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Enseignement supérieur : l’Algérie et la France pour un partenariat encore plus renforcé

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  • Enseignement supérieur : l’Algérie et la France pour un partenariat encore plus renforcé


    ALGER- L’Algérie et la France ont réaffirmé lundi à Alger leur volonté de consolider leurs relations dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique à travers la mise en place d’un partenariat "encore plus renforcé".

    "La densité et la richesse des relations tissées, entre nos deux pays, dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la recherche, leur confèrent un caractère unique dans le monde", a déclaré le ministre du secteur, Mohamed Mebarki, à l’ouverture de la 3è conférence algéro-française de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique.
    Il a fait part de la volonté des deux parties "de maintenir et de consolider ces relations, par la mise en place d’un partenariat encore plus renforcé, fondé sur des intérêts réciproques et mutuellement avantageux".
    Evoquant quelques programmes phares de la coopération algéro-française, M. Mebarki a cité le programme Tassili Hubert Currien (CMEP), précisant que plusieurs réalisations ont été enregistrées depuis 2005 avec notamment 170 projets financés, 295 thèses soutenues, 415 masters et magistères terminés, 1.256 publications réalisées, 817 communications et 363 séminaires organisés.
    Pour ce qui est du programme de coopération baptisé PROFAS, le ministre a relevé que depuis son lancement en 1987, il a contribué à former plus de 10.000 cadres algériens.
    "Ce programme sera remis en oeuvre car une évaluation pour sa refondation a été engagée", a dit le ministre, souhaitant son réengagement dés que l’évaluation menée conjointement par les deux parties soit terminée avec la prochaine rentrée 2014-2015.
    S’agissant de la professionnalisation des offres de formation, il a souligné qu’une attention "toute particulière" sera accordée au développement de l’enseignement supérieur dans les filières professionnalisantes. Le ministre a annoncé, dans ce cadre, l’ouverture en septembre prochain de quatre (4) instituts d’enseignement supérieur technologique pilotes sur le modèle français des instituts universitaires de technologie (UIT) mais adaptés au contexte algérien.
    Par ailleurs, M. Mebarki a affirmé que la coopération entre les grandes écoles algériennes et françaises se poursuivra afin d’assurer la pérennisation des actions entreprises au sein du Fond de solidarité prioritaire (FSP) depuis 2009, à travers la mise en place d’un réseau d’excellence mixte liant les écoles algériennes à un consortium d’écoles françaises partenaires du projet.
    Pour sa part, la ministre française de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Geneviève Fioraso, a souligné l’importance qu’elle accordait aux volets attractivité et mobilité internationale, notamment dans un cadre euro-méditerranéen.
    Dans ce contexte, elle a rappelé que la France est redevenue le 3è pays d’accueil des étrangers au monde, précisant que 23.000 étudiants algériens sont inscrits dans des cursus d’enseignement supérieur en France, soit 10% des étudiants étrangers.
    Concernant la mobilité internationale, Mme Fioraso l’a qualifiée d’"indispensable", parce que, a-t-elle expliqué, l’ouverture aux autres cultures est un "préalable" à l’amélioration des connaissances, et la connaissance scientifique a toujours ignoré les frontières territoriales et parce que cette mobilité augmente de 60% les chances d’embauche à la fin des études.
    Par ailleurs, la ministre a insisté sur l’importance de la coopération bilatérale algéro-française dans le domaine de l’enseignement supérieur et de la recherche, "qui doit se renforcer et s’ouvrir", a-t-elle préconisé.
    "Cela servira l’avenir de nos pays, mais aussi l’employabilité des jeunes générations", a-t-elle estimé.
    Mme Fioraso a, en outre, précisé que la France consacre son premier budget de coopération universitaire et de recherche, de près de 3 millions d’euros, à l’international.
    Elle a affirmé, par ailleurs, que la France était le premier partenaire de l’Algérie dans le domaine des publications scientifiques.

  • #2
    Et concrètement, qu'est ce qu'il y a eu de nouveau ?!

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    • #3
      il faut éviter la france dans ce segment de formation et allez voir ailleur.
      la france et les pays catholique sont connue par leur conservatisme...
      et leurs université ne sont qu'un reservoir de chahuteur politique utilisé et financé par des partis politique ocultes...

      ''jamais vous ne formez un bon technicien en dehors de la discipline''
      ces choses là sont connue et les anglos saxons sont connue pour leur riguer
      outrancières jusqu'a obliger l'etudiant de se doucher avant d'entrer en classe...
      vos ne voyez pas comment des parts ocultes essyent de pousser les fille le hijabes et les pousser dans les université afin de creer l'effervessence politique pour fomer des calns d'un coté les laic de l'autre les religieux..
      comment voulez qu'un étudiant puisse travailler et se former?? c'est ce qui se passe chez nous....
      des etdiantes en dos nue en robe de sirées en djeane en moulé en hijabe en jilbabe venant etudier l'agronomie la geolgie l'electronqiue..c'est quoi cette mascarade....

      pour moi il faut éviter au catholique et au orthodoxe russe de venir enseigner chez nous ou leurs envoyer nos etudiants pour formation..ça c'est clair et nette..

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