sa filiale Saipem en Algérie font l’objet de deux enquêtes pour corruption à Alger et à Milan, n’a révélé "aucune preuve de conduite illégale ou de corruption par ENI". Par ailleurs, cet audit - dont les résultats "seront transmis aux autorités compétentes" - n’a pas détecté "l’existence de contrats entre ENI et les parties tierces concernées par ces procédures judiciaires".

    Pots de vin

    En annonçant ces résultats, ENI espère ne pas être davantage entaché par le scandale de corruption qui a éclaté début 2013 au sujet des activités algériennes de la société Saipem, détenu à 43% par le géant italien, dans l'obtention de contrats pétroliers d’une valeur d’environ 11 milliards en Algérie.

    Ces contrats passés avec Sonatrach auraient entrainé le versement de pots de vin d’un montant de quelques 197 millions d’euros. Une enquête avait été ouverte en décembre 2012 suite au lancement d’une vaste campagne anticorruption par les autorités algériennes.

    Cette affaire implique, selon Alger, certains hauts dignitaires algériens dont l’ex-ministre de l'Energie Chekib Khelil, l’administrateur délégué de ENI, Paolo Scaroni, et un intermédiaire franco-algérien du nom de Farid Noureddine Bedjaoui. Les enquêtes sont toujours leur cours.

    Jeune Afrique
    "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

  • #2
    un "audit indépendant" ..., n’a révélé "aucune preuve de conduite illégale ou de corruption par ENI".
    Ok !

    Me que dit la justice Italienne dans ce cas ??

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    • #3
      El mafiya ta3 D'zayer m'3a el mafiya ta3 Atalyen
      Carnaval fi dachra+ Le Parrain

      la hawla wala qowata ila bileh

      Commentaire


      • #4
        @sidmark

        Les audits, qui ont été menés par des tiers, ont été transmis aux autorités judiciaires. On connaitra le verdict de la justice italienne.
        "Les vérités qu'on aime le moins à apprendre sont celles que l'on a le plus d'intérêt à savoir" (Proverbe Chinois)

        Commentaire


        • #5
          Ce que le papier passe sous silence, c'est que ENI reconnait que sa filliale Saipem est le maitre d'oeuvre de cette coruption; et elle se defend de ne pas savoir alors que c'est elle qui pilote le conseil d'administration.
          Conclusion: ENI dit que je ne sait pas ce qui se passe chez moi, et ceci pour ne pas etre mise à l'index en algérie car elle participe à plusieurs projet.
          Comme c'est de bonne guerre sonatrach doit faire pression pour ne serait ce disposer des techno avancées sur l'offshore et le non conventionnel.

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