Tweet
Élections présidentielles prévues pour le 17 avril
Bouteflika briguera un quatrième mandat
R.Moussaoui pour Tamurt.info
Bouteflika, à l’instar de tous les dictateurs arabes, ne veut guère quitter le fauteuil d’El Mouradia tant qu’il est en vie. Il a bel est bien affiché son intention de briguer un quatrième mandat. Ce n’est guère la volonté de la population qui importe, ni celle des autres clans du DRS et de l’armée, mais seulement et uniquement sa santé.
La situation politique a pris un tournant décisif en Algérie. Le retour « sain et sauf » de Bouteflika de France a changé carrément la donne. Le chef d’Etat a convoqué le corps électoral. La date de l’élection présentielle est fixée au 17 avril 2014, dans les délais ordinaires. Bouteflika, que tout le monde pensait finissant, a décidé de se succéder à lui-même, selon plusieurs organes de la presse algérienne, notamment ceux proches du sérail.
Bouteflika, à l’instar de tous les dictateurs arabes, ne veut guère quitter le fauteuil d’El Mouradia tant qu’il est en vie. Il a bel est bien affiché son intention de briguer un quatrième mandat. Ce n’est guère la volonté de la population qui importe, ni celle des autres clans du DRS et de l’armée, mais seulement et uniquement sa santé.
Il suffit juste à Bouteflika de respirer, de se tenir debout, de le montrer une fois par mois à la télévision et le reste c’est l’affaire de son frère Saïd qui gère le pays dans l’ombre. Le clan de Bouteflika, qui semble avoir trouvé même un compromis avec le DRS, est plus que jamais en bonne position.
Il contrôle le moindre geste de la société civile et de tous les partis politiques. L’armée, la justice et les médias, trois secteurs névralgiques et sensibles pour le maintenir au pouvoir, sont entre les mains des proches de Bouteflika.
Par ailleurs, l’annonce de la date de l’élection et le retour de Bouteflika fait tomber à l’eau tous les espoirs des autres candidats dits potentiels pour briguer un mandat, tels que Sellal et Benflis. Ce n’est guère la peine pour eux de gaspiller leur salive.
Personne ne pourra rivaliser avec « le messie ». Sauf les candidats, dits lièvres, comme Fawzi Rabaïne, Luisa Hanoun, dJbellah, sont appelés à jouer le décor afin de crédibiliser cette échéance électorale aux yeux de l’opinion internationale.
R.Moussaoui
Bouteflika briguera un quatrième mandat
R.Moussaoui pour Tamurt.info
Bouteflika, à l’instar de tous les dictateurs arabes, ne veut guère quitter le fauteuil d’El Mouradia tant qu’il est en vie. Il a bel est bien affiché son intention de briguer un quatrième mandat. Ce n’est guère la volonté de la population qui importe, ni celle des autres clans du DRS et de l’armée, mais seulement et uniquement sa santé.
La situation politique a pris un tournant décisif en Algérie. Le retour « sain et sauf » de Bouteflika de France a changé carrément la donne. Le chef d’Etat a convoqué le corps électoral. La date de l’élection présentielle est fixée au 17 avril 2014, dans les délais ordinaires. Bouteflika, que tout le monde pensait finissant, a décidé de se succéder à lui-même, selon plusieurs organes de la presse algérienne, notamment ceux proches du sérail.
Bouteflika, à l’instar de tous les dictateurs arabes, ne veut guère quitter le fauteuil d’El Mouradia tant qu’il est en vie. Il a bel est bien affiché son intention de briguer un quatrième mandat. Ce n’est guère la volonté de la population qui importe, ni celle des autres clans du DRS et de l’armée, mais seulement et uniquement sa santé.
Il suffit juste à Bouteflika de respirer, de se tenir debout, de le montrer une fois par mois à la télévision et le reste c’est l’affaire de son frère Saïd qui gère le pays dans l’ombre. Le clan de Bouteflika, qui semble avoir trouvé même un compromis avec le DRS, est plus que jamais en bonne position.
Il contrôle le moindre geste de la société civile et de tous les partis politiques. L’armée, la justice et les médias, trois secteurs névralgiques et sensibles pour le maintenir au pouvoir, sont entre les mains des proches de Bouteflika.
Par ailleurs, l’annonce de la date de l’élection et le retour de Bouteflika fait tomber à l’eau tous les espoirs des autres candidats dits potentiels pour briguer un mandat, tels que Sellal et Benflis. Ce n’est guère la peine pour eux de gaspiller leur salive.
Personne ne pourra rivaliser avec « le messie ». Sauf les candidats, dits lièvres, comme Fawzi Rabaïne, Luisa Hanoun, dJbellah, sont appelés à jouer le décor afin de crédibiliser cette échéance électorale aux yeux de l’opinion internationale.
R.Moussaoui