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Ce début de semaine a été marqué par des cas de varicelle dans la région de Mechtras, Assi Youcef et Draâ El-Mizan.
Devant l'apparition de la varicelle, d’importantes mesures ont été prises au niveau des écoles. Les enfants atteints ont été renvoyés chez eux pour une semaine de mise en quarantaine. " Etant une maladie contagieuse qui se transmet par le toucher ou par la salive, on ne doit pas garder un élève qui en est atteint. L'UDS à laquelle est rattachée l'école lui donne une semaine de repos afin d'éviter de contaminer les autres ", nous dira le directeur d'une école primaire. Devant cette apparition brusque de la maladie, les citoyens ont commencé à s'inquiéter. " C'est une maladie à laquelle personne ne peut échapper. Elle n'a pas d'âge, et souvent elle apparaît entre deux et dix ans. Un adulte peut aussi la contracter s'il ne l'a pas eue au cours de ses années d'enfance. Elle n'a pas de vaccin et lorsque quelqu'un en présente les symptômes, on lui conseille des douches et de prendre du Paracétamol, de l'Aspégic. Mais dans le cas où l’état du patient ne s'améliore pas, on peut lui prescrire des antibiotiques", nous répondra un médecin du secteur privé. Du côté du secteur public, nous avons contacté des techniciens supérieurs de la polyclinique de Draâ El-Mizan, hier en fin d'après-midi, en l'absence d'un médecin sur place. " C'est une maladie que ne fait pas peur. D'accord, les boutons peuvent laisser des lésions, mais si on a pris toutes les précautions nécessaires, ils disparaîtront après guérison au plus tard après une semaine", nous expliquera l'un d'eux. Interrogé sur les symptômes de la maladie, un autre praticien nous dira que cela commence par des démangeaisons, puis par l'apparition de petits boutons sur le cuir chevelu, avant de se propager sur le corps entier. "Ces petits boutons rougeâtres se transformeront en une journée en petits cloques contenant un liquide clair et visqueux", expliquera-t-il en ajoutant que " la période d'incubation est comprise entre dix et vingt et un jours", ajoutera un autre infirmier.
De son côté, le chef de service de la prévention de l'EPSP de Boghni a déclaré à l'un de nos confrères qu'il ne s'agissait pas du tout d'une maladie à déclaration obligatoire, néanmoins, a-t-il ajouté, « si des cas se manifestent ici et là, les personnels des infrastructures relevant du secteur de la santé les prendront en charge en leur expliquant la tenue à prendre devant cette maladie ».
En définitive, à entendre tous ces avis émanant de spécialistes en la matière, il n'est guère besoin de s'alarmer.
Amar Ouramdane- La dépêche de kabylie
Devant l'apparition de la varicelle, d’importantes mesures ont été prises au niveau des écoles. Les enfants atteints ont été renvoyés chez eux pour une semaine de mise en quarantaine. " Etant une maladie contagieuse qui se transmet par le toucher ou par la salive, on ne doit pas garder un élève qui en est atteint. L'UDS à laquelle est rattachée l'école lui donne une semaine de repos afin d'éviter de contaminer les autres ", nous dira le directeur d'une école primaire. Devant cette apparition brusque de la maladie, les citoyens ont commencé à s'inquiéter. " C'est une maladie à laquelle personne ne peut échapper. Elle n'a pas d'âge, et souvent elle apparaît entre deux et dix ans. Un adulte peut aussi la contracter s'il ne l'a pas eue au cours de ses années d'enfance. Elle n'a pas de vaccin et lorsque quelqu'un en présente les symptômes, on lui conseille des douches et de prendre du Paracétamol, de l'Aspégic. Mais dans le cas où l’état du patient ne s'améliore pas, on peut lui prescrire des antibiotiques", nous répondra un médecin du secteur privé. Du côté du secteur public, nous avons contacté des techniciens supérieurs de la polyclinique de Draâ El-Mizan, hier en fin d'après-midi, en l'absence d'un médecin sur place. " C'est une maladie que ne fait pas peur. D'accord, les boutons peuvent laisser des lésions, mais si on a pris toutes les précautions nécessaires, ils disparaîtront après guérison au plus tard après une semaine", nous expliquera l'un d'eux. Interrogé sur les symptômes de la maladie, un autre praticien nous dira que cela commence par des démangeaisons, puis par l'apparition de petits boutons sur le cuir chevelu, avant de se propager sur le corps entier. "Ces petits boutons rougeâtres se transformeront en une journée en petits cloques contenant un liquide clair et visqueux", expliquera-t-il en ajoutant que " la période d'incubation est comprise entre dix et vingt et un jours", ajoutera un autre infirmier.
De son côté, le chef de service de la prévention de l'EPSP de Boghni a déclaré à l'un de nos confrères qu'il ne s'agissait pas du tout d'une maladie à déclaration obligatoire, néanmoins, a-t-il ajouté, « si des cas se manifestent ici et là, les personnels des infrastructures relevant du secteur de la santé les prendront en charge en leur expliquant la tenue à prendre devant cette maladie ».
En définitive, à entendre tous ces avis émanant de spécialistes en la matière, il n'est guère besoin de s'alarmer.
Amar Ouramdane- La dépêche de kabylie