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(Agence Ecofin) - Sur le site de la bourse de Casablanca, une performance attire l’attention, celle de la Cosumar, qui s’est hissé en tête des titres les plus échangés, avec un volume global de transactions ayant atteint la bagatelle de 36 millions de dirhams.
Selon le média marocain LesEcos, seulement 1,9 million de dirhams de volumes négociés l’ont été dans le cadre de 13 transactions de blocs représentant 24,5% du capital de l’entreprise, et ont été le fait de la holding royale Société Nationale des Investissements (SNI). Pourtant, aucune transaction de bloc n’a été annoncée par la Conseil Déontologique des Valeurs Mobilières (CDVM) le gendarme des opérations sur les marchés financiers marocains, pas plus que des annonces de franchissement de seuil à la baisse ou à la hausse n’ont été faites.
Dans tous les cas, si la cession par la SNI de ses parts était confirmée avec l’annonce d’un franchissement de seuil à la baisse, ce serait la deuxième transaction de bloc opérée, sur ses titres, après celle d’avril 2013, au cours de laquelle elle a cédé 27,5% de ses parts, dans le cadre d’une première phase de son désengagement au sein de l’entreprise sucrière.
Aucune indication n’étant encore donnée sur les noms des acquéreurs des blocs de titres, il est trop tôt pour évaluer la nouvelle constitution du capital de l’entreprise, mais en 2013, lorsqu’elle venait de céder ses part au singapourien Wilmar, il était question d’une seconde phase prévoyant une cession à des institutionnels marocains.
Ce bloc vient ainsi se rajouter à celui détenu par Wilmar pour former le nouveau noyau majoritaire de Cosumar, à savoir 52 % du capital dans une gouvernance équilibrée et partagée. La troisième et la dernière étape est la participation résiduelle de SNI qui aurait vocation à être cédée intégralement en Bourse afin d’augmenter le flottant de Cosumar.
Bien plus important encore, au terme de l’opération de désengagement de la SNI, on devrait aboutir à la consolidation de plus de 70% du capital de Cosumar entre les mains d’un actionnariat marocain, appuyé par un partenaire industriel de référence mondiale.
Selon le média marocain LesEcos, seulement 1,9 million de dirhams de volumes négociés l’ont été dans le cadre de 13 transactions de blocs représentant 24,5% du capital de l’entreprise, et ont été le fait de la holding royale Société Nationale des Investissements (SNI). Pourtant, aucune transaction de bloc n’a été annoncée par la Conseil Déontologique des Valeurs Mobilières (CDVM) le gendarme des opérations sur les marchés financiers marocains, pas plus que des annonces de franchissement de seuil à la baisse ou à la hausse n’ont été faites.
Dans tous les cas, si la cession par la SNI de ses parts était confirmée avec l’annonce d’un franchissement de seuil à la baisse, ce serait la deuxième transaction de bloc opérée, sur ses titres, après celle d’avril 2013, au cours de laquelle elle a cédé 27,5% de ses parts, dans le cadre d’une première phase de son désengagement au sein de l’entreprise sucrière.
Aucune indication n’étant encore donnée sur les noms des acquéreurs des blocs de titres, il est trop tôt pour évaluer la nouvelle constitution du capital de l’entreprise, mais en 2013, lorsqu’elle venait de céder ses part au singapourien Wilmar, il était question d’une seconde phase prévoyant une cession à des institutionnels marocains.
Ce bloc vient ainsi se rajouter à celui détenu par Wilmar pour former le nouveau noyau majoritaire de Cosumar, à savoir 52 % du capital dans une gouvernance équilibrée et partagée. La troisième et la dernière étape est la participation résiduelle de SNI qui aurait vocation à être cédée intégralement en Bourse afin d’augmenter le flottant de Cosumar.
Bien plus important encore, au terme de l’opération de désengagement de la SNI, on devrait aboutir à la consolidation de plus de 70% du capital de Cosumar entre les mains d’un actionnariat marocain, appuyé par un partenaire industriel de référence mondiale.