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Accès au foncier industriel

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    Le bilan à fin septembre 2013 des comités Calpiref fait ressortir une évolution notable par rapport à la même période de l’année précédente.
    Durant les neuf premiers mois de 2013, les différents Calpiref ont tenu 98 sessions dans 45 wilayas. Lors de ces sessions, 5 755 dossiers ont été traités, d’où une évolution de 50% par rapport à la même période de 2012, au cours de laquelle 3 822 dossiers auront été traités. Le nombre de dossiers acceptés est de 2 499, soit un taux de 43% et de 42% pour les rejets, ce qui peut dénoter d’une situation de saturation d’espace dans certaines régions. L’évolution trimestrielle dénote également une légère baisse pour les dossiers traités. Elle tient au rythme de l’activité économique durant l’année. Le 1er trimestre enregistre une activité relativement plus soutenue, contrairement au 3e. La structure des dossiers traités reste dominée par le secteur industriel qui représente 50%, affichant une proportion quasi similaire à celle des 9 premiers mois de l’exercice antérieur. Les demandes concernant le foncier représentent 50% du total traité. Un volume de 2 854 demandes de foncier industriel a été traité. Les investissements industriels projetés prévoient la création de 140 666 emplois (dossiers traités) et 76 935 emplois (dossiers acceptés), soit un écart de 45%.
    Par ailleurs, il a été relevé une répartition spatiale des investissements industriels de plus en plus orientée vers les wilayas des Hauts-Plateaux, avec 56% de dossiers traités contre 46% pour les wilayas côtières et 6% pour le Sud. Les avantages accordés aux régions des Hauts-Plateaux et du Sud semblent produire leur effet en termes d’incitation à l’investissement, d’où une structure industrielle diversifiée, couvrant une grande partie de la NAA (nomenclature algérienne des activités). Un retour à l’investissement dans les industries manufacturières, comme le textile, l’habillement, le cuir et la chaussure, le bois et le papier. Ces filières industrielles avaient fortement reculé entre 1990 et 2000, en raison de la concurrence internationale. Il a été relevé, en outre, un impact important des projets industriels retenus, avec des investissements projetés d’un montant global de 372 milliards DA et des projections de création d’emplois de l’ordre de 76 935 emplois directs. En résumé, l’accès au foncier industriel s’est amélioré de manière significative, mais la demande demeure pressante ; les projets de création de nouveaux espaces, à l’instar de zones industrielles en cours de concrétisation, contribueront à terme à assurer une meilleure disponibilité.algérienews
    c'est mon opinion et rien ne m'empêche d'être du même avis qu'elle.
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