Santé. La fin des dodues dondons ?
Depuis peu, les spécialistes marocains de l’amaigrissement reçoivent dans leurs cabinets de consultation une clientèle d’un nouveau type : de riches Mauritaniennes qui veulent maigrir. Traditionnellement gavées au lait de chamelle hypercalorique, les Mauritaniennes ont quasi-obligation de grossir, par des méthodes chimiques parfois (stéroïdes et cortisone), pour trouver chaussure à leur pied, en l’occurrence un mari. Mais elles sont de plus en plus nombreuses à refuser ces menus gargantuesques qui hypothèquent leur santé. Pour ces dernières, maigrir n’est pas un caprice de midinette adepte du 38, mais une rébellion contre l’obésité programmée.
Depuis peu, les spécialistes marocains de l’amaigrissement reçoivent dans leurs cabinets de consultation une clientèle d’un nouveau type : de riches Mauritaniennes qui veulent maigrir. Traditionnellement gavées au lait de chamelle hypercalorique, les Mauritaniennes ont quasi-obligation de grossir, par des méthodes chimiques parfois (stéroïdes et cortisone), pour trouver chaussure à leur pied, en l’occurrence un mari. Mais elles sont de plus en plus nombreuses à refuser ces menus gargantuesques qui hypothèquent leur santé. Pour ces dernières, maigrir n’est pas un caprice de midinette adepte du 38, mais une rébellion contre l’obésité programmée.
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