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La ministre française de la Santé, Marisol Touraine a indiqué, mercredi, que l’Algérie a remboursé 15 des 34 millions d’euros au titre de ses arriérés médicaux en France.
Elle a déclaré que “nous considérons qu’il y a encore des sommes que l’Algérie nous doit” en relevant que jusqu’à janvier 2012, la Caisse nationale d’assurance sociale algérienne (Cnas) devait à la France 34 millions d’euros pour le remboursement de frais médicaux de patients algériens en France.
Mme Touraine, qui s’exprimait lors d’un débat avec des journalistes, a soutenu que “les discussions n’ont pas progressé, pas assez à mon goût, et je souhaite – je l’ai dit d’ailleurs à mon homologue algérien – qu’elles reprennent de façon plus rapide et plus vigoureuse” au sujet du règlement de ces arriérés médicaux. La ministre ne doute pas de la volonté de l’Algérie d’avancer et de trouver des solutions durables” sur le sujet.
Interrogée pour savoir si l’Algérie avait payé pour l’hospitalisation du président Abdelaziz Bouteflika, resté près de quatre jours à l’hôpital parisien du Val-de-Grâce en janvier, Mme Touraine a répondu qu’elle n’avait “pas de doute et d’inquiétude sur la facture liée à l’hospitalisation de M. Bouteflika”.
Par ailleurs, la question du règlement des arriérés médicaux a été évoquée parmi d’autres lors d’un entretien mercredi dans la matinée avec l’ambassadeur de l’Algérie en France, Amar Bendjama, a indiqué le ministère français de la santé.
ALGERIE 1
Elle a déclaré que “nous considérons qu’il y a encore des sommes que l’Algérie nous doit” en relevant que jusqu’à janvier 2012, la Caisse nationale d’assurance sociale algérienne (Cnas) devait à la France 34 millions d’euros pour le remboursement de frais médicaux de patients algériens en France.
Mme Touraine, qui s’exprimait lors d’un débat avec des journalistes, a soutenu que “les discussions n’ont pas progressé, pas assez à mon goût, et je souhaite – je l’ai dit d’ailleurs à mon homologue algérien – qu’elles reprennent de façon plus rapide et plus vigoureuse” au sujet du règlement de ces arriérés médicaux. La ministre ne doute pas de la volonté de l’Algérie d’avancer et de trouver des solutions durables” sur le sujet.
Interrogée pour savoir si l’Algérie avait payé pour l’hospitalisation du président Abdelaziz Bouteflika, resté près de quatre jours à l’hôpital parisien du Val-de-Grâce en janvier, Mme Touraine a répondu qu’elle n’avait “pas de doute et d’inquiétude sur la facture liée à l’hospitalisation de M. Bouteflika”.
Par ailleurs, la question du règlement des arriérés médicaux a été évoquée parmi d’autres lors d’un entretien mercredi dans la matinée avec l’ambassadeur de l’Algérie en France, Amar Bendjama, a indiqué le ministère français de la santé.
ALGERIE 1
Rien que pour se vieillard de barzidan l'algerie a depensé un hopital derniere generation. quel gachi ya lghachi!!
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