C’est aujourd’hui que s’ouvre, à Alger, le procès d’Abdelmalek Droudkel, le chef d’AQMI (Al Qaida au Maghreb Islamique) et 19 autres présumés terroristes affiliés à la même organisation terroriste.
Lors de ce procès, le tribunal criminel d’Alger va examiner le dossier du chef terroriste et de ses acolytes, suspectés dans plusieurs affaires de terrorisme. Ce n’est pas la première fois que cet «émir» d’Aqmi est jugé pour terrorisme. Il fut même condamné à mort. Ce fut le cas, le 13 mars dernier, où le tribunal criminel de Tizi-Ouzou l’avait condamné à la peine de mort pour plusieurs attentats contre les services de sécurité. Et le 19 mars de la même année, il était jugé dans l’affaire de l’assassinat, le 15 avril 2011, de 17 militaires stationnés à Azazga.
Le procès d’aujourd’hui concerne 20 terroristes dont 17 sont en fuite, tous poursuivis pour assassinats er rapts avec demande rançon. Parmi les accusés, figure le nom d’Abdelmoumen Rachid, un terrorise impliqué dans le double attentat perpétré au centre-ville de Bouira, le 20 août 2008. Ce double attentat suicide qui avait notamment ciblé le secteur militaire avait fait 12 morts et plusieurs blessés parmi les civils. Ce terroriste est soupçonné d’avoir collecté des fonds pour l’achat des explosifs utilisés lors du double attentat de Bouira.
Autres accusés à comparaitre lors du procès d’aujourd’hui, M'hamed Cherik, chef de "Katibet Ennour" activant à Boumerdès, Oualid Khaled et Othmane Touati. Ces deux derniers ont été récemment arrêtés par les services de sécurité. Ils ont participé à plusieurs attentats terroristes faisant des victimes parmi les membres de l'Armée nationale populaire (ANP) et de la Gendarmerie nationale, à Tizi-Ouzou et à Boumerdès. La même instance criminelle examinera, par ailleurs, ce même jour, l'affaire de sept présumés terroristes impliqués dans des assassinats, enlèvements, viols et pose de bombes dans des lieux publics, pendant la période allant de 1997 à 2002.
D. M.- La dépêche de kabylie
Lors de ce procès, le tribunal criminel d’Alger va examiner le dossier du chef terroriste et de ses acolytes, suspectés dans plusieurs affaires de terrorisme. Ce n’est pas la première fois que cet «émir» d’Aqmi est jugé pour terrorisme. Il fut même condamné à mort. Ce fut le cas, le 13 mars dernier, où le tribunal criminel de Tizi-Ouzou l’avait condamné à la peine de mort pour plusieurs attentats contre les services de sécurité. Et le 19 mars de la même année, il était jugé dans l’affaire de l’assassinat, le 15 avril 2011, de 17 militaires stationnés à Azazga.
Le procès d’aujourd’hui concerne 20 terroristes dont 17 sont en fuite, tous poursuivis pour assassinats er rapts avec demande rançon. Parmi les accusés, figure le nom d’Abdelmoumen Rachid, un terrorise impliqué dans le double attentat perpétré au centre-ville de Bouira, le 20 août 2008. Ce double attentat suicide qui avait notamment ciblé le secteur militaire avait fait 12 morts et plusieurs blessés parmi les civils. Ce terroriste est soupçonné d’avoir collecté des fonds pour l’achat des explosifs utilisés lors du double attentat de Bouira.
Autres accusés à comparaitre lors du procès d’aujourd’hui, M'hamed Cherik, chef de "Katibet Ennour" activant à Boumerdès, Oualid Khaled et Othmane Touati. Ces deux derniers ont été récemment arrêtés par les services de sécurité. Ils ont participé à plusieurs attentats terroristes faisant des victimes parmi les membres de l'Armée nationale populaire (ANP) et de la Gendarmerie nationale, à Tizi-Ouzou et à Boumerdès. La même instance criminelle examinera, par ailleurs, ce même jour, l'affaire de sept présumés terroristes impliqués dans des assassinats, enlèvements, viols et pose de bombes dans des lieux publics, pendant la période allant de 1997 à 2002.
D. M.- La dépêche de kabylie
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