Lemag : On le disait présidentiable favori après Bouteflika, la carte de réserve du pouvoir, au cas où, arriverait malheur au président malade, sauf que les derniers développements indiquent que Sellal a été écarté de la course à la présidentielle.
En effet, l’agence algérienne d’information officielle APS, avait dans le communiqué rapportant la fixation de l’échéance du scrutin présidentiel, que le président Abdelaziz Bouteflika, instruira son premier ministre Abdelmalek Sellal de l’installation sous sa présidence, d’une commission de préparation de l’élection présidentielle.
Cette instance technique présidée par le premier ministre, fidèle du président algérien, servirait et avantagerait Bouteflika, au cas où il serait candidat, vis-à-vis de ses concurrents, mais éloignerait définitivement de la course, Abdelmalek Sellal.
Effectivement, Sellal, ne pourrait être à la fois arbitre et joueur, Bouteflika lui lie mains et pieds, le bloque en le nommant président de cette commission de préparation des élections présidentielles, ayant en principe et sous d’autre cieux véritablement démocratiques, un devoir de neutralité.
Abdelmalek Sellal devrait au cas où il souhaiterait se porter candidat, démissionner de la présidence de cette commission et peut être même du poste de premier ministre, que la loi en Algérie, place à la tête de l’instance d’organisation des élections présidentielles.
A la lumière de ce développement, le président effacé par sa maladie et son impotence, serait face à son ex-concurrent de 2004, Ali Benflis.
Le décor politique algérien ne serait alors qu’un bis-repetita non placent , un paysage qui ne se renouvèlent point
En effet, l’agence algérienne d’information officielle APS, avait dans le communiqué rapportant la fixation de l’échéance du scrutin présidentiel, que le président Abdelaziz Bouteflika, instruira son premier ministre Abdelmalek Sellal de l’installation sous sa présidence, d’une commission de préparation de l’élection présidentielle.
Cette instance technique présidée par le premier ministre, fidèle du président algérien, servirait et avantagerait Bouteflika, au cas où il serait candidat, vis-à-vis de ses concurrents, mais éloignerait définitivement de la course, Abdelmalek Sellal.
Effectivement, Sellal, ne pourrait être à la fois arbitre et joueur, Bouteflika lui lie mains et pieds, le bloque en le nommant président de cette commission de préparation des élections présidentielles, ayant en principe et sous d’autre cieux véritablement démocratiques, un devoir de neutralité.
Abdelmalek Sellal devrait au cas où il souhaiterait se porter candidat, démissionner de la présidence de cette commission et peut être même du poste de premier ministre, que la loi en Algérie, place à la tête de l’instance d’organisation des élections présidentielles.
A la lumière de ce développement, le président effacé par sa maladie et son impotence, serait face à son ex-concurrent de 2004, Ali Benflis.
Le décor politique algérien ne serait alors qu’un bis-repetita non placent , un paysage qui ne se renouvèlent point
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