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Les émanations de fumée provenant de l’usine de production avicole de Taboukert sont de moins en moins tolérées par les habitants de la région qui craignent pour leur santé.
Ces derniers se demandent si ces émanations ne peuvent pas être sources de pollution de l’air ou encore causer du tort à la population qui l’inhale au quotidien ? Pour la population de Taboukert, le doute et la crainte se sont déjà installés. Au moment où le sujet de l'environnement est sur toutes les lèvres dans la wilaya de Tizi-Ouzou, et fait partie des programmes tracés par les multiples responsables, la population se sent également impliquée.
Les citoyens semblent être à l'écoute de tout ce qui peut nuire à leur environnement et guettent par là même toutes les activités, notamment commerciales et industrielles qui puissent le menacer.
C'est le cas de l’ORAC, unité spécialisée dans les produits avicoles, située à Taboukert dans la commune de Tizi Rached, à près d'une vingtaine de kilomètres à l'est du chef-lieu de la wilaya de Tizi-Ouzou. Pour rappel, cette usine est très réputée par l'approvisionnement du marché national en viande blanche notamment. Mais dans la région, cette dernière fait jaser.
Car, les odeurs dégagées se propagent au alentour rendant l'aire irrespirable.
Des odeurs issues de la calcination des déchets organiques de volailles qui survient au quotidien. Il suffit de passer par la RN 12, qui domine l'unité située un peu plus bas, pour s’imprégner de cette particularité peu avantageuse. L'odeur se répond à des kilomètres à la ronde, parvenant ainsi aux autres villages environnants. Les usagers de cette route, eux même, ne manquent pas de relever le problème des mauvaises odeurs émanant de l’usine à des heures de la journée. Les commerçants aussi qui érigent leur commerce à proximité de l’unité en savent aussi un brin. Eux qui s’y exposent au quotidien. Si on se plaint de la situation de l'autre côté du Oued, ou encore de passage à proximité de cette unité, les habitants de la région sont, pour leur part, les plus touchés, car ils y sont tout le temps confrontés. Les habitants veulent être rassurés quand à la nocivité de ces émanations. « J'habite à quelques centaines de mètres de l'usine et je ne vous cache pas que l’odeur est insupportable. On a beau fermé portes et fenêtres, mais l'odeur nauséabonde parvient quand même à pénétrer dans les maisons. L’exposition quotidienne nous dérange et nous fait peur », souligne un habitant de la région. Et d’ajouter : « L'origine de ces odeurs est, certes, connue, mais ce que nous craignons c'est que cette fumée aie des conséquences néfastes sur notre santé et celle de nos enfants. La fumée dégagée n’est-elle pas nocive pour notre santé ? ».
Et nombreuses personnes de la région partagent le même avis. « Vous savez, en hiver cela peut parfois sembler tolérable, mais la situation se corse en été car l’odeur est plus qu’insupportable, surtout pour les enfants et les personnes âgées ». Des craintes, sans doute, légitimes du fait de l’extension que connaît l’endroit qui tant à se développer de plus et à recevoir de plus en plus d’habitants.
T. Ch- La dépêche de kabylie
Ces derniers se demandent si ces émanations ne peuvent pas être sources de pollution de l’air ou encore causer du tort à la population qui l’inhale au quotidien ? Pour la population de Taboukert, le doute et la crainte se sont déjà installés. Au moment où le sujet de l'environnement est sur toutes les lèvres dans la wilaya de Tizi-Ouzou, et fait partie des programmes tracés par les multiples responsables, la population se sent également impliquée.
Les citoyens semblent être à l'écoute de tout ce qui peut nuire à leur environnement et guettent par là même toutes les activités, notamment commerciales et industrielles qui puissent le menacer.
C'est le cas de l’ORAC, unité spécialisée dans les produits avicoles, située à Taboukert dans la commune de Tizi Rached, à près d'une vingtaine de kilomètres à l'est du chef-lieu de la wilaya de Tizi-Ouzou. Pour rappel, cette usine est très réputée par l'approvisionnement du marché national en viande blanche notamment. Mais dans la région, cette dernière fait jaser.
Car, les odeurs dégagées se propagent au alentour rendant l'aire irrespirable.
Des odeurs issues de la calcination des déchets organiques de volailles qui survient au quotidien. Il suffit de passer par la RN 12, qui domine l'unité située un peu plus bas, pour s’imprégner de cette particularité peu avantageuse. L'odeur se répond à des kilomètres à la ronde, parvenant ainsi aux autres villages environnants. Les usagers de cette route, eux même, ne manquent pas de relever le problème des mauvaises odeurs émanant de l’usine à des heures de la journée. Les commerçants aussi qui érigent leur commerce à proximité de l’unité en savent aussi un brin. Eux qui s’y exposent au quotidien. Si on se plaint de la situation de l'autre côté du Oued, ou encore de passage à proximité de cette unité, les habitants de la région sont, pour leur part, les plus touchés, car ils y sont tout le temps confrontés. Les habitants veulent être rassurés quand à la nocivité de ces émanations. « J'habite à quelques centaines de mètres de l'usine et je ne vous cache pas que l’odeur est insupportable. On a beau fermé portes et fenêtres, mais l'odeur nauséabonde parvient quand même à pénétrer dans les maisons. L’exposition quotidienne nous dérange et nous fait peur », souligne un habitant de la région. Et d’ajouter : « L'origine de ces odeurs est, certes, connue, mais ce que nous craignons c'est que cette fumée aie des conséquences néfastes sur notre santé et celle de nos enfants. La fumée dégagée n’est-elle pas nocive pour notre santé ? ».
Et nombreuses personnes de la région partagent le même avis. « Vous savez, en hiver cela peut parfois sembler tolérable, mais la situation se corse en été car l’odeur est plus qu’insupportable, surtout pour les enfants et les personnes âgées ». Des craintes, sans doute, légitimes du fait de l’extension que connaît l’endroit qui tant à se développer de plus et à recevoir de plus en plus d’habitants.
T. Ch- La dépêche de kabylie