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Genève-2: invitation de l'Iran annulée, une erreur, pas une catastrophe (Lavrov)
La décision de retirer à l'Iran l'invitation à la conférence de paix sur la Syrie, dite Genève-2, a été une erreur, mais n'est pas une catastrophe, a déclaré mardi devant les journalistes à Moscou le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.
"C'est évidemment une erreur (…). Mais aucune catastrophe ne s'est produite (…). Quoi qu'il en soit, il s'agit d'une conférence d'une seule journée le 22 janvier où sont conviés une quarantaine de chefs de diplomatie de différents pays, y compris des régions les plus éloignées, notamment de l'Amérique latine et de l'Asie de l'Est (…), et l'absence de l'Iran ne peut pas ne pas susciter de question", a estimé M.Lavrov.
Et de rappeler qu'à toutes les étapes du travail commun avec les partenaires américains, le secrétaire d'Etat John Kerry et d'autres représentants reconnaissaient que l'Iran devait jouer un rôle important dans la recherche de voies à emprunter pour désamorcer la crise syrienne.
Le secrétaire général de l'Onu Ban Ki-moon a retiré mardi l'invitation de l'Iran à la conférence internationale sur la Syrie car Téhéran avait refusé d'accepter le communiqué adopté en juin 2012 à l'issue de la première conférence de Genève, condition sine qua non de sa participation à la nouvelle réunion.
La conférence Genève-2, censée réunir le pouvoir et l'opposition syriens à une même table de négociations pour apporter une solution à la crise qui secoue le pays depuis près de trois ans, doit se dérouler le 22 janvier à Montreux, en Suisse.
RIA novosti
La décision de retirer à l'Iran l'invitation à la conférence de paix sur la Syrie, dite Genève-2, a été une erreur, mais n'est pas une catastrophe, a déclaré mardi devant les journalistes à Moscou le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.
"C'est évidemment une erreur (…). Mais aucune catastrophe ne s'est produite (…). Quoi qu'il en soit, il s'agit d'une conférence d'une seule journée le 22 janvier où sont conviés une quarantaine de chefs de diplomatie de différents pays, y compris des régions les plus éloignées, notamment de l'Amérique latine et de l'Asie de l'Est (…), et l'absence de l'Iran ne peut pas ne pas susciter de question", a estimé M.Lavrov.
Et de rappeler qu'à toutes les étapes du travail commun avec les partenaires américains, le secrétaire d'Etat John Kerry et d'autres représentants reconnaissaient que l'Iran devait jouer un rôle important dans la recherche de voies à emprunter pour désamorcer la crise syrienne.
Le secrétaire général de l'Onu Ban Ki-moon a retiré mardi l'invitation de l'Iran à la conférence internationale sur la Syrie car Téhéran avait refusé d'accepter le communiqué adopté en juin 2012 à l'issue de la première conférence de Genève, condition sine qua non de sa participation à la nouvelle réunion.
La conférence Genève-2, censée réunir le pouvoir et l'opposition syriens à une même table de négociations pour apporter une solution à la crise qui secoue le pays depuis près de trois ans, doit se dérouler le 22 janvier à Montreux, en Suisse.
RIA novosti
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